background preloader

PIPA SOPA

Facebook Twitter

Cyber Intelligence Sharing and Protection Act. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Comme les précédents projets SOPA et PIPA, CISPA est critiqué par plusieurs organisations au nom de la protection de la vie privée et de la neutralité du réseau. L'Electronic Frontier Foundation estime que le projet de loi « donnerait à des entreprises et au gouvernement de nouveaux pouvoirs pour surveiller et censurer les communications qui porteraient atteinte au droit d'auteur »[1]. Références[modifier | modifier le code] Lien externe[modifier | modifier le code] (en) Texte du projet de loi. La loi CISPA adoptée par les députés aux Etats-Unis. La loi CISPA adoptée à la Chambre des Représentants des Etats-Unis. Au pays de l'Oncle Sam existe la proposition de loi Cyber Intelligence Sharing and Protect Act (CISPA) prévoyant une série de mesures d'échanges d'informations entre le secteur privé et les autorités dans le but de répondre plus efficacement aux menaces informatiques.

Controversée - CISPA a déjà déclenché l'inquiétude de Barack Obama - la proposition donnerait tout pouvoir aux agences fédérales américaines (FBI, NSA, ATF...) pour perquisitionner au sein des bases de données des fournisseurs d'accès à Internet ainsi qu'aux messageries électroniques. Pire, comme le rappelle Numerama, elle contournerait les propres règles de respect de la vie privée mises en place par les acteurs du secteur, afin de partager certaines informations avec des agences intégralement privées. Pour l'instant, rien n'est encore fait et le texte doit encore passer devant le Sénat américain avant son éventuelle validation. Le Cispa voté par la Chambre des représentants américaine.

In French - En Français

In English. ACTA. STOP ACTA - Appel mondial à la mobilisation le 11 février. Une pirate contre ACTA. OWNI a rencontré Amelia Andersdotter, eurodéputée suédoise du Parti pirate, le seul parti en Europe centré sur les libertés numériques. La jeune fille a un gros dossier sur son bureau : ACTA, l'accord anti-contrefaçon jugé liberticide. Un sujet plus débattu que jamais, comme en témoigne l'annonce ce mercredi de la saisine de la Cour de justice de l'UE par la Commission européenne et de nouvelles manifestations samedi. Amelia Andersdotter, Parti Pirate suédois, en visite à Paris, février 2012.

(cc) Samuel Huron/Flickr Pantalon orange pétant, comme la salopette de son collègue élu au Parlement de Berlin, veste violette toute aussi éclatante, la parole spontanée à l’image de ses tweets, 24 ans et des études pas finies, et pour cause : la jeune Suédoise Amelia Andersdotter est très prise par son nouveau job. Pas un mac job mais un siège de député au Parlement européen (PE) où elle représente le Parti pirate (PP). Quel jugement portez-vous sur le Parlement européen ? Une stratégie, au travers et au-delà de l'ACTA. Les événements de ces deux dernières semaines ont radicalement altéré le cours du débat sur ACTA et de sa procédure de ratification, tant au niveau européen que des États membres. La pression citoyenne colossale a eu un effet incontestable et a modifié l'équilibre des forces en présence.

De peur qu'ACTA soit rapidement rejeté, le commissaire européen De Gucht a réussi à ralentir la procédure d'un ou deux ans. En gardant à l'esprit des objectifs clairs, il est peut-être temps de penser aussi au-delà d'ACTA pour comprendre comment tenter collectivement de protéger nos libertés en ligne, en repensant un régime du droit d'auteur malade, en guerre contre l'Internet libre. ACTA est peut-être déjà mort Nous, citoyens, pouvons être fiers Néanmoins, le professeur Michael Geist n'a pas été aussi modéré que ce à quoi ses hôtes s'attendaient sans doute. Un enterrement de première classe pour ACTA La stratégie de De Gucht, Moreira et des derniers pro-ACTA pour repousser la défaite L'ennemi polymorphe 1. Acta 2. #OccupyProtectIP SOPA/PIPA/ACTA. INDECT le méga cyber espion européen pire qu'ACTA. Pire qu' ACTA, PIPA et SOPA réunis, il y a INDECT, le grand oublié des pétitions qui tournent en ce moment.

Lancé en silence le 1er janvier 2009, le programme européen de recherche INDECT est étallé sur 5 ans. C'est le temps nécessaire pour mettre en place ce méga cyber espion. Officiellement, la Commission Européenne a chargé le consortium INDECT de mettre en place "un système intelligent d'information permettant l'observation, la recherche et la détection en vue d'assurer la sécurité des citoyens dans un environnement urbain" et dont le but est en fait "la détection automatique des menaces, des comportements anormaux ou de violence.

". Voilà qui a le mérite d'être explicite ... Au nom de notre "sacro-sainte" sécurité, il se construit un monde où notre liberté semble fondre comme neige au soleil. Big Brother est bien là ... La Commission Européenne avait prévu en 2009, un investissement de plus de 10 millions d'euros. Le préambule du cahier des charges fixé en 2009 est sans appel : Projet INDECT. ACTA - La Quadrature du Net | Internet & Libertés.