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2012 Fatou Bensouda Procureure CPI

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Pour les articles homonymes, voir Bensouda. Fatou Bom Bensouda, née le à Banjul, est une avocate gambienne, procureure générale de la Cour pénale internationale (CPI)[1], après en avoir été pendant huit ans procureure-adjointe. Biographie[modifier | modifier le code] Enfance[modifier | modifier le code] Fatou Bensouda naît à Banjul au sein d'une famille nombreuse, son père est polygame, et a six enfants de l'une de ses épouses (la mère de Fatou) et sept enfants de l'autre épouse[2]. Formation[modifier | modifier le code] Fatou Bensouda est très jeune intéressée par la défense des droits des personnes, notamment des femmes et assiste à des procès[2].

Gambie[modifier | modifier le code] TPIR[modifier | modifier le code] En mai 2002, elle devient conseillère juridique et substitut du procureur au Tribunal pénal international pour le Rwanda, à Arusha en Tanzanie[4]. Originaire de Gambie. Gambie. République de Gambie (en) Republic of The Gambia La Gambie, en forme longue la république de Gambie, en anglais Gambia ou The Gambia, et Republic of The Gambia, est un pays situé en Afrique de l'Ouest.

Gambie

C'est le pays d'Afrique continentale ayant la plus petite superficie : 11 300 km2. 15/06/2012 Procureur de la CPI. Bureau du Procureur. Bureau du Procureur Phakiso Mochochoko, directeur de la Division de la compétence, de la complémentarité et de la coopération Le Bureau du Procureur est l'un des quatre organes de la Cour.

Bureau du Procureur

À sa tête, se trouve le Procureur, Fatou Bensouda, qui a pris ses fonctions le 15 juin 2012 remplaçant le premier Procureur de la CPI Luis Moreno-Ocampo. Mme Bensouda a été elue par l'Assemblée des États Parties pour un mandat de neuf ans. Le Bureau du Procureur se compose de trois Divisions. Le Bureau mène des enquêtes et des poursuites au sujet d’actes de génocide, de crimes contre l’humanité et de crimes de guerre commis sur le territoire ou par les ressortissants d’un État partie depuis le 1er juillet 2002, date d’entrée en vigueur du Statut de Rome.

12/2012 Honte de l'Afrique par Calixthe Beyala. Fatou BENSOUDA procureur de la Cour Pénale Internationale : Une honte pour l'Afrique.

12/2012 Honte de l'Afrique par Calixthe Beyala

Nous avons presque le même âge, Fatou et moi... Des femmes d'origine Africaine, nées bien après les indépendances, c'est-à-dire que ni elle ni moi, n'avions connu l'esclavage, la colonisation et encore moins le code de l'indigénat ! Pourtant, pourtant Fatou Bensouda apparaît chaque jour un peu plus comme une pauvre chose, une Africaine au cerveau encerclé de chaînes, aux pieds liés, pliée sous le poids des coups de fouet donnés par le maître. Elle obéit au doigt et à l'oeil à tous les désidératas de ceux qui piétinent et avilissent l'Afrique. Il est à craindre qu'elle serait prête à brader son pays, à soumettre son peuple si l'Autre le lui demandait. Et la voilà à harceler Laurent Gbagbo parce qu'ainsi le veut le Maître, à vouloir le garder en prison, parce que le maître souhaite se débarrasser de tous les négrillons empêcheurs d'exploiter en toute quiétude.

Mais qu'a-t-elle donc fait Simone ? 12/2014 met fin aux poursuites de Omar el Bechir. Béchir jubile!

12/2014 met fin aux poursuites de Omar el Bechir

Fatou Bensouda a fait part de sa décision lors d'un discours devant le Conseil de sécurité auquel elle présentait un rapport. Elle n'aurait pas été élue mais choisie. PS : la titraille est de la rédaction Analyse parue fin janvier 2012 sur un blog consacré en général aux affaires de pédo-criminalité...et donc a priori loin des affaires africaines qui nous occupent.

Elle n'aurait pas été élue mais choisie

Sauf que l'auteur démontre que, au mépris des textes de la Cour pénale internationale et de la démocratie, la successeuse de Luis Moreno Ocampo à la fonction de procureur de la CPI n'a pas été "élue"... mais sélectionnée, choisie et désignée pour son appartenance africaine !!! Appartenance dont on imagine qu'elle devait dans l'esprit des maîtres de la CPI protéger (au prix du racialisme le plus patent) celle-ci de l'accusation récurrente de ne juger que des...Africains. Article initialement paru sous le titre : 2016 serait victime de pressions du gvt français. Leader politique centrafricain, Pascal Bida Koyagblele a récemment fait des révélations sur un entretien qu’il a eu avec Fatou Bensouda, la procureure de la Cour pénale internationale (Cpi).

2016 serait victime de pressions du gvt français

Pascal Koyagbele, par ailleurs candidat malheureux à la présidentielle en Centrafrique, a affirmé que lors d’une rencontre aux Pays-Bas, la procureure de la Cpi lui a confié qu’il n’y a “rien de sérieux’’ contre l’ex-président ivoirien Laurent Gbagbo, que “c’est la France qui met la pression’’ et qu’elle “n’y peut rien’’. Ensuite, à la question de savoir si ces propos qu’il a rapportés dans un média sud-africain viennent réellement de Fatou Bensouda et s’il est prêt à aller devant les tribunaux avec la procureure de la Cpi au cas où celle-ci l’accuse de diffamation, le leader centrafricain a expliqué : « Nous avons porté à la défense du président Gbagbo des éléments probants sur cette question. Il appartient à la défense d’exploiter au mieux ces éléments.