Umr6576.cesr.univ-tours.fr/Publications/HasardetProvidence/fichiers/pdf/Jutier_Buttay.pdf. Revue d'histoire moderne et contemporaine (1954-), T. 49e, No. 3 (Jul. - Sep., 2002), pp. 227-230. Persée : Portail de revues en sciences humaines et sociales. Arts libéraux et arts libres à Paris au XVIIIe siècle : peintres et sculpteurs entre corporation et Académie royale. English abstract on Cairn International Edition Résumé Français.
Www.frichtiweb.com/files/1303298371charlotte_guichard.pdf. Daniel Roche, républicain des lettres. Persée : Portail de revues en sciences humaines et sociales. Le pape et les artistes au milieu du XIVe siècle. Réflexions sur les notions d’acteur et d’institution * - Circé. Histoires, Cultures & Sociétés. Résumé / Abstract L’article étudie les liens entre acteur(s) et institution(s) en se basant sur l’exemple du mécénat du pape Clément VI (1342-1352).
Il s’attache à montrer comment l’acteur modèle l’institution dont il est partie prenante et, inversement, comment l’institution peut modeler les formes de l’action individuelle. Ces éclairages aboutissent à une réflexion sur ces deux notions opposées, auxquelles les historiens se heurtent. Les difficultés méthodologiques ressenties découlent peut-être d’un manque d’attention donnée aux systèmes de règles - variables selon les institutions et susceptibles d’adaptation par les individus - qui se trouvent entre l’acteur et l’institution. Article au format html Dans Le Parrain (The Godfather, 1972) de F.F. Persée : Portail de revues en sciences humaines et sociales. De l'usage de l'art en politique - Jean-Philippe Luis (dir.) 00685570, version 1] "Introduction" de l'ouvrage "De l'usage de l'art en politique" Le Prince et les arts. Les regalia au crible de la caricature du XVIe au XVIIIe siècle. De l'usage de l'art en politique.
L'art de la paix en Europe avec Lucien Bély. Naissance de la diplomatie moderne (XVIe-XVIIIe siècle) Professeur d’Histoire moderne à l’Université Paris IV-Sorbonne, auteur d’un ouvrage magistral intitulé L’art de la paix en Europe (PUF), Lucien Bély présente ici les origines de la diplomatie moderne, fondatrice du Concert européen. Nous sommes le 2 mai 1598, à Vervins au nord-est de Laon. Dans cette petite ville de l’Aisne est signé un traité entre le roi Henri IV et le roi d’Espagne Philippe II. Les rides d'Apollon : l'évolution des portraits de Louis XIV. Notes Abbé MAZIERE DE MONVILLE, La Vie de Pierre Mignard, premier peintre du Roy, avec le poëme de Moliere sur les Peintures du Val-de-Grace, Paris, J.
Boudot, J. Guerin, 1730, p. 174. Quelle est l’œuvre en question ? Dénigrer, espérer, assumer la réalité. Le roi de France perçu par ses sujets, 1680-1750. Notes Cet article présente quelques-uns des résultats d’une thèse de doctorat allemande publiée : Jens Ivo ENGELS, Königsbilder.
Sprechen, Singen und Schreiben über den französischen König in der ersten Hälfte des achtzehnten Jahrhunderts, Bonn, Bouvier, 2000. Je tiens à remercier Cynthia Couhade, Claire Fredj et Ulrike Krampl pour avoir rendu ce texte plus compréhensible en français. Les fautes que l’on pourrait encore déceler ne sont en revanche imputables qu’à l’auteur. Les tempos de l'histoire : à propos des arts dans l'Italie de la Renaissance. Notes.
La musique à la Cour de France au XVIe siècle. On sait depuis longtemps que l’injonction de Castiglione en 1528 (« Je ne suis pas satisfait du Courtisan s’il n’est aussi musicien, et si, outre la capacité de lire une partition, il ne sait pas jouer de divers instruments ») reposait sur des pratiques avérées : la cour de la Renaissance est le lieu privilégié de l’exercice musical.
Les travaux récents sur la cour entre Moyen Âge et période moderne ont bien mis en évidence le rôle de celle-ci comme creuset culturel et lieu d’élaboration d’un mode de vie singulier [1] On se reportera en particulier à : Ronald ASH et Adolf... [1] . Mais ils n’ont pas toujours isolé le rôle spécifique de la musique dans ces processus.
Les approches musicologiques des cours italiennes, depuis le travail pionnier de Iain Fenlon jusqu’au récent et remarquable ouvrage de Stefano Lorenzetti [2] Iain FENLON, Music and Patronage in Sixteenth Century... [2] , n’ont pas donné lieu à des travaux similaires sur le royaume de France. Les cent fleurs de la Renaissance. Le début du XXIe siècle fut propice aux bilans et aux perspectives, surtout pour les historiens de la Renaissance : après un colloque organisé au Centre d’Études Supérieures de la Renaissance à Tours en 2000 sur « la Renaissance au XXe siècle », une rencontre s’est proposée de réfléchir à Genève, sous les auspices de la FISIER, au devenir des études sur la Renaissance, alors même que, pour la première fois depuis longtemps, le programme de l’agrégation d’histoire invitait les candidats et leurs préparateurs à penser « la Renaissance, des années 1470 aux années 1560 ».
S’il est difficile de mesurer l’impact de ces manifestations et sur la communauté universitaire et sur le public intéressé par la Renaissance, il est certain qu’elles ont contraint les spécialistes de la période à analyser leurs pratiques récentes. Ce sont d’abord les questions de définition qui intéressent la majorité des intervenants. . « The best term for the period is still Renaissance. Questions de méthode ensuite. Histoire sociale et musicologie : un tournant historiographique. Une campagne de presse en 1791 : la folie de Louis XVI. Notes Sur la rumeur, l’ouvrage fondateur est celui de Georges Lefebvre, La Grande Peur de 1789, Paris, Sedes, 1932 ; plus récemment, Yves-Marie Bercé, Le roi caché.
Sauveurs et imposteurs, mythes politiques populaires dans l’Europe moderne, Paris, Fayard, 1990. Le recours à l’image comme source d’histoire a acquis un certain lustre dans l’histoire de la Révolution française avec les grandes publications du Bicentenaire et des années immédiatement postérieures : voir Annie Duprat, « Iconographie historique et Révolution : les bilans, 1989-2004 », La Révolution à l’œuvre, ss dir. J-C. Martin, Rennes PUR, 2005, p.293-304. Les langages de la politesse. Revue Sociétés & Représentations 2008/2, Gloire et Pouvoir. Ce dossier s’intéressera, à travers une approche interdisciplinaire, aux modes de figuration et de représentations de la gloire de l’antiquité à nos jours.
Il comprendra la présentation de personnages/figures de gloire ; il s’intéressera aux processus de l’héroïsation en relation avec la construction de l’image du héros ; il montrera le rôle des monuments durables, éphémères, fragiles dans les fêtes de célébration et les rituels. Gloire et Pouvoir Page 13 à 21. Les rois de représentation image et pouvoir (xvie–xviie siècle) Pouvoir - Passion - Représentation: Les stratégies intermédiales des arts en France à l'âge classique. Die Wirksamkeit von Macht zu erkennen beruht, ganz analog zu Poussins Analysen der Möglichkeits- und Erkenntnisbedingungen des Bildes, auf einer Analyse, die ihre Sichtbarkeit zugrunde legt.
Formen der Macht zu begegnen, bedeutet demgemäß, sich mit ihren Bildern auseinanderzusetzen. Die Erkennbarkeit von Macht ist dabei an eine bestimmte Sichtbarkeit, nämlich die Vorstellbarkeit (Modellhaftigkeit, Anschaulichkeit, Denkfigur) gebunden, denn die Macht und ihre Wirkungsweisen produzieren unterschiedliche Bildformen: konkrete Bil-der und ihre Namen, mentale Bilder und ihre an das soziale Imaginäre gebundene Vorstellungen und nicht zuletzt die an das Bild geknüpften Erscheinungsbedingungen selbst.
Entre Soleil et Lumières - Représentation, Pouvoir, Passion et les stratégies intermédiales des arts en France à l'âge classique" Constater des effets du pouvoir permet d'analyser ses manières d'être et donc sa visibilité. Mercredi, le 2 décembre 2009 10:00h: Prof. Introduction: Markus A. Le prince et les arts, Stratégies figuratives de la monarchie française de la Renaissance aux lumières. Répondant à une commande qui s’adapte aux concours de l’enseignement secondaire, le Capes 2010, Gérard Sabatier regroupe dans cet ouvrage un ensemble d’articles difficilement trouvables ailleurs, et seulement connus de ceux qui ont eu la chance d’assister à ses communications dans un certain nombre de séminaires ou de colloques entre 1991 et 2010.
Montrer le lien organique entre les arts et l’exercice du pouvoir monarchique.