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Plaidoyers anti-OGM /

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Is the Monsanto Protest the Next Salt March? Combat the epidemic of misinformation that plagues the corporate media! Click here to make a tax-deductible donation to Truthout and keep independent journalism strong. Protesters demonstrate against Monsanto in Columbus, Ohio, May 28, 2013. (Photo: Becker1999) When a people is faced with a destructive system that has been insidiously putting its tendrils down in many sectors of society, steadily taking over its institutions, it can seem all but impossible to dislodge that evil; but it always seems that a system like that will have some vulnerability, some leverage point that an aroused people can ferret out and be rid of the evil.

The question is, has the Monsanto Corporation become that leverage point by attacking which we could be on our way to the crumbling of the entire system of militarism, racism, greed, and violence that we loathe. We are aiming high here. However the present march turns out, we should consider it a step on a long journey – and plan that journey. Evaluation des OGM en Europe : de scandale en supercherie. France Nature Environnement (FNE) a dû souvent alerter les autorités publiques sur la nécessité de réformer les procédures d’évaluation des OGM adoptées par l’Autorité Européenne de Sécurité des Aliments (AESA) dont les avis conditionnent les autorisations accordées par la Commission Européenne (CE).

Cette réforme en cours sera bientôt soumise à l’avis des Etats membres de l’Union européenne, sous forme de « lignes directrices » d’évaluation préfigurant un règlement européen d’exécution qui avaliserait une supercherie : le principe d’ « équivalence en substance ». Explication de FNE. Ce qui fait scandale Jusque ici, l’évaluation d’une plante génétiquement modifiée (PGM) s’effectue au seul examen du dossier présenté par le pétitionnaire, sans contre-expertise. En décembre 2008, le Conseil européen des ministres de l’environnement, a émis un avis unanime pour que soient « renforcées et harmonisées les méthodes d’évaluation des risques des OGM en Europe ». Où réside la supercherie. Plantes mutées : ces OGM qui ne disent pas leur nom.

Les plantes mutées, d’un point de vue scientifique, sont bel et bien des organismes génétiquement modifiés. Pourtant les technologies utilisées pour manipuler leurs gènes ne sont pas soumises à la réglementation sur les OGM. Résultat : les plantes mutées échappent aux études, à l’étiquetage, et se retrouvent dans nos assiettes sans que nous puissions les repérer. Depuis l’apparition des OGM (organismes génétiquement modifiés) dans l’agriculture, la situation était relativement simple.

Il y avait d’un côté les plantes conventionnelles et de l’autre les plantes génétiquement modifiées. Les plantes transgéniques Pour bien comprendre il faut revenir à la définition des OGM. Aujourd’hui dans les champs on trouve majoritairement deux sortes de ces plantes transgéniques. Et puis il y a les plantes résistantes à un herbicide. Les plantes mutées par des techniques hasardeuses Passons maintenant aux plantes mutées.

Des risques pour la santé et pour l’environnement Pas d’études sur les plantes mutées. Les OGM dans tous leurs états : le Pr Gilles-éric Séralini réfuté avec virulence. Photo Article remonté de Sylvie Simon du 27/09/2012 Libération : OGM : l'affaire Séralini suite, fin et suite... ici Les OGM dans tous leurs états : le Pr Gilles-éric Séralini réfuté avec virulence Le jour même de sa parution dans la revue Food and Chemical Toxicology, les généticiens américains n’ont pas manqué de réfuter avec virulence l’étude de Gilles-éric Séralini, professeur à l'Université de Caen en France, dont nous avons parlé dans un article précédent. Le 20 septembre 2012, Le Los Angeles Times, sous la plume de Rosie Mestel, reprenait les arguments des biogénéticiens qui, n’ayant aucun argument sérieux, ont reproché à l’étude sa petite taille (!)

Et autres « sérieuses lacunes méthodologiques », telles que le type de rat utilisé dans la recherche qui est « est prédisposé à développer des tumeurs, ce qui rend les résultats difficiles à analyser ». Ensuite l’AFBV (Association Française des Biotechnologies Végétales) est entrée en lice. Marc Fellous source photo. Lobbying pro-OGM : "Voyages, cadeaux et un peu plus..."

Jean-François Le Grand, aujourd’hui président du Conseil Général de la Manche, est un des hommes politiques qui a suivi le plus à fond la question des OGM. Alors sénateur UMP, il fut en 2007 président de l’atelier OGM au Grenelle de l’environnement, puis de la Haute Autorité provisoire sur les OGM. Pour avoir exprimé des doutes lors de la première lecture du projet de loi OGM en janvier 2008, il était mis brutalement en minorité dans son propre groupe politique et privé de la présidence du Haut Conseil des Biotechnologies.

Il avait alors accusé publiquement ses détracteurs d’être les relais des lobbys pro-OGM. Jean-François Le Grand a récemment quitté l’UMP pour protester contre sa droitisation. Votre réaction après l’étude de Gilles-Eric Séralini… - Je connais bien Séralini et j’ai découvert les résultats de son travail dans la presse. Les conclusions de son travail corroborent-elles les doutes que vous aviez ? - A l’époque, je soulevais plusieurs objections. . - On peut le dire ! EXCLUSIF. Oui, les OGM sont des poisons !

(Cet article paraît dans le "Nouvel Observateur" daté du 20 septembre 2012) C’est une véritable bombe que lance, ce 19 septembre à 15 heures, la très sérieuse revue américaine "Food and Chemical Toxicology" - une référence en matière de toxicologie alimentaire - en publiant les résultats de l’expérimentation menée par l’équipe du français Gilles-Eric Séralini, professeur de biologie moléculaire à l'université de Caen.

Une bombe à fragmentation : scientifique, sanitaire, politique et industrielle. Elle pulvérise en effet une vérité officielle : l’innocuité du maïs génétiquement modifié. Lourdement toxique et souvent mortel Même à faible dose, l’OGM étudié se révèle lourdement toxique et souvent mortel pour des rats. En 2006, c’est comme un véritable thriller que commence cette recherche, dont le maître d’œuvre, Gilles-Eric Séralini, divulgue lui-même les conclusions dans un ouvrage à paraître la semaine prochaine ("Tous cobayes ! " Nom de code In Vivo Pathologies lourdes, tumeurs mammaires. OGM : 9 critiques et 9 réponses sur l'étude de Séralini. Après la publication de l’étude de Gilles-Eric Séralini, première étude sur la vie entière de rats nourris au maïs NK 603 et qui fait apparaître la toxicité de cet OGM sur ces rats, de nombreuses critiques et questions se sont fait jour sur les conditions de réalisation de l’étude et sa crédibilité.

Le Dr Joël Spiroux, co-auteur et directeur adjoint de l’étude, président du Criigen (Comité de recherche et d’information indépendant sur le génie génétique), répond. Première critique : 200 rats est un trop faible échantillon pour une étude solide… - L'échantillon des 200 rats, 20 rats par lot, correspond au nombre de rats utilisé par Monsanto dans son étude sur trois mois. En revanche, nous avons étudié beaucoup plus de paramètres toxicologiques. Pour travailler avec plus de rats, il fallait encore plus d’argent. Le type de rats employé, les "Sprague-Dawley", est connu pour développer facilement des tumeurs… - Ce qu'il faut regarder, c'est précisément la rapidité des déclenchements.

Does GMO Corn Really Cause Tumors in Rats? Mammary tumors that developed in rats fed GMO corn and/or low levels of Roundup. Whether the feeding regimes can be said to have caused the tumors remains a matter of debate. From the paper "Long term toxicity of a Roundup herbicide and a Roundup-tolerant genetically modified maize," published in Food and Chemical Toxicology. This week, a French research team published a paper in a peer-reviewed US journal showing that rats exposed to low doses of both genetically modified corn and the widely used herbicide Roundup had negative health effects. The results, already generating plenty of debate, are not as clear-cut as they seem at first glance. Before I dig into the study's details, it's worth pondering what we know about the long-term effects of eating genetically modified foods.

But what about "chronic" effects, ones that come on gradually and can't be easily tied to any one thing? So are GMOs adding subtly to to this sea of dysfunction? So what happened?