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Louise Bourgeois

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Louise Bourgeois : l'araignée, la maîtresse et la mandarine (2008) Galerie photo - images de Louise Bourgeois (1911-2010) Louise BOURGEOIS : l’araignée, la maîtresse, la mandarine. Mardi 1 juin 2010 { par Sonia } Louise Bourgeois - spider, 1997 A u et au est projeté un beau de la critique d’art américaine Amei Wallach et de la réalisatrice Marion Cajori. D’apparence modeste le documentaire est centré sur cette femme de poigne, filmée dans l’intimité silencieuse de son atelier.

Dans un décor chaleureux à son domicile et à la fois angoissant par ses créations dans son atelier. Louise Bourgeois magnétise la caméra par l’intensité de son franc parler et se livre avec franchise, sans jamais trop en dire. Louise Bourgeois - Red Room (parents), 1994 Née en France en 1911 et arrivée à New York en 1938, où elle a suivi son mari, l’historien de l’art américain elle fréquentera les surréalistes en exil. Louise Bourgeois - Maman, 1999, aux Tuileries. Louise Bourgeois. Louise Bourgeois. Le Centre Pompidou vous propose de nombreuses visites, parcours et ateliers pour découvrir le bâtiment, les collections, les expositions temporaires, la création des 20e et 21e siècles.

Louise Bourgeois

L'ensemble des visites, générales ou thématiques, offrent la possibilité d'établir des liens avec les programmes scolaires, adaptés à chaque niveau. Parcours, ateliers et événements de la Galerie des enfants permettent aux plus jeunes dès 2 ans, de se familiariser à l'art moderne et contemporain par la manipulation ou l'expérimentation. Le programme d’activités Visites des collections permanentes et des expositions temporaires Les visites s'adressent à tous les niveaux scolaires. Elles permettent d'aborder les œuvres à partir de notions fondamentales dans l'apprentissage du langage de la création et sont associées aux thèmes d'enseignement abordés dans les programmes scolaires. Parcours Histoire des arts dans « Modernités plurielles » Ateliers Les ateliers pour le jeune public se déroulent en deux temps. Les fantasmes de Louise Bourgeois exposés à Beaubourg. ’Altered States’, 1992 (Coll. du Centre Pompidou).

Les fantasmes de Louise Bourgeois exposés à Beaubourg

Louise Bourgeois en 2007 (Dimitris Yeros). Drame et magie de l’enfance Née à Paris en 1911, Louise Bourgeois vit et travaille à New York depuis 1938. Il n’est pas inutile de rappeler, pour celle dont c’est la première grande rétrospective en France, qu’elle est devenue, dixit à juste titre la plaquette remise aux visiteurs, « une référence majeure de l’art contemporain » . C’est un truisme de dire qu’une œuvre est liée à la biographie de celui qui la réalise. Premières lignes de son autobiographie : « Je m’appelle Louise Joséphine Bourgeois. Ces mots ne doivent pas être pris à la légère. Louise Bourgeois s’explique très posément sur la genèse de cette installation. ’Cumul I’, 1969 (Coll. du Centre Pompidou). De vrais morceaux de papa cru Toute son œuvre peut se lire comme la visite de la maison d’enfance, où elle n’a jamais trouvé sa place. Les mains de Louise Bourgeois au-dessus d’une gravure en 2003 (Felix Harlan).

Louise Bourgeois - Wikipedia. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Louise Bourgeois - Wikipedia

Louise Joséphine Bourgeois, née à Paris le et morte à New York le [1], est une sculptrice et plasticienne française, naturalisée américaine[2]. Louise Bourgeois est née en France et y a grandi, mais l'essentiel de sa carrière artistique s'est déroulé à New York, où elle s'est installée en 1938 après avoir épousé l'historien d'art américain Robert Goldwater (1907-1973). La reconnaissance de son travail artistique s'est amplifiée les dernières années de sa vie, où elle s'est affirmée au point d'être reconnue ou considérée comme particulièrement influente sur les générations d'artistes d'après, surtout féminines.

Sa mère habitait et travaillait à Choisy-le-Roi, dans la banlieue parisienne. Son père se nomme Louis Bourgeois et sa mère Joséphine. Ses parents étaient restaurateurs de tapisseries anciennes, ce qui n'a pas été, selon elle, déterminant dans sa carrière d'artiste. En 1937, elle rencontre l'historien d'art américain Robert Goldwater.