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Précarité énergétique

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Précarité énergétique.

Observatoire national de la précarité énergétique

Réseaux de lutte contre la précarité énergétique. Précarité énergétique et sociologie. Precarité énergétique et CEE. Mal-logement : 8 millions de Français n'ont pas les moyens de se chauffer. Programme habiter mieux. Rapport de l'AIE : « Evaluating the co‐benefits of low‐income energy‐efficiency programmes » L’unité "efficacité énergétique" de l’Agence internationale de l’énergie (AIE) a lancé un nouveau programme de travail sur les politiques d’efficacité énergétique destinées à réduire la précarité énergétique.

Rapport de l'AIE : « Evaluating the co‐benefits of low‐income energy‐efficiency programmes »

Cette nouvelle politique de recherche met l’accent sur les programmes d’investissement direct en faveur de l’isolation des logements des ménages modestes, que de nombreux pays membres de l’AIE ont mis en place dans le but de réduire les factures d’énergie des ménages à faibles revenus. Un problème récurrent de ce type de programmes réside dans la modestie des économies d’énergie réalisées, lorsqu’elles sont comptabilisées de manière isolées, par rapport aux investissements requis, suggérant un faible « retour sur investissement » des dépenses publiques engagées.

Association Sante Environnement de France - La précarité énergétique : quelles conséquences pour la santé ? Écrit par Dr Halimi Créé le mardi 5 avril 2011 09:47 Aujourd’hui, on entend beaucoup parler de «précarité énergétique».

Association Sante Environnement de France - La précarité énergétique : quelles conséquences pour la santé ?

Mais que veut vraiment dire ce terme aux allures technocratiques? Qui en souffre? Comment sait-on si on en souffre? Et surtout quels peuvent être ses effets sur la santé? Conditions de vie-Société - La précarité énergétique : avoir froid ou dépenser trop pour se chauffer. Isolde Devalière, Centre scientifique et technique du bâtiment, Pierrette Briant et Séverine Arnault, division Logement, Insee Résumé La loi reconnaît la précarité énergétique comme une difficulté à disposer de la fourniture d’énergie nécessaire à la satisfaction de ses besoins élémentaires en raison de l’inadaptation de ses ressources ou de ses conditions d’habitat.

Conditions de vie-Société - La précarité énergétique : avoir froid ou dépenser trop pour se chauffer

Dans tous les cas, le ménage doit alors faire des arbitrages : se chauffer au risque d’impayés ou ne plus se chauffer et subir les conséquences du froid sur sa santé, son logement, sa vie sociale. Ainsi, 3,8 millions de ménages de France métropolitaine ont un taux d’effort énergétique supérieur à 10 % de leur revenu tandis que 3,5 millions déclarent souffrir du froid dans leur logement. Les ménages modestes sont surtout exposés au froid car ils cumulent des contraintes financières et un habitat peu performant. 621 000 ménages souffrent des deux formes de précarité. Bienvenue sur le site de l'APPA. Sommaire Editorial par Isabelle ROUSSEL - Télécharger l'article, 334 Ko Quand le logement rend malade : Véronique STELLA, Marie MOISAN - Lire le résumé - Télécharger l'article, 312 Ko Précarité énergétique et santé : "to heat or to eat?

Bienvenue sur le site de l'APPA

" : Véronique EZRATTY - Télécharger l'article, 2 Mo Etude de la précarité énergétique potentielle à partir des données de la campagne nationale "logements" de l'observatoire de la qualité de l'air intérieur : Jean-Paul LUCAS, Isolde DEVALIERE, Corinne MANDIN et Séverine KIRCHNER - Lire le résumé - Télécharger l'article, 371 Ko Sensibilisation et information des ménages à revenus modestes : Quels impacts sur la précarité énergétique ? A lire également : Impact des chauffages d'appoint au pétrole sur les concentrations de monoxyde de carbone dans les logements : C. CHAMBON et C. SCHADKOWSKI - Air Pur n°70 consacré au Monoxyde de Carbone Voir tous les numéros. Précarité énergétique (Observatoire national de la ...) Pour une tarification écologique et solidaire de l'énergie. Le chantier 'précarité énergétique'.

Epee Project. WP5_D15_FR.pdf (Objet application/pdf) «Il faut interdire les logements les plus énergivores» Un «énorme gâchis d’argent».

«Il faut interdire les logements les plus énergivores»

A l’heure où le gouvernement va installer son observatoire national de la précarité énergétique, Nicolas Garnier, secrétaire général de l’association Amorce (association nationale des collectivités, des associations et des entreprises pour la gestion des déchets, de l’énergie et des réseaux de chaleur), ne mâche pas ses mots concernant le Fonds solidarité logement (FSL), qui vient se substituer aux ménages ne pouvant plus régler leur facture d’énergie. Financé à 80% par les collectivités et 20% par EDF, «ce fonds n’a qu’une vocation, dénonce Nicolas Garnier: qu’EDF ou GDF soient bien payés…» La Mairie de Paris souligne qu’entre 2007 et 2011 elle a dû augmenter «de 52% sa participation au FSL, qui va passer à 3,83 millions d’euros cette année». Parallèlement «19.000 foyers ont été aidés en 2010, contre environ 12.200 en 2007.» En France la consommation énergétique moyenne en énergie primaire est de 240 kW/m2/an dans l’ensemble du parc résidentiel.

Alterre Bourgogne - Vulnérabilité énergétique des ménages. RAPPEL. Ademe Généralités précarité énergétique. Ademe - février 2010 - Cahier collectivités. Précarité énergétique Une nouvelle dynamique pour lutter contre l’exclusion sociale Le rapport sur la précarité énergétique remis en janvier dernier à Valérie Létard, secrétaire d’État à l’Écologie, témoigne d’une prise de conscience inédite de ce fléau.

Ademe - février 2010 - Cahier collectivités

Réalisé dans le cadre du Plan bâtiment Grenelle et avec le concours de l’ADEME, ce document recense également de nombreuses propositions pour lutter contre ce phénomène. Précaires énergétiques : quand se chauffer devient un luxe. Un chauffage devant une fenêtre (AddyLaddy/Flickr). « Pendant les fêtes, on est surtout restés dans la cuisine : on ne chauffait ainsi qu’une seule pièce. » Un Noël à la campagne, sous la neige.

Précaires énergétiques : quand se chauffer devient un luxe

Depuis quelques années, la maman de Laurence – une coiffeuse à la retraite – se chauffe beaucoup moins, à cause des prix sans cesse plus élevés du gaz. « On restait près de la cheminée, avec nos gros pulls. Dans sa campagne en plein hiver, ce froid ambiant n’a fait que rendre l’atmosphère encore plus austère. » Décembre 2010. Comme Ségolène qui, malgré une commande groupée de fioul à un prix négocié dans son hameau en pleine campagne, « râle quand on aère alors que les radiateurs fonctionnent » : « J’ai toujours au moins une à deux polaires sur moi, malgré le fait que j’arrive à payer la livraison. Et de fait, comme l’a étudié l’Insee, un ménage se chauffant au fioul – très courant à la campagne – dépense 28% de plus qu’un ménage identique se chauffant à l’électricité.