Le Musée et les sens : le goût - Réseau des musées de Normandie. Accueil > musées > MuséoSeine, musée de la Seine normande > Le Musée et les sens : le goût evenement/le-musee-et-les-sens-le-goutLe Musée et les sens : le goût: 2020-11-19 18:30:00- 2020-11-19 19:30:00, at the Le goût n’est pas un sens souvent sollicité dans les musées. Mais les médiateurs de Muséoseine relèvent le défi et vous emmènent dans un parcours gustatif au sein du musée.300 Map DataMap data ©2020 GeoBasis-DE/BKG (©2009), Google, Inst. Geogr. Nacional Map data ©2020 GeoBasis-DE/BKG (©2009), Google, Inst. Map Data Jeudi 19 novembre Événement MuséoSeine, musée de la Seine normande - Caudebec-en-Caux (76) Histoire Sciences Nat. Le goût n’est pas un sens souvent sollicité dans les musées. Rassurez-vous, nous ne mangeons pas les collections, nous vous proposons des choses bien plus digestes qu’une coque de navire.
Cinq musées s'ouvrent sur les sens. DE BRY-SUR-MARNE à Fresnes, cinq musées du Val-de-Marne participent demain à la quatrième édition du Printemps des musées en Ile-de-France. Ils ouvriront donc gratuitement leurs portes au public à qui ils proposeront des manifestations ou des animations autour du thème de l'année : « Voir, entendre, toucher, sentir, goûter, les cinq sens. » Les musées utilisent leurs propres collections pour servir de support à ces attractions. Depuis février, l'écomusée de Fresnes héberge une ahurissante exposition, « Viens chez moi, y a la télé ». Le visiteur y découvre non seulement l'histoire du média roi mais également les différents types de « consommateurs de télévision ». De nombreux établissements scolaires et des centres culturels ont déjà fait le déplacement. Dans le cadre du Printemps, l'accent sera exclusivement mis sur la vue et l'ouïe.
L'après-midi les enfants pourront se livrer à un exercice de « dissociation du son et de l'image ». Expériences en aveugle Expériences en aveugle. Les musées ont du nez. « L’Empire chinois tout entier sent le musc », s’étonne le père évariste Huc. Lorsqu’il sillonne le continent en 1846, la culture de l’encens y occupe depuis des siècles une place primordiale. Bien avant l’invention des parfums sous forme liquide, les élites utilisent des fleurs macérées, des résines et des bois odorants pour chasser les esprits néfastes, invoquer les dieux, embaumer d’encens chevelures et vêtements. Aujourd’hui, la trace de ces effluves subtils ne subsiste que dans des traités, des peintures et des objets, dont les centaines de brûle-parfum du Musée Cernuschi. L’exposition « Parfums de Chine », qui couvre 2 000 ans d’histoire, les exhume de l’oubli grâce à un ingénieux dispositif. Des bornes olfactives diffusent, à la demande, des senteurs recréées par le parfumeur François Demachy (le nez de Dior) à partir de recettes anciennes collectées par le sinologue Frédéric Obringer.
Des compositions bien plus puissantes et musquées que les parfums d’aujourd’hui ! Louvre toucher dans les politiques. Sentir pour ressentir, la médiation olfactive au service des œuvres d’art… – Com'en Histoire. Poursuivant notre réflexion sur le concept de médiation, ce nouveau « Dialogue » qui ouvre l’année universitaire nous amène à questionner la médiation olfactive à travers les pratiques élaborées par les musées de Grasse. Sous cette appellation sont regroupés le Musée International de la Parfumerie (MIP), les Jardins du Musée International de la Parfumerie (JMIP), le Musée d’Art et d’Histoire de Provence (MAHP) et la Villa Jean-Honoré Fragonard (Villa). Nous remercions ici pour ses réponses Christine Saillard, actuellement Responsable du Service des Publics des musées de Grasse. Après un cursus en Médiation culturelle, patrimoine et spectacle vivant à l’université d’Aix-Marseille, celle-ci a en effet acquis plusieurs années d’expérience sur le terrain, principalement dans les musées de Grasse et au MIP : elle nous livre ici quelques clés de compréhension de ces nouvelles médiations… 1.
Pour moi, la médiation implique donc forcément du sensoriel et du SENS. 2. 3. Quand la muséologie prend tout son sens : les dispositifs olfactifs au musée. PrésentationFidèle à ses origines occidentales, l’institution muséale s’est historiquement construite autour de l’oeil. Jusqu’à présent, curieux, flâneur, amateur et expert venaient au musée pour « voir » les oeuvres. Toutefois, si les années 1960 datent l’entrée du marketing au sein des musées, Lipovetsky reconnait dans l’hypermodernité de laconsommation contemporaine, la source d’une demande toujours plus grande de pratiques engageant des plaisirs sensitifs, émotionnels et en conséquence, des dispositifs capables de les susciter. Demande à laquelle les musées s’adaptent. La 4ème journée d’étude des doctorants en muséologie de la Sorbonne Nouvelle propose de questionner la place des dispositifs olfactifs au sein de l’institution muséale.
Au travers de trois axes portant sur la technicité des dispositifs olfactifs, la mise en espace des odeurs au musée et la sensorialité des offres de médiation, nous vous invitons à redécouvrir le musée, le nez en avant ! SOLEILS NOIRS. L’exposition Soleils noirs est prolongée jusqu’au 25 janvier 2021 ! Poétique et sensorielle, l’exposition offre une rencontre inédite avec des chefs-d’œuvre de l’Histoire de l’art. Près de 75 ans après l’exposition mythique Le Noir est une couleur, le visiteur du Louvre-Lens est plongé dans l’observation fascinante de cette tonalité au symbolisme pluriel dans les arts occidentaux, de l’antiquité à nos jours. Couleur du paradoxe, le noir est-il une absence de lumière, un vide, une somme réjouissante de toutes les couleurs, un éblouissement ? D’emblée, l’exposition immerge le visiteur dans une expérience du noir familière grâce à une salle consacrée à l’un des phénomènes naturels du noir ayant le plus largement retenu l’attention des artistes : la nuit.
Archétypal et physiologique, le noir forme un élément structurant mais ambigu de la représentation du sacré, à la fois couleur de tous les commencements, de l’infini, de l’intemporel mais aussi celle de la mort et de l’ignorance.