background preloader

Mondialisation

Facebook Twitter

‪Composer avec le monde‪ Notes Composer, d'apr. poser, du lat. class. componere (composé de cum et ponere « placer ») littéralement « poser ensemble, placer ensemble » d'où « faire un tout à l'aide d'éléments, écrire (un ouvrage) » et « accorder, mettre en ordre, régler un différend, convenir de quelque chose » (Centre National de Ressources Littéraires et Lexicales : [Consultation : 20 juillet 2013]).

Cf. notamment Heinich & Schaeffer, 2004. Jean-Marie Schaeffer rappelle que la « tension artistique entre modèles à imiter et singularisation individuelle existe à toute époque […]. Contrairement à une idée répandue, le principe de l’imitation de l’antiquité, qui a joué un si grand rôle du XIVe au XVIIIe siècle, est fondé sur la même tension : les modèles antiques étaient des modèles d’excellence censés stimuler l’ambition des artistes “modernes” ; ceux-ci devaient se mesurer aux œuvres-modèles plutôt que les reproduire servilement » (Heinich & Schaeffer, 2004 : 75). Murdoch-and-BSkyB-graphic-008.

00614987, version 1] La jeunesse arabe et les nouveaux réseaux de la mondialisation : de la sous-culture globalisée à la contre-culture révolutionnaire ? Comment la culture mainstream a conquis le monde - Old fashion mediaElectronLibre. Mainstream, une enquête sur la culture de masse et l’entertainment global qui sort aujourd’hui, livre un état des lieux complet des nouveaux flux culturels qui unissent Hollywood à Mumbai en passant par Le Caire et Rio, avec une certitude : la mondialisation des contenus est en marche. « Le mainstream est l’inverse de la contre-culture, de la subculture, des niches ; c’est pour beaucoup le contraire de l’art. » Si la culture de marché a longtemps été un objet d’étude illégitime (en France, en tout cas), le livre de Frédéric Martel, journaliste et universitaire, dessine, enfin, une cartographie des nouvelles guerres culturelles, mal connues, que se livrent pays dominants et pays émergents pour la conquête du « soft power ».

Une méthode qui repose sur plusieurs constats : « la mondialisation des contenus est un phénomène insuffisamment analysé » et « les stratégies, le marketing et la diffusion de produits culturels sont souvent plus intéressants que les contenus eux-mêmes, » écrit-il. Cette culture qui plaît à tout le monde. INTERVIEW - Pour le chercheur Frédéric Martel, les États-Unis ont gagné «la guerre mondiale des contenus» culturels. Dans son nouvel ouvrage, Mainstream, fruit d'une enquête menée dans trente pays, Frédéric Martel, enseignant à HEC, explique pourquoi les productions nationales n'arrivent pas à faire le poids face aux œuvres films ou musique américaines conçues pour le public de la planète entière.

LE FIGARO. - Qu'est ce que la culture «mainstream» ? Frédéric MARTEL. - Littéralement, c'est le courant dominant. Aujourd'hui, les grandes compagnies américaines de divertissement, comme Disney, savent produire ce qui plaît à tout le monde, aux deux sens du terme. C'est une «diversité standardisée». À de rares exceptions près, comme Cuba ou la Corée du Nord, le cinéma et la musique américaines dominent, et finissent par diffuser des valeurs communes. Mais vous décrivez la puissance de l'argent ! Pas seulement. Est-ce la fin des cultures locales ? Comment est positionnée la France ? 100 fiches pour comprendre la mondialisation - Serge d' Agostino, Marc Montoussé, Alain Chaffel, Jean-Marc Huart. Revue de presse : réflexions sur les langues de Jean-Louis Calvet.

La mondialisation et la diversité culturelle. Mondialisation de la musique.