background preloader

Actualité articles Philosophie du langage

Facebook Twitter

John Langshaw Austin. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

John Langshaw Austin

Pour les articles homonymes, voir Austin. Biographie[modifier | modifier le code] Quand dire, c'est faire[modifier | modifier le code] Son œuvre la plus connue en France How to do Things with Words (1962) (traduite sous le titre de Quand dire, c'est faire) porte un titre qui se réfère ironiquement à la tradition anglo-saxonne des livres de conseils pratiques (par exemple : How to make friends). Les idées que développe Austin remontent à 1939 et elles ont fait l'objet d'un article en 1946 puis de conférences à la BBC avant d'être prononcées sous la forme de conférences en 1955.

Les philosophes ont longtemps supposé qu'une affirmation ne pouvait que décrire un état de fait, et donc être vraie ou fausse ; autrement dit, qu'il n'y avait que des énoncés constatifs. Métalinguistique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Métalinguistique

Métalinguistique est un adjectif qui signifie « relatif au métalangage ». Les mots grammaire, verbe, nom, et adjectif peuvent être utilisés de façon métalinguistique. Par exemple, nom désigne tantôt le mot par lequel on appelle une personne : le mot nom fait partie de l'onomastique dans « ce nom ne m'est pas étranger » ou « quel est votre nom de famille ? » mais quand nom désigne la nature grammaticale d'un mot, comme dans « en français, le nom précède en général le verbe », le mot nom est un terme métalinguistique.

N'importe quel mot peut devenir métalinguistique. L'usage d'un mot dans un registre métalinguistique s'accompagne d'une neutralisation. Tous les belle des phrases « je suis belle », « tu es belle », « elle est belle », sont des adjectifs qualificatifs.Il m'a convaincu, tout comme le chimpanzé qui meurt d'être seul, que « je » n'existe que si « tu » existe ; où le verbe existe est à la 3e personne du singulier dans les deux cas[1]. Le langage. Les enjeux de la notion – une première définition Si nous voulions définir communément ce qu’est le langage, probablement dirions-nous qu’il est un véhicule des pensées, des émotions.

Le langage

Ainsi, nous insisterions sur sa dimension de moyen (en vue d’une fin), d’instrument, ou encore d’outil de communication. Quelle que soit la fonction qu’on assigne au langage, on assume qu’il est postérieur aux pensées et émotions dont il est l’expression. Une telle conception n’est pas simplement une opinion ; elle a été très largement partagée par les philosophes et savants de tout temps. Mais ceux-ci n’en reconnaissent pas moins les pouvoirs du langage (et pour certains de l’écriture) : le langage est ce qui permet d’organiser les pensées, d’avoir des idées générales, de procéder à l’abstraction, de classer les choses ou encore de persuader, d’agir sur les autres, etc.

Introduction à la philosophie du langage. Le langage - Cours de philosophie. Dire et vouloir dire. Autour de « Must we mean what we say ?

Dire et vouloir dire

» de S. Cavell Introduction : Le fondement rationnel de la philosophie du langage ordinaire. Dire et vouloir dire ( deuxième partie) Autour de « Must we mean what we say ?

Le fondement rationnel de la philosophie du langage ordinaire.

» de S. Cavell Alors que tout le poids de la critique de Mates se trouve dans la dénonciation de l’absence de fondements solides des procédures du langage ordinaire, autrement dit « l’accusation caractéristique de la non-vérifiabilité empirique »[1], Cavell retourne cette critique, en montrant qu’elle-même n’est pas fondée, c’est-à-dire que « certains des arguments qu’avance Benson Mates contre les philosophes d’Oxford qu’il mentionne sont au total sans pertinence au regard de leurs préoccupations principales »[2].

Du fait que son « excellent collègue Benson Mates trouvait l’apport philosophique des travaux d’Austin – pour dire les choses brutalement – tout à fait nul »[3], celui-ci néglige de prendre en considération ce qui « est dit » (ce qui est avancé et revendiqué) par les philosophes de l’ordinaire. Toute parole est située ; pour la comprendre et l’estimer, il faut tenir compte de son contexte global. Le type d’affirmation produite par la philosophie de l’ordinaire. « Vouloir dire », est-ce une question d’intention ? (1. Roman Bonnery - La question du « vouloir dire » résiste à une lecture purement sémantique et n’est guère plus explicitée par la distinction sémantique-pragmatique.

« Vouloir dire », est-ce une question d’intention ? (1

Il y a une sorte de « logique de l’ordinaire » sur laquelle repose la rationalité des procédures du langage ordinaire. Nous sommes autorisés à énoncer des énoncés du premier et du second type[1], parce que nous partageons une même communauté linguistique, sur laquelle nous nous fondons pour dire ce que nous disons. Le sens commun 1. LA SEMANTIQUE : DE L’ENONCIATION AU SENS COMMUN Eléments pour une pragmatique topique Première partie : DE L'ÉNONCIATION AU SENS COMMUN 1.

Le sens commun 1

Recherches doctorales En Décembre 1989, nous avons présenté en soutenance une thèse de doctorat nouveau régime intitulée : Pragmatique du langage et lexicographie - le statut et le traitement de l'aspect pragmatique du langage dans les dictionnaires de langue française . Cette première grande recherche constitue le point de départ des travaux en­trepris depuis, puisqu'elle pose, outre les problèmes spécifiques dont elle traite, les principaux jalons d'une réflexion devant aboutir à la thématisation de la question du sens commun. La thèse constitue une critique des dictionnaires de langue à partir des perspectives de la pragmatique du langage. . - La seconde section pose les conditions de possibilité d'une théorie pragmatique du lexique (ou modèle de la pragmatique lexicale) susceptible de caracté­riser une lexicologie de l'énonciation. 2. 3.

Le sens commun 2. LA SEMANTIQUE : DE L’ENONCIATION AU SENS COMMUN Eléments pour une pragmatique topique Deuxième partie : POUR UNE HISTOIRE DU CONCEPT DE SENS COMMUN 1.

Le sens commun 2

Position du problème. Le langage : une empreinte cognitive. 1Dans le cadre de son Programme d’étude de la cognition sociale(2003)1, le linguiste Ray Jackendoff perçoit dans le concept d’organisation sociale le trait caractéristique d’une majorité d’espèces animales.

Le langage : une empreinte cognitive

Ce phénomène, quoique différent d’espèce en espèce, demeure une réalité pour l’essentiel assez stable au cœur de celles-ci. Mais dans le vaste panorama des populations terrestres, l’homme moderne et sa nature pour le moins singulière font figure d’exception. Au contraire des chimpanzés, nos cousins les plus proches dans la superfamille des hominoïdes, pour qui les habitudes sociales et culturelles ne se distinguent d’un groupe à l’autre qu’à très peu d’égards, les peuples humains connaissent des sous-ensembles très divers d’usages partagés et transmis. Cette variété culturelle significative figure traditionnellement parmi les attributs nécessaires évoqués par les ethnologues en vue de différencier l’homme de l’animal (Tattersall, 1998).

La philosophie du langage au XXème siècle. Bibliographie de logique et de philosophie du langage.