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Plénière 3 #RASTERE2013

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L'expertise de Vincent Dumez. Le patient comme bras droit du médecin. Les soins sur mesure ne sont pas qu'affaire de molécules et de technologies. La médecine se conjugue aussi de plus en plus au singulier, faisant du patient l'allié des soignants. Le mouvement de fond est encore timide, mais il a récemment fait son entrée au Québec en passant... par l'université. Vincent Dumez est en quelque sorte l'incarnation même du «patient partenaire» dont rêve l'Université de Montréal. Hémophile, et donc grand consommateur de produits sanguins, il a contracté le VIH et l'hépatite C au début des années 1980, dans la foulée du scandale du sang contaminé. «Mon quotidien est rythmé par trois maladies chroniques, ça colore forcément mon regard sur le monde médical», raconte celui qui se décrit d'abord comme un «pur produit des HEC». La mécanique complexe des établissements de santé n'a aucun secret pour ce «patient professionnel» dont l'expérience intime a servi de matière première à un mémoire de maîtrise.

Le virage n'est pas anodin. §. Centrale nucléaire de Fukushima Daiichi-Japon - Catastrophe nucléaire et rejets radioactifs - CRIIRAD. Mars 2017, Fukushima 6 ans, un cauchemar sans fin Mars 2016, Fukushima 5 ans après, la catastrophe est toujours en cours 11 mars 2015 : Il y a 4 ans, Fukushima...la CRIIRAD n’oublie pas et vous convie à des rencontres avec Wataru Iwata Janvier 2014 : Fukushima Daiichi, quelques nouvelles d’une catastrophe toujours en cours (Extrait du TU 61) Fukushima : ouverture de la zone interdite autour de la centrale C'est une première depuis l'accident nucléaire de Fukushima, la zone interdite autour de la centrale a été réouverte ce dimanche aux résidents des villages les moins irradiés.

Pour autant, l'essentiel de ce périmètre de 20 km reste un "no man's land" étroitement surveillé par la police. Publié le 1/04/2012- Vincent Touraine et Philippe Nibelle Création de laboratoires indépendants au Japon (historique de la collaboration CRIIRAD-CRMS) Témoignage de M Wataru Iwata, Directeur du CRMS, à travers un web-documentaire, (déc 2011) : Voir la vidéo. La connaissance comme « bien commun » ne se réduit pas à la science. La connaissance comme « bien commun » se réduit-elle à la science ? Pour répondre à cette question, il faut aller jusqu’aux frontières culturelles des sociétés.

Et de constater alors que la science est apparue en tant que telle à partir de la Renaissance à un moment où la rationalité occidentale s’est installée durablement dans le champ de la connaissance. En trois siècles, les experts ont supplanté les clercs. La science est devenue de plus en plus spécialisée, avec ses disciplines instituées et sa division du travail, ses instruments de mesure et ses instances de légitimité. Parallèlement, les savoirs des sociétés traditionnelles comme les médecines douces ont été délaissés. Les anthropologues amazoniens ont été les premiers à dénoncer cette domination lors du forum « Sciences et Démocratie », non sans avoir pointé la tension qui existe entre la tentation créationnisme et le scientisme triomphant. Allons, chemins faisant, du côté de l’anthropologie des techniques par exemple.

Remix biens communs.