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Philosophie

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Prochaines soirées de la Cloche. L'analyse des patients narcissiques. Dans l’intérêt d’un développement favorable du nourrisson dans la position paranoïde-schizoïde, il faut que les bonnes expériences prédominent sur les mauvaises. Le vécu réel du nourrisson dépend de facteurs à la fois extérieurs et intérieurs. La privation extérieure, physique ou mentale, empêche la gratification; mais même lorsque le milieu est propice à des gratifications, celles-ci peuvent encore être modifiées ou même évitées par des facteurs internes. Mélanie Klein décrit l’envie comme étant un de ces facteurs qui agissent depuis la naissance et affectent matériellement les toutes premières expériences du nourrisson.

L’envie a été reconnue depuis longtemps par la théorie psychanalytique et dans sa pratique comme une émotion de la plus grande importance. Freud surtout a accordé une grande attention à l’envie du pénis chez la femme. Jalousie : définition et synonymes du mot jalousie dans le dictionnaire. » Erreur et illusion. Dans les deux cas l’esprit a un rapport imaginaire à la vérité.

» Erreur et illusion

Il erre loin d’elle mais si dans l’erreur il se trompe, on peut dire que dans l’illusion il est trompé. L’une est le signe d’un manque de connaissance et l’aveu d’une imprudence de l’esprit. (Sauf dans la recherche scientifique où le risque de l’erreur est instrumentalisé pour discriminer le vrai du faux). L’erreur est donc la marque d’une faiblesse. L’illusion est plutôt l’expression de la force de certaines puissances trompeuses s’exerçant sur l’esprit et l’égarant. L’erreur procède d’ordinaire d’un défaut ou d’un manque de connaissance. Si l’on prend acte de la démarche scientifique on s’aperçoit qu’il y a une fécondité de l’erreur dans la mesure où l’esprit ne s’enferme pas en elle.

Ce n’est pas le cas avec l’illusion. L’illusion consiste (illudere : se jouer, se moquer de) à prendre des fictions pour des réalités. Il s’ensuit que l’illusion est réfractaire à la confrontation au réel. Freud, L'Avenir d'une illusion. Violence. Taux de violence physique pour 100 000 habitants par pays en 2002[1].

Violence

Pas de données Moins de 200 200-400 400-600 600-800 800-1000 1000-1200 1200-1400 1400-1600 1600-1800 1800-2000 2000-3000 Plus de 3000 La violence est l’utilisation de force ou de pouvoir, physique ou psychique, pour contraindre, dominer, tuer, détruire ou endommager. Elle implique des coups, des blessures, de la souffrance, ou encore la destruction de biens humains ou d'éléments naturels. Selon l'OMS[2], la violence est l'utilisation intentionnelle de la force physique, de menaces à l'encontre des autres ou de soi-même, contre un groupe ou une communauté, qui entraîne ou risque fortement d'entraîner un traumatisme, des dommages psychologiques, des problèmes de développement ou un décès. La violence est observable chez les humains comme chez les animaux, ce qui indique sa signification évolutive et biologique[3].

Force (vertu) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Force (vertu)

Pour les articles homonymes, voir force. Sur les autres projets Wikimedia : Force (vertu), sur Wikimedia Commons. Bonheur. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour le canard de fiction, voir Gontran Bonheur. Le bonheur se lit sur le visage de cet enfant. Définition[modifier | modifier le code] Étymologie[modifier | modifier le code] Étymologiquement, ce mot vient de l'expression « bon eür ». « Eür » est issu du latin augurium qui signifie « accroissement accordé par les dieux à une entreprise ». Augere, auctus : « s'accroître » qui a donné augmenter…auctor : « qui fait croître », « fondateur », « auteur », qui a donné auteur, autoriser, autorité, octroyer… Du point de vue de l'étymologie, le bonheur est l'aboutissement d'une construction, qui ne saurait être confondue avec une joie passagère. Bonheur et plaisir[modifier | modifier le code] Le bonheur et le plaisir sont deux notions qui portent à confusion.

En philosophie[modifier | modifier le code] Épicure (3eme s. av JC)[modifier | modifier le code] Blaise Pascal (XVIIe siècle)[modifier | modifier le code] Liberté. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Liberté

Pour le sens commun, la liberté s'oppose à la notion d'enfermement ou de séquestration. Une personne qui vient de sortir de prison est dite libre. Le sens originel du mot liberté est d'ailleurs assez proche : l'homme libre est celui qui n'appartient pas à autrui, qui n'a pas le statut d'esclave. Cette notion renvoie à une double réflexion : Rêve. Le rêve est une «disposition de l'esprit généralement nocturne, survenant au cours du sommeil, et qui procure à l'individu éveillé des souvenirs nommés eux aussi rêves».

Rêve

Au cours de l'histoire et des civilisations, le rêve a été un moyen de s'affranchir du temps et de l'espace ordinaire, pour accéder au surnaturel, aux ancêtres, au divin, ou encore comme un moyen de guérison, de connaissance et de révélation. L'approche rationnelle et scientifique en fait un processus ancré dans le corps et lié à l'activité cérébrale au cours du sommeil. Le rêve pose toujours la question de son sens et de sa signification, ou de son rôle et de sa fonction (approches philosophique, psychodynamique, neurobiologique...).