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Actu : Légales ou non, les plateformes de musique ne rapportent rien aux artistes - SOUN music - Communauté de la Musique Indépendante. Musique en ligne : la Spedidam critique Hadopi et le manque de rémunération des artistes. « Musique en ligne : avec ou sans Hadopi, les artistes ne perçoivent aucune rémunération. » Voilà comment la SPEDIDAM, la Société de perception et de distribution des droits des artistes-interprètes, titre son communiqué de presse envoyé il y a quelques heures à peine. Véritable pamphlet envers les maisons de production et envers l'Hadopi, le texte s’attaque en particulier aux rémunérations quasi nulles des artistes sur les ventes de leur musique sur Internet… En effet, selon la Spedidam, « l’artiste doit se contenter d’un seul cachet forfaitaire au moment de l’enregistrement et puis… plus rien, quelle que soit la valeur de l'utilisation du titre ou de l’album.

Concrètement, un guitariste, un batteur, un bassiste, aussi créatif soit-il, recevra une centaine d’euros pour solde de tout compte et cela même si l’enregistrement remporte un vrai succès et génère d’importants revenus sur internet. » Un problème évident d'équité Hadopi, inutile sur tous les fronts pour l'UFC Nil Sanyas. La musique légale peut être "illégitime et injuste" malgré Hadopi. Aurait-on oublié un sujet lors des débats Hadopi 1 et 2 ? Plusieurs députés viennent de saisir le ministère de la Culture d’une question sur la rémunération des artistes interprètes via les plateformes en ligne, labellisée Hadopi ou non. L’enjeu : ce que compte faire maintenant la Rue de Valois pour garantir une rémunération des artistes pour l’exploitation de leur musique en ligne. Le député Albert Facon (PS, contre Hadopi 1 et 2) a ainsi saisi le ministère de la Culture pour lui appeler son attention « sur l'absence de rémunération de la majorité des artistes interprètes sur les exploitations de musique en ligne réalisées sur les sites internet légaux, labellisés ou non par Hadopi ».

L’explication ? « L'artiste ne reçoit qu'un cachet forfaitaire au moment de l'enregistrement quelle que soit la valeur de l'utilisation du titre ou de l'album. Le député François Vannson (UMP, pour Hadopi 1 et 2) se pose grosso modo les mêmes préoccupations. Napster. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Napster était à l'origine un service P2P destiné uniquement à l'échange de fichiers musicaux créé par Shawn Fanning, alors qu'il était encore à la Northeastern University de Boston, et Sean Parker.

Le service original a fonctionné entre juin 1999 et juillet 2001[1]. Sa technologie a permis aux gens d'échanger facilement des chansons au format MP3, ce qui a conduit l'industrie musicale à porter des accusations de violation massive du droit d'auteur. Bien que le programme ait été fermé par décision judiciaire, il a ouvert la voie à de nombreux programmes P2P décentralisés, qui se sont révélés plus difficiles à contrôler. Caractéristiques techniques[modifier | modifier le code] Le service possède une architecture centralisée : les éléments du réseau annoncent les fichiers dont ils disposent à un serveur central, qu'ils contactent pour obtenir les coordonnées (adresse IP et numéro de port) d'un élément possédant les fichiers recherchés. Le M. de la musique + CD en france.

Il y a deux manières de regarder les chiffres de l'industrie de la musique en France pour 2012, présentée au récent Midem (la grand-messe du secteur) comme la dixième année de crise pour le marché du disque. D'un côté, on peut se réjouir de la nouvelle progression du chiffre d'affaires numérique de l'industrie. De l'autre, on peut regretter que ce développement rapide ne suffise pas encore à compenser le manque à gagner lié à la chute des ventes physiques de musique (albums, singles et autres DVD musicaux), ces deux marchés cumulés enregistrant un recul de 6,6% en 2012. Le marché du disque : pas mort, mais malade L'album n'est pas encore mort, peut-être parce qu'en plus de la musique, c'est un objet au packaging parfois très travaillé et qu'il peut ainsi faire office de cadeau. A l'inverse, le single (un ou deux titres accompagné d'un emballage minimaliste et peu qualitatif) est en concurrence frontale avec le téléchargement de titres sur internet.

La France... l'autre pays du streaming. Spotify Royalties. I have published a series of articles on payments by Spotify to artists in my blog. You probably don’t have the time to read all these individuals posts so let me give you a roundup here. Ever since the story about Lady Gaga receiving $162 for 1 million streams, the Spotify payments have become a hot issue.

The Gaga payment turned in to a kind of urban legend that keeps popping up in about every article on the subject of Spotify payments. But how reliable is this story? To find out the truth I contacted labels, artists, collecting societies and Spotify. No one was willing or able to give me information. The current payment per stream is $ 0.005 (€ 0.004) Need proof? That clears up a lot don’t you think? Note the different rates for plays of the same song? If you want to take a closer look a real CDbaby Royalty statement, Zoe Keating has put her latest statement online. Scott Busecemi was kind enough to send met the statement of his client HoneBoy Dupree. The big labels One more thing. L'histoire de l'industrie musicale en 4 images. Alors que l'industrie musicale peine à réinventer un modèle économique qui satisferait à la fois les artistes, les maisons de disque et le public, le bloggueur américain The Oatmeal (dont on vous avait vanté les exploits le mois dernier) est revenu à sa façon sur ce qu'il considère comme les moments fondateurs de cette crise d'identité.

L'occasion de revenir sur les évolutions majeures des modes d'écoute de la musique où l'irruption d'internet et la multiplication des moyens d'écoute et de téléchargement ont battu en brèche les circuits existant et notamment la prédominance des majors, particulièrement égratignées dans les planches du dessinateur. Via The Otmeal. (10) Musique en ligne : le partage de la valeur au cœur des enjeux. Les revenus de la musique : un partage équitable ? Schéma 2- Les chiffres qui viennent de tomber dans plusieurs études sur l'économie de la musique prouvent une nouvelle fois que le business musical est sans foi ni loi. Ces données chiffrées devraient intéresser tous les musiciens et artistes qui veulent vivre de leur art, ainsi que les amateurs de musique qui sont par leurs nouvelles habitudes de consommation sont en train de scier l'arbre de la création musicale ! Ventes de CD physiques : Un premier graphique (source) indique combiens d'artistes (sur 1045) vendent des CDs physiques via tous les canaux possibles hormis lors des concerts et spectacles.

Le CD est donc un des revenus principaux pour l'artiste avec la scène. La part revenant au groupe / artiste va de 30 centimes à 1 euros lorsqu'il est signé par un label. La scène et les concerts : Ce graphique (source) compare les revenus générés par la musique enregistrés aux revenus des concerts et représentations publiques. La vente de musique en ligne : Pour conclure : Sources et ressources : Musique en ligne : les éditeurs français dénoncent les privilèges de la concurrence mondiale. Les Echos rapportent ce matin le mécontentement des éditeurs de plateformes musicales en streaming françaises. Le moment est opportun : dans quelques jours s'ouvrira le marché international de la musique (Midem) à Cannes. L'occasion pour elle de faire connaître leurs griefs. Pour le Syndicat des éditeurs de musique en ligne (ESML), créé au début de l'année 2011 par Deezer, Beezik, Orange, Starzik et le Groupement des éditeurs de services en ligne (Geste), cela va mal.

En cause, cette fois encore : les privilèges de la concurrence internationale, véritable "concurrence déloyale" selon l'ESML. Distorsion sur la TVA Les doléances sont nombreuses : TVA, reversements aux ayants droit, protection de l'exception culturelle, absence de financements... Premier constat, dressé dans les Echos par le président de Beezik, Jean-Christophe de Launay : "Treize points de TVA de différence, cela suffit pour faire passer une entreprise d'une perte structurelle à l'équilibre. " Schéma income share. L’article publié par le site BearShare.com permet de comprendre comment l’argent est redistribué entre les différents acteurs du secteur musical. "A ceux qui veulent faire de leur passion [la musique, ndlr] une carrière, l’industrie de la musique est un business sans règles", précise d'entrée le papier, qui a compilé de nombreuses données sur le sujet. Le téléchargement Une première.

Les morceaux téléchargés sur internet devraient dépasser les ventes de CDs en 2012. Le disque vinyle est évidemment loin derrière même si l'article montre que ses ventes sont à la hausse. D’après Strategy Analytics Inc, le volume total des ventes digitales (Spotify, Pandora Media, iTunes [1]) serait à hauteur de 3,8 milliards de dollars. Pour par exemple atteindre le salaire moyen américain – 1160 $ par mois à 7,25 $ de l’heure pour une semaine de 40h de travail – un groupe doit engranger par exemple 1813 téléchargements sur iTunes. Achetez des Cds ! Enchaîner les concerts Créer son label Au final.