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Ce dossier fait suite au dossier "LA PHASE TERMINALE DE LA GLOBALISATION MONDIALE" par Brandon Smith (tout en bas du présent dossier.de revue de presse internationale).


Ceci ne doit pas être pris pour du conspirationnisme de ma part :
un certain nombre d'évènements (récents ou moins récents) tendent à bien s'intégrer dans la théorie de Brandon Smith ... et cela m’interpelle !

De plus, des sites et blogs de ré-information très connus et sérieux relayent souvent ses articles depuis des lustres et les traduisent en français.

Brandon Smith lui-même tâtonne car ce qu'il décrit ne fait l'objet d'aucune communication, et il est donc évident qu'il ne peut pas prévoir la date et l'heure d'un effondrement (comme il le dit dans l'un de ses articles, en réponse à un bidochon goguenard)

Etude : 80% des banques centrales veulent une cryptomonnaie nationale - Journal du Coin. Selon une étude récente du Cambridge Centre for Alternative Finance, les banques centrales du monde entier sont majoritairement favorables à la technologie Blockchain. Ceci, en dépit du récent rapport de la BCE selon lequel la technologie Blockchain est trop jeune pour être utilisée à grande échelle. Les banques centrales interrogées ont indiqué que 20% d’entre elles utiliseront la technologie Blockchain d’ici 2019, et 40% d’ici une décennie. La Blockchain au service des banques centrales Parmi les répondants, beaucoup ont refusé de donner des délais, mais ont indiqué que la technologie Blockchain figurait en tête de leur liste de priorités.

Les résultats indiquent ce que de nombreuses études de marché avaient déjà noté, à savoir que le secteur bancaire commence à saisir la puissance de la technologie Blockchain. La Blockchain au service de l’État L’utilisation de la blockchain dans le secteur gouvernemental a fortement augmenté. Source : Cointelegraph Photo : Steven Lilley 20 septembre 2017. 100 euros investis en bitcoins en 2009 rapportent aujourd'hui... 260 millions d'euros. Avec une progression de près de 65% au cours du mois dernier, le bitcoin a franchi la barre des 2 000 dollars pour une unité. Sa capitalisation totale atteint désormais les 30 milliards d'euros. Le 22 mai, un bitcoin s'échange pour 2 150 dollars, soit un énième plus haut historique au cours des dernières semaines pour la plus populaire des crypto-monnaies. Le bitcoin, dont la jeune histoire est faite de rebondissements, avait atteint les 1 000 dollars il y a quatre ans, avant que sa valeur ne chute brusquement, notamment à cause de l'effondrement de la plus importante plateforme de trading, Mt.

Gox. Mais depuis, la monnaie virtuelle a largement refait ses pertes, doublant sa valeur depuis le début de l'année 2017. Plusieurs facteurs peuvent expliquer cette progression vertigineuse, le principal étant l'intérêt croissant dont elle fait l'objet en provenance d'Asie. En tout état de cause, les investisseurs de la première heure peuvent se frotter les mains. McAfee «mangera sa b*** à la télévision» si le bitcoin n'atteint pas 500 000 dollars d'ici trois ans. Habitué des sorties choc, l'entrepreneur John McAfee a cette fois mis sa peau en jeu. Littéralement. Convaincu que le bitcoin va connaître une progression stratosphérique, il a parié qu'il mangerait son sexe à la télévision si ce n'était pas le cas.

John McAfee, créateur du logiciel du même nom et observateur avisé de l'évolution du monde numérique, s'est lancé dans des prévisions à haut risque concernant l'avenir du bitcoin. «Sur le long terme, le bitcoin va dépasser les 500 000 dollars d'ici trois ans. On parie ?» , a-t-il écrit sur son compte Twitter. Une prévision pour le moins osée : le bitcoin, bien que très volatile, oscille entre 1 800 et 2 500 dollars depuis quatre mois. Aussi risqué soit-il, le pari de l'entrepreneur américain n'est cependant pas désintéressé.

Lire aussi : 100 euros investis en bitcoins en 2009 rapportent aujourd'hui... 260 millions d'euros. JPMorgan impliqué dans du trading lié au bitcoin quand son PDG voit cette monnaie comme une «fraude» Alors que le PDG de JPMorgan n'avait pas eu de mots assez durs contre la cryptomonnaie, la qualifiant de «fraude» qui allait «imploser», utile aux «meurtriers et aux dealers», la banque a acheté des produits financiers qui lui sont liés... La banque américaine JPMorgan a été contrainte de s'expliquer sur son implication dans un instrument financier lié au bitcoin, alors qu'une semaine auparavant son PDG Jamie Dimon en avait fait une critique au vitriol. Les données fournies par la place financière Nasdaq Stockholm ont en effet révélé que JPMorgan était un des plus gros acheteur d'un «Exchange Traded notes» (ETN, un titre de créance répliquant la performance d'une matière première) qui se base sur le bitcoin.

Mais la banque s'est empressée de minimiser son rôle dans ces achats. «Ce ne sont pas des ordres passés par JPMorgan, il s'agit de clients achetant des produits à un tiers directement», a assuré un porte-parole de l'entreprise au site Business Insider le 18 septembre. JP Morgan aurait acheté des Bitcoins - CryptoActu. La banque d’affaires JP Morgan Chase, dont le PDG a récemment qualifié le Bitcoin “d’escroquerie”, aurait profité de la baisse du bitcoin pour acheter des bitcoins XBT en masse. Cette information est à prendre avec des pincettes, à l’heure où nous écrivons ces lignes, nous pouvons voir sur le site Nordnet un historique d’achat ou le nom de la célèbre banque d’affaires apparait, elle aurait acheté plus de 19 102 Bitcoin XBT pour près de 2, 77 Millions d’euros.

Qu’est ce qu’un “Bitcoin XBT” ? Bitcoin XBT est un produit financier proposé par le fond XBT Provider. C’est un moyen détourné (et légal) de vendre ou d’acheter des Bitcoins sur des marchés financiers tels que le Stockholm Stock Exchange. Techniquement, sa valeur est calculée comme ceci : C’est le prix moyen d’un Bitcoin sur le marché, duquel est soustrait une commission, le tout multiplié par 0.05 pour donner une fraction plus facilement tradable. “Kjopt” Veut dire “Acheté” En Suedois, et “Solgt” Vendu. Manipuler le marché. Les BRICS pensent lancer un concurrent au Bitcoin - Sputnik France. Economie URL courte Réunis en Chine, les chefs d’État de cinq puissances émergentes qui représentent 40% de la population mondiale se pencheront sur le projet de création de leur propre monnaie cryptographique.

Bientôt un nouveau concurrent au Bitcoin? En contrepoids aux monnaies virtuelles déjà existantes, les BRICS pensent lancer leur propre monnaie numérique, a fait savoir ce lundi le président du Fonds russe des investissements directs (RDIF), Kirill Dmitriev. «La perspective de création d'une monnaie numérique des BRICS, en tant qu'alternative aux autres moyens de paiement, sera probablement discutée au sein du BRICS Business Council», a-t-il indiqué ce lundi. Selon le responsable, les échanges entre les pays au sein de l'organisation s'effectuent actuellement en monnaies nationales. «Cependant, les cybermonnaies sont de plus en plus discutées en tant que possible mécanisme de paiement», explique-t-il. © Sputnik. Bitcoin : petite infographie. La monnaie unique mondiale des globalistes ressemblera beaucoup à Bitcoin.

Par Brandon Smith – Le 27 juillet 2017 – Source alt-market.com Cette semaine, le Fonds monétaire international a choqué certains analystes économiques avec une annonce selon laquelle l’Amérique n’était « plus la première dans le monde » en tant que moteur principal de la croissance économique. Cette assertion piquante s’inscrit parfaitement dans le récit du dernier sommet du G20 : que les États-Unis s’affaiblissent en laissant la porte ouverte pour que des pays comme l’Allemagne et la Chine s’unissent et remplissent le pourvoir laissé vacant.

J’ai écrit à propos de cette relation croissante entre ces deux nations ainsi que de la démolition contrôlée continue de l’économie américaine dans mon article intitulé Le nouvel ordre mondial commencera par l’Allemagne et la Chine. Le FMI conteste constamment et activement la position économique de l’Amérique, car le FMI n’est PAS une organisation contrôlée par l’Amérique. Continuons… Le fait est qu’elle existe déjà, et juste sous leur nez. La Russie lance une opération de 100 millions de dollars de minage de bitcoin. Par Tyler Durden – Le 9 août 2017 – Source Zero Hedge Dans ce que certains ont qualifié un moment de « bassin hydrographique » pour bitcoin, Bloomberg rapporte qu’une entreprise en co-propriété d’un conseiller du président russe Vladimir Poutine cherche à étendre l’industrie du minage de bitcoin en Russie, tirant parti de l’énergie bon marché en Russie pour rivaliser avec la Chine comme le plus grande marché du monde en terme de minage de cette crypto-monnaie.

La société, connue sous le nom de Russian Miner Coin, ou RMC, cherche à recueillir 100 millions de dollars dans une première offre de pièces, promettant aux acheteurs un droit sur 18% du chiffre d’affaires du minage de l’entreprise, selon une présentation citée par Bloomberg. Russian Miner Coin détient une offre dite de monnaie initiale, où les investisseurs utiliseront des unités d’Ethereum ou de bitcoin pour acheter de nouveaux jetons RMC. Au début, l’entreprise s’appuiera sur les circuits intégrés Bitfury. Tyler Durden.

Flashback

Top 10 des arnaques aux crypto-monnaies – blockchain-invest.fr. Si les crypto-monnaies et les ICO sont la plus part du temps sérieuses, certaines offres sont tous simplement des arnaques voici notre liste : Plexcoin l’offre fait valoir un nouveau token bassé sur Ethereum qui offrirait « des services connexes (PlexWallet, PlexCard et PlexBank) développés de manière à révolutionner l’utilisation de la cryptomonnaie et de la rendre accessible à tous » Néanmoins de nombreux indices montrent que c’est un « scam » ou en français dans le texte une belle arnaque.

Les démarches invérifiables voir fausses au sujet de la PlexCard VISA (carte Visa) proposée. Le manque de transparence du site Internet PlexCoin. Le manque de transparence sur la composition de l’équipe proposant le projet. La blockchain appliquée au paiement, entre limites et promesses. Problème de scalabilité et coût des structures : les faiblesses de la blockchain pourraient faire passer au second plan sa sûreté et sa rapidité.

La première application de la blockchain – et la plus développée aujourd'hui – est bien sûr la monnaie virtuelle Bitcoin. Pas étonnant, donc, que les acteurs bancaires réfléchissent à des applications de la blockchain dans le domaine du paiement et du transfert d'argent. Pourtant, cet usage est loin d'être le plus évident et plusieurs questions techniques devront être résolues avant que les acteurs bancaires ne puissent se lancer sur le créneau. "La technologie blockchain actuelle présente un problème de scalabilité, analyse Frédéric Dalibard, responsable du digital de la banque de grande clientèle de Natixis, filiale du groupe BPCE.

Imaginer un équivalent de Visa sur la blockchain est pour l'instant impossible. " "Il faudra s'assurer que les promesses de diminution des coûts sont réelles" Banques : comment la gestion de titres va être transformée par la blockchain. Grâce à la blockchain, les banques espèrent se passer des tiers de confiance coûteux qui assurent la bonne passation des titres.

D'ici quelques années, le processus d'émission et de passation de titres pourrait être complètement transformé par l'utilisation de la blockchain. En ligne de mire : l'amélioration des opérations automatisées et de la confirmation des opérations et la réduction les frais de garde (le coût de tenue de comptes titres). "Le meilleur exemple à l'heure actuelle sont les expérimentations menées par le Nasdaq, note Grégory Chenue, chef de projet au marketing stratégique du groupe Crédit Agricole SA.

En janvier, ils ont mis en place une technologie blockchain sur l'un de leurs sous marchés. " Les investisseurs ont une vision instantanée de leurs transactions et une traçabilité parfaite des titres qu'ils possèdent. Eliminer les risques de non-livraison des titres Le fonctionnement d'aujourd'hui à deux ou trois intermédiaires s'en verrait considérablement simplifié. La blockchain permet aux banques de s'assurer entre elles en toute confiance. Swap de taux d'intérêt : derrière cette formule se cache l'un des principaux instruments de couverture interbancaire.

Un process lourd et coûteux... pour le moment. Parmi les trois "business cases" principaux étudiés par le consortium international de banques R3 qui se penche sur la blockchain : le swap de taux d'intérêt. Ce produit financier est un instrument de couverture qui permet d'échanger un taux d'intérêt fixe contre un taux d'intérêt variable, ou inversement, sur une période donnée. Il repose sur un accord entre deux contreparties qui s'engagent à se verser des flux selon des taux prédéfinis. "C'est un excellent cas d'usage pour les contrats intelligents de la blockchain", explique Frédéric Dalibard, responsable du digital de la banque de grande clientèle de Natixis, filiale du groupe BPCE.

La blockchain va éviter l'intermédiation de places de trading. Pourquoi la blockchain peut booster le commerce international. Le trade finance, soumis à l'intervention de multiples acteurs et à un processus long et peu réglementé, est un champ d'application parfait pour la technologie. S'il est moins fréquemment évoqué que la gestion de titres ou la connaissance client, le trade finance, ou financement du commerce international, est l'une des applications phares de la blockchain pour les banques de financement et d'investissement.

"Le métier est opérationnellement très lourd, décrit Frédéric Dalibard, responsable du digital de la banque de grande clientèle de Natixis, filiale du groupe BPCE. Il implique de nombreux intervenants dans plusieurs pays : producteurs, transporteurs, entrepôts, un destinataire final…" Des banques de compensation s'échangent les documents par fax, physiquement et en ligne, et débloquent les fonds au fur et à mesure de l'avancée de la transaction des biens. "Le processus est long et il y a un risque de débloquer des fonds sans que les produits ne soient livrés. " Banques : comment la blockchain va révolutionner la connaissance client. La technologie derrière les monnaies virtuelles permettra aux acteurs bancaires de partager leurs informations sur les individus. La blockchainisation du secteur de la finance est en marche.

"Nous observerons les premiers usages à grande échelle sur certains marchés dans les deux ans à venir, assure Frédéric Dalibard, responsable du digital de la banque de grande clientèle de Natixis, filiale du groupe BPCE. Et la technologie sera diffusée au plus grand nombre dans les cinq à dix ans. " Déjà, les banques testent différentes blockchains et applications. A l'international, au sein du consortium R3, qui regroupe 42 acteurs. En France, grâce à l'initiative de la Caisse des Dépôts et Consignations, lancée en décembre dernier avec une quinzaine de partenaires.

Et des applications concrètes se dessinent. Le KYC, fondamental pour lutter contre la fraude Le KYC est en effet l'un des grands chantiers sur lequel travaillent aussi bien R3 que l'initiative CDC. Et aussi : Banques : comment la gestion de titres va être transformée par la blockchain. Ce qu'attendent les start-up du législateur concernant la blockchain. Depuis un an, l'Etat français multiplie les discussions avec les start-up françaises du secteur. Les idées ne manquent pas pour combler le vide juridique autour de cette technologie. Début avril, le ministère de l'Economie et des Finances a ouvert une consultation publique visant à permettre le transfert de titres financiers ou l'enregistrement de transactions à travers la blockchain.

Cette consultation fait suite à la publication de l'ordonnance du 28 avril 2016 relative aux bons de caisse qui définit pour la première fois la blockchain dans le cadre de la création des titres émis par une entreprise en contrepartie d'un prêt accordé sur une plateforme de crowdfunding. Depuis un mois, les fintech et associations concernées planchent sur les 20 questions posées par la direction générale du Trésor dans le but de moderniser la législation.

Objectif : aboutir à un texte le 6 décembre prochain. Eviter les contraintes Rapprocher start-up et juristes Définir l'actif numérique Et aussi : Blockchain : définition et application de la techno derrière le bitcoin. L'ICO, ou comment lever des millions en quelques secondes.