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Quelle crise du capitalisme ?

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La crise des subprimes, éclatement d’une bulle ou cris. La trêve estivale a pris fin.

La crise des subprimes, éclatement d’une bulle ou cris

L’actualité va bientôt reprendre ses droits et avec elle l’activité d’Horizons. Il arrive parfois que dans la torpeur des mois d’été survienne dans l’indifférence générale des évènements à portée historiques, les médias continuant à s’intéresser à l’actualité sportive, aux accidents de la route et aux diverses morts violentes qui surviennent ici ou là. Déjà au cours de l’été 2004, les prix du pétrole avaient commencé à flamber et il avait fallu plusieurs mois pour que l’on s’en inquiète.

Au cours de l’été 2007, la crise des crédits à risques ("subprimes") a fait quelques unes, mais entre le discours rassurant des élites officielles et le dilettantisme des médias, l’affaire passe presque inaperçue ou elle est présentée sous un jour suffisamment technique pour être incompréhensible au grand public. Pourtant, cette crise pourrait bien annoncer un Krach de grande ampleur de tout le système économique mondial.

Malakine. RR_seriePH_2007-1.pdf (Objet application/pdf) Comment protéger l'économie réelle, par Frédéric Lordon (Le Mond. Spéculation immobilière, ralentissement économique En complément de son article publié dans Le Monde diplomatique de septembre, et qui analyse la crise financière partie cet été du marché américain du crédit immobilier (lire « Quand la finance prend le monde en otage »), Frédéric Lordon livre, dans cet article exclusif pour notre site Internet, ses pistes de réflexion sur la finance... et les moyens de limiter sa suprématie.

Comment protéger l'économie réelle, par Frédéric Lordon (Le Mond

Cet ensemble d’articles fait l’objet d’un débat sur notre site par Frédéric Lordon, septembre 2007 Aperçu Il se pourrait qu’il y ait du vrai dans l’adage populaire voulant qu’« à quelque chose malheur [soit] bon » — mais encore faut-il aller débusquer ce « quelque chose » là où il se cache... Taille de l’article complet : 7 321 mots. Vous êtes abonné(e) ? Connectez-vous pour accéder en ligne aux articles du journal. Vous n'êtes pas abonné(e) ? Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout le site. Accès sans abonnement. Quand la finance prend le monde en otage, par Frédéric Lordon (L. Spéculation immobilière, ralentissement économique « La tourmente que traversent actuellement les marchés financiers va peser sur la croissance mondiale », estime le directeur général adjoint du Fonds monétaire international (FMI), M.

Quand la finance prend le monde en otage, par Frédéric Lordon (L

John Lipsky. Plus soucieux que lui de rassurer l’opinion (et les investisseurs), les gouvernants des Etats-Unis, d’Europe et du Japon prétendent que les fluctuations boursières ne constitueraient qu’un simple accident de parcours dans un ciel dégagé. L’agitation a été enclenchée par la faillite aux Etats-Unis d’un marché de l’immobilier gorgé de crédits distribués sans discernement : pour le seul segment des prêts les plus risqués, dits « subprime », les créances hypothécaires en circulation atteindraient 1 300 milliards de dollars ; de un à trois millions d’Américains pourraient devoir vendre leur habitation.

Par Frédéric Lordon, septembre 2007. Le capitalisme, un système économique condamné par la science. Crise systémique globale / USA-UK - L. Manifeste d’économistes atterrés, 01/09/2010. From Gilles Raveaud Cette initiative d’André Orléan, président de l’AFEP, et de Philippe Askenazy, Thomas Coutrot et Henri Sterdyniak Manifeste d’économistes atterrés, 01/09/2010 [looking for someone to translate this into English] Introduction La reprise économique mondiale, permise par une injection colossale de dépenses publiques dans le circuit économique (des États-Unis à la Chine), est fragile mais réelle.

Manifeste d’économistes atterrés, 01/09/2010

Un seul continent reste en retrait, l’Europe. Dans l’Union Européenne, ces déficits sont certes élevés – 7% en moyenne en 2010 – mais bien moins que les 11% affichés par les États-Unis . Il a fallu la dégradation, le 15 juin, de la note de la Grèce par l’agence Moody’s, pour que les dirigeants européens retrouvent le terme d’ « irrationalité » qu’ils avaient tant employé au début de la crise des subprimes. En tant qu’économistes, nous sommes atterrés de voir que ces politiques sont toujours à l’ordre du jour et que leurs fondements théoriques ne sont pas remis en cause.