Théâtre. La Tradition - KYUDO la voie de l'arc japonais à PARIS. Cet Art des guerriers Samouraïs du Japon féodal où prévaut l'efficacité et le meilleur de soi, est reconnu comme le plus haut niveau des disciplines martiales.
Utilisé à la guerre ou lors de cérémonies (en particulier des cérémonies Shintô, tradition spirituelle originelle du Japon dans laquelle le Respect de la Nature et des Eléments est Sacré), il se perfectionne au cours des siècles. Sous l'influence de la Tradition du Bouddhisme Zen il devient une méthode de Méditation en Action puissante et subtile, dans laquelle l'Archer va au-delà de lui-même de manière naturelle, automatique et inconsciente. L'histoire traditionnelle du Japon est riche en Légendes,en héros, en exploits et en innovations techniques originales.
La capacité d'intégration et de perfectionnement des cultures extérieures en fait d'elle-même une culture spécifique et unique dans le monde. Chaque période historique en est marquée et jalonnée. par son action, un rôle fondamentale dans la créativité. (ou Jinmu), Samourais et Ikebana. Un mot de Japonais par jour. Auteurs Japonais. Ce site présente l'ensemble des œuvres de la littérature japonaise traduites en français.
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Www.yagyu-shingan.com. iGoogle. (Critique) Saya Zamurai de Hitoshi Matsumoto. Une histoire simple et touchante par le réalisateur de Big Man Japan & Symbol.
Un vieux samouraï binoclard à la mine pathétique et sa fille abandonnent leur clan pour finalement être rattrapés par la police dans un fief clément. Pour être libéré, il a 30 jours pour réussir à faire rire un jeune Seigneur… Le topo résonne comme la profession de foi d’un Hitoshi Matsumoto, réalisateur Japonais qui s’occupe aussi et surtout d’émissions TV de divertissement au Japon – un peu comme Takashi Kitano. Avec l’idée de proposer un spectacle, de réussir à faire rire un public, ce troisième film de Matsumoto pourrait bien lui permettre de se faire plus largement connaître du public international. Ses précédents films alignaient des concepts originaux – le faux-documentaire d’un super-héros nippon avec Big Man Japan – mais ils finissaient par s’essouffler voire carrément épuiser devant le flot d’idées moyennement bien géré & rythmé.
SAMOURAIS - Les Guerriers du Japon. Sur la vie de Tsunetomo Yamamoto - Bushidô. Tsunetomo Yamamoto , était aussi connu sous le nom de Yamamoto Jocho, nom qu’il prit à son retirement. Né le 12 juin 1656 à Katatae (une région du fief des Nabeshima, la préfecture de Saga), Yamamoto Tsunetomo entra aux ordres du clan Nabeshima à l’âge de 9 ans. Son seigneur était alors Mitsushige Nabeshima, troisième daimyo de cette région. Yamamoto lui fut dévoué pendant trente ans, jusqu’à la mort de ce dernier à l’âge de 69 ans, le 16 mai 1700.
Yamamoto avait alors 42 ans. Yamamoto ne commit pas tsuifuku, Mitsushige Nabeshima ayant exprimé son désaccord envers cette pratique. Le fief des Nabeshima se situait sur l’île de Kyushu au sud-ouest du Japon. Pendant des années, l’Hagakure est resté la propriété du clan Nabeshima. "Après avoir lu des livres, il est mieux de les brûler ou les jeter. Dans les années 1930, l’Hagakure est devenu le travail le plus représentatif du Bushido. Un de ces hommes composa un Haiku, en février 1945, à l’âge de 22 ans : A retenir. Tsunetomo Yamamoto. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Jōchō Yamamoto Jōchō Yamamoto, né Yamamoto Tsunetomo (山本 常朝, Yamamoto Tsunetomo? , - 1719), était un samouraï japonais, vassal du seigneur Nabeshima Mitsushige de la province de Hizen.
Biographie[modifier | modifier le code] À l'âge de 9 ans, il entra dans la maison Nabeshima où il servit fidèlement pendant plus de trente ans, d'abord comme page du seigneur puis comme samouraï. À la mort de son seigneur, en 1700, il ne put pratiquer le seppuku pour le suivre dans la mort, suicide rituel et signe de dévouement ultime. Samouraï. Chefs-d'oeuvre de la collection Ann et Gabriel Barbier-Mueller II. Les Samouraïs - Part 1. HAGAKURE. Avant-propos Le Japon médiéval est entré dans l'histoire, et pourtant l'originalité actuelle de la nation japonaise n’est pas étrangère à ce que fut cette période au cours de laquelle s’est illustré celui que l'on nommait le Bushi, guerrier de la féodalité. Durant plus de huit siècles (8e au 16e siècle), l'histoire du Japon n'a été qu'une interminable guerre civile et c'est sans doute la raison pour laquelle nulle part ailleurs que dans ce pays, les traditions martiales - l'Art martial - et le culte du guerrier n’ont si profondément marqué la culture et la psychologie du peuple.