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La pensée en philosophie

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Ce que signifie penser (texte de Descartes) | | La philosophie au bac 2013La philosophie au bac 2013. On confond habituellement la pensée et son résultat. On pourrait croire par exemple qu’un ordinateur « pense » , parce qu’il effectue certaines opérations impliquant une forme d’intelligence. Ce serait oublier qu’il n’y a pas de pensée sans conscience de soi, et que tout pensée est d’abord cette expérience de soi , ce rapport de soi à soi: « Par le mot de penser, j’entends tout ce qui se fait en nous de telle sorte que nous l’apercevons par nous-mêmes; c’est pourquoi non seulement entendre, vouloir, imaginer, sentir aussi est la même chose ici que penser. Descartes, Principes de la philosophie, Pléiade p. 574. Cognition. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La cognition est souvent étendue au-delà du seul cadre de la cognition humaine pour inclure tous les processus « intelligents » y compris chez les animaux non-humains ou mis en œuvre au sein de systèmes artificiels, comme les ordinateurs.

Les sciences cognitives rassemblent l'ensemble des domaines scientifiques consacrés à l'étude de la cognition notamment, les neurosciences, la psychologie, l'intelligence artificielle, les mathématiques appliquées à la modélisation des fonctions mentales, l'anthropologie, ou la philosophie de l'esprit. Cette recherche transdisciplinaire est souvent fédérée par des hypothèses relatives à la nature de la cognition, conçue comme simulation, comme manipulation formelle de symboles ou encore comme une propriété émergeant des systèmes complexes.

Cognition froide contre cognition chaude[modifier | modifier le code] Cognition artificielle[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code] Encéphi - Le corps et l’esprit. Par Jean Laberge, du cégep du Vieux Montréal Qui suis-je? Un corps? Un esprit? Suis-je les deux? Comment l'esprit est-il relié au corps, au cerveau en particulier?

Ou uniquement de la matière? Ai-je une conscience qui me distinguerait des tables, des roches et des animaux, des légumes, comme les tomates et les concombres? Quelle est la différence (s'il y en a une) entre l'esprit, l'âme , la conscience, la pensée, et le moi? Les autres ont-ils un esprit comme moi? Et les animaux ont-ils des croyances (des "états mentaux")? Les ordinateurs peuvent-ils penser? Qu'est-ce que les neurosciences peuvent nous apprendre sur la question de l’esprit, de la conscience humaine? Enfin, que m'est-il permis d'espérer à ma mort? Ouf ! La philosophie de l'esprit L’expression " philosophie de l’esprit " est la traduction de l’anglais philosophy of mind. La philosophie de l’esprit s’inscrit dans le courant de la tradition de la philosophie analytique anglo-saxonne du langage.

Histoire de la pensée philosophique. Histoire du mind-body problem. Recensé : Pascale Gillot, L’esprit, figures classiques et contemporaines, Paris, CNRS Editions, 2007, 315 p., 30 euros. L’ouvrage de Pascale Gillot peut se lire de deux manières, qui ne sont pas exclusives l’une de l’autre : il constitue à la fois une introduction à la philosophie de l’esprit et une mise en perspective de la philosophie de l’esprit contemporaine, telle qu’elle s’est développée aux Etats-Unis depuis le tournant cognitiviste. Pascale Gillot expose la construction du problème du corps et de l’esprit, puis elle met en évidence les rémanences de cette problématique de William James à Jaegwon Kim.

L’impensable interaction psychophysique et son logique abandon L’ouvrage propose un panorama historique de différentes philosophies de l’esprit. Si la philosophie cartésienne s’impose comme point de départ, c’est, bien évidemment, parce que c’est elle qui institue le problème du rapport entre le corps et l’esprit. Eliminer le problème ou éliminer l’esprit ? Le mentalisme et son refus. Penser, réfléchir, apprendre. Par John Dewey Extrait de « Comment nous pensons » Les 4 acceptions du terme « pensée » La pensée inconsciente Les émotions Les hypothèses non vérifiées La superstition La superstition est un résultat aussi naturel que la science La pensée réfléchie Définition de la pensée réfléchie Synonimes de fonction de signifier Douter et rechercher Penser en fonction d'un but : rechercher Les 5 étapes de la réflexion Un bébé intellectuel Problème que doit résoudre le bébé La maîtrise du corps est un problème intellectuel L'acte d'apprendre Leçons non rattachées à des problèmes L'observation devrait impliquer la découverte Comment susciter l'intérêt pour la recherche et la réflexion?

Responsabilité de l'élève dans la recherche Nécessité du loisir de l'esprit Avoir foi en l'intégrité de l'esprit Les 4 acceptions du terme « pensée » de la plus étendue à la plus restreinte De façon générale nous désignons d'abord par pensée « tout ce qui nous passe par la tête », laissant alors à ce mot un sens large, sinon vague. . [...] Pensée. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Au sens large, la pensée est une activité psychique, consciente dans son ensemble, qui recouvre les processus par lesquels sont élaborés, en réponse aux perceptions venues des sens, des images, des sensations, des concepts que l'être humain associe pour apprendre, créer et agir. C'est aussi, une représentation psychique, un ensemble d'idées propres à un individu ou à un groupe, une façon de juger, une opinion (façon de penser), un trait de caractère (avoir une pensée rigoureuse), etc.

Souvent associée au célèbre cogito ergo sum de Descartes, la notion de pensée est aussi un héritage de l'Antiquité, philosophie antique grecque et romaine, et traditions judéochrétiennes. Étymologie[modifier | modifier le code] Penser vient du bas latin «pensare» ( en latin classique : peser, juger) , fréquentatif du verbe « pendere » : peser. Définition[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code] Pensée. « Qu'est-ce que la pensée ? Platon l'a très bien défini: "un dialogue invisible et silencieux de l'âme avec elle-même"Invisible et silencieux. Secret. Ce qu'on appelle la vie intérieure, c'est cette vie secrète qui, de prime abord, je dis bien de prime abord, on va en reparler, sinon il n'y aurait pas d'ambiguïté, est dissimulée à l'autre, opaque à l'autre. Il y a une sorte de sphère invisible qui m'entoure et où nul ne pénètre sauf par effraction, et est-ce que ce n'est pas là le grand privilègede l'être humain ?

Dans les périodes les plus difficiles de l'histoire de l'Humanité, par exemple la fin de la Cité Grecque Antique, ou l'effondrement de l'Empire Romain, on s'aperçoit qu'au moment où les hommes éprouvent douloureusement leur impuissance à l'égard de leur destin, des philosophes vont tenter de sauvegarder la dignité humaine en invitant l'homme à se replier sur son for intérieur, for, forum en latin, le lieu où l'on parle, le lieu où l'on se parle à soi-même. Pensée et réalité : essai d'une réforme de la philosophie critique / par A. Spir ; trad. de l'allemand sur la 3e édition par A. Penjon...

Accessiblité Une question ? Espace personnel Recherche avancée Aucun mot recherché, veuillez saisir un terme. Fermer Accueil Consultation Pensée et réalité : essai d'une réforme de la philosophie critique / ... Informations détaillées Notice complète Titre : Pensée et réalité : essai d'une réforme de la philosophie critique / par A. Auteur : Špir, Afrikan Aleksandrovič (1837-1890) Éditeur : au siège des facultés (Lille) Date d'édition : 1896 Contributeur : Penjon, Auguste (1843-1919). Type : monographie imprimée Langue : Français Format : 1 vol. Format : application/pdf Droits : domaine public Identifiant : ark:/12148/bpt6k69545q Source : Bibliothèque nationale de France, 8-Z-12168 (5) Relation : Description : Collection : Travaux et mémoires des facultés de Lille ; 5, 18 Provenance : bnf.fr Date de mise en ligne : 15/10/2007 Zoom Feuilleter en plein écran Affichage Table des matières Aller à la page de la table des matières XI Page (Vue 17 / 590) Téléchargement.

Philosophie. Les mots du sujet Raison scientifique : pensée scientifique. Il est spécifié dans l'intitulé du sujet qu'il s'agit d'une raison c'est à dire d'une pensée rationnelle. La science n'est, en effet, pas l'opinion. La raison scientifique, c'est donc la science en tant que pensée rationnelle. Le sens du problème Le problème est de savoir s'il y a une place pour la philosophie dans une société qui pense que la science et la technique peuvent tout nous apporter. Présupposé de la question On présuppose l'existence d'une société qui accorde toute sa confiance à la science et la technique. Réponse spontanée Elle est négative. Introduction Autrefois la philosophie avait pour ambition de tout connaître et de nous apporter le bonheur comme en témoigne le projet des philosophes antiques. I La perspective positiviste. 1) L'idéal positiviste. 2) Y a-t-il une place pour la philosophie dans l'idéal positiviste ?

Elle a l'avantage de sa méthode. 3) Critique du positivisme. a) La question des sciences. Philosophie. Qu'est-ce que la philosophie? Il est assez facile d'en donner une définition générale, de dire qu'elle est la science des principes, la science des premières causes. Le malheur est que ces formules prêtent à des interprétations diverses et qu'elles n'apprennent rien à celui qui ne connaît pas par avance le sens dont il est possible de les remplir. En fait, la philosophie pendant des siècles s'est confondue avec la science elle-même. Son objet n'était autre que l'objet même du savoir humain, le monde et l'esprit. Or cette science universelle peu à peu s'est morcelée, divisée en sciences spéciales, qui semblent ne laisser à la philosophie, qui les embrassait toutes, aucun objet propre. Les mots philosophe, philosophie (φιλόσοφος, φιλοσοφία) ne se trouvent ni dans Homère, ni dans Hésiode.

Les premiers penseurs continuent l'oeuvre des vieux poètes qui expliquent le monde et son évolution par l'histoire des dieux. La philosophie, suivant Platon, est « l'acquisition de la science ». PSYCOG_-_Ch1.pdf. Qu'est-ce qu'une idée ? Retour à l'index La philosophie est la discipline des idées, et c’est la même chose de connaître un philosophe et de comprendre ses idées. Mais tout le monde a des idées, à un niveau ou à un autre : on peut avoir une idée pour le repas de soir ou pour les vacances de l’année prochaine.

L’idée définit la pensée : penser, cela ne consiste pas à produire des représentations dans sa tête mais à avoir des idées. Souvent, par exemple devant une question philosophique, nous n’en avons pas : la question ne nous dit rien, et on sèche devant sa feuille ou son écran, à moins qu’on essaie de se tromper soi-même en s’en tenant aux idées des autres. Et soudain, nous prenons conscience que nous sommes en train de travailler, engagés sur une voie plus ou moins prometteuse mais dont nous ne pourrons définir la valeur qu’après coup : une idée nous est venue.

Les idées, donc, on ne les produit pas : elles nous viennent. Un commencement C’est que toute idée est un commencement. Il n’y a d’idée qu’étonnante. Que signifie penser en philosophie ? - Le blog de paris-cafephilo. Mardi 15 novembre 2 15 /11 /Nov 16:18 Paris Café philo du 13/11/2011 Penser, acte reflexif de l'homme vis à vis de sa conscience a commencé en Occident à se structurer durant la période helleniste avec la création de courants philosophiques.

Politiquement, il nécessite un système démocratique permettant la liberté d'expression de chacun. Penser, du latin pensare,peser, est la fonction qui forme des idées dans nos esprits. Tous les champs de la connaissance utilisent la pensée mais avec des moyens différents : par démonstration pour les mathématiques, par expérimentation pour la physique, par parabole pour la religion, par dialectique pour la philosophie Penser en Science, en Philosophie, en Religion ne se déroule donc pas de la même manière. Si penser est synonyme de distanciation, critique, analyse, doute, retour sur soi, en revanche, cela s'oppose à l'action, la croyance, l'habitude, l'évidence, l'essencialisme, au dogme, au groupe. » Kant: L’éthique de la pensée. Dans la Critique de la faculté de juger, Kant énonce trois maximes que tout homme doit respecter pour faire un bon usage de sa pensée : Penser par soi-même.

Kant dit de cette maxime qu’elle est la maxime de la pensée sans préjugés, c’est-à-dire d’une raison qui n’est jamais passive. La raison cesse d’être passive lorsqu’elle conquiert l’autonomie. Car elle commence par être hétéronome. L’allégorie de la caverne ou la réflexion kantienne sur les Lumières montre pourquoi. Tant que c’est une loi étrangère à celle de la raison qui détermine l’activité de la pensée ; que cette loi soit celle de la nature (le besoin, la pulsion) ou celle d’un tuteur, le sujet est hétéronome.

Il est mineur intellectuellement et moralement. Penser en se mettant à la place de tout autre. C’est la maxime de la pensée élargie. Qu’est-ce, en effet, qui nous sauve de l’arbitraire d’une mythologie personnelle, de la clôture de ce que Kant appelle « une singularité logique » ? Toujours penser en accord avec soi-même.