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Comique et tragique

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Tragédie et comédie. Ce texte est extrait du site www.theatrons.com La définition des deux genres principaux du théâtre (et leur opposition stricte) remonte aux écrits d'Aristote datant du 3e siècle avant Jésus-Christ.

Tragédie et comédie

Depuis, la bataille fait rage entre tout ce que le théâtre compte d'intellectuels pour définir ce qui est comédie et tragédie, ce qui est un théâtre "noble et respectable" ou au contraire "vulgaire et obscène, encourageant les plus bas instincts". Comme partout, l'idéologie et la politique sont venues troubler le débat et les plus vifs échanges sont toujours issus d'une volonté de définir ce qui est défendable/respectable et ce qui ne l'est pas. Ces affrontements parfois vigoureux n'ont jamais empêché le théâtre de rue de distraire, de faire rire et de faire réfléchir. Le théâtre populaire ne s'est d'ailleurs jamais aussi bien porté qu'aux époques où les académistes et les censeurs de tous poils s'insurgeaient violemment contre lui.

Que cherche l'auteur ? La comédie Dans le fond En résumé : Résumé. La tragédie. La tragédie Selon la définition du Petit Robert, la tragédie est : « une œuvre dramatique en vers, présentant une action tragique dont les événements, par le jeu de certaines règles ou bienséances se traduisent essentiellement en conflits intérieurs chez des personnages illustres aux prises avec un destin exceptionnel ».

La tragédie

Ce qu’il faut mentionner, et ce que le dictionnaire mentionne aussi d’ailleurs, c’est qu’elle nous vient de la Grèce antique. Plus précisément, elle est née du dithyrambe, culte fait au dieu Dionysos. Voyons donc les deux grandes périodes de la tragédie : la période antique et la période classique. Première partie : la tragédie antique ou le début des œuvres lyriques et dramatiques Tout a commencé par la présence d’un choeur qui célébrait le dieu en se produisant autour de son autel. Deuxième partie : la tragédie classique ou l’admiration des Anciens Le 17e siècle et ses auteurs s’inspireront beaucoup de l’Antiquité et de ses sujets tragiques. Historique et règles de la tragédie.

Genres littéraires ► Le théâtre ► vous êtes ici Genres littéraires : Le théâtre La tragédie antique Le philosophe allemand Nietzsche, dans son livre La Naissance de la tragédie, a tenté d’expliquer historiquement l’apparition de ce genre majeur du théâtre dans la république athénienne du Ve siècle av.

Historique et règles de la tragédie

J. -C. Trois noms prestigieux résument l’épanouissement de la tragédie : Eschyle, Sophocle et Euripide. Après Euripide, le déclin des cités grecques entraîne le déclin de la tragédie elle-même, trop liée à la vie collective de la cité-État. . → À lire : Sophocle : Œdipe roi. Aristote et la tragédie L’ouvrage d’Aristote exerce toujours une influence immense plus de dix-huit siècles après la mort de son auteur. Qu’est-ce qu’une tragédie ? La fable La fable, ou intrigue, est la combinaison logique des péripéties de l’histoire représentée dans la pièce. Enfin, selon le philosophe, la fable doit être assez élaborée. Le théâtre : comique et tragique. Compte rendu de la conférence de Catherine Naugrette, Université de Paris-III Introduction Le thème « comique et tragique » peut circuler selon plusieurs perspectives : L’histoire littéraire, Les genres et registres, Argumenter, Travail de l’écriture ( voir à ce sujet la dernière version des œuvres de Racine, par Georges Forestier) Il sera abordé dans la continuité du collège et du lycée, dans sa conformité et ses variations par rapport aux codes.

Le théâtre : comique et tragique

Comique et tragique sont des catégories esthétiques normatives qui se concrétisent selon des règles et des codes directifs. Dressons la problématique du comique et du tragique à partir de la Poétique d’Aristote Il faut tout penser à partir d’Aristote : Les genres sont des catégories esthétiques Les registres s’incarnent dans les genres Les grandes catégories de l’écriture dramatique contemporaine La Poétique impulse toute la dramaturgie occidentale ; c’est la référence, par exemple pour la catharsis, même si elle est remise en cause (Brecht). 1. 2.