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27 octobre

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Taxe Google : Eric Schmidt va rencontrer Hollande et plusieurs ministres. L’idée d’une rémunération au profit des éditeurs de presse et acquittée par Google en échange des liens figurant dans son moteur fait son chemin au sein de l’exécutif français. Pas de quoi réjouir le géant américain. Google a d’ores et déjà brandi la menace d’un déréférencement des sites français. Dans un climat tendu, la ministre en charge du numérique a reçu des représentants de Google. Et la semaine prochaine, selon le site anglophone Quartz, c’est le président exécutif du conseil d'administration de Google, Eric Schmidt, qui se rendra à Paris pour discuter de ce sujet sensible, et certainement aussi de confidentialité des données. Lex Google : Pellerin plus réticente que Filippetti Le cadre dirigeant de Google doit ainsi rencontrer François Hollande la semaine prochaine.

D’après des propos rapportés par Quartz, les deux ministres ont des positions divergentes sur l’opportunité d’une telle mesure. Le président de Google reçu lundi à l'Elysée par François Hollande. Bernard Tapie veut racheter la Provence et Nice Matin. Bernard Tapie sera-t-il le prochain propriétaire de La Provence et de Nice Matin? Alors que le groupe de Philippe Hersant, Hersant Média, négocie avec les banques son désendettement et la vente par appartements de l'ensemble de ses titres, l'homme d'affaires marseillais a fait savoir qu'il s'intéressait de près à la reprise du Pole sud du groupe Hersant.

A savoir trois journaux, La Provence, Corse Martin et Nice Matin. L'ancien patron de l'OM, qui semble vouloir revenir sur le devant de la scène marseillaise, avec un oeil sur la mairie, regarde ainsi de près le dossier de reprise de ces trois titres influents dans la région. Mais il n'est pas le seul à s'intéresser à ces journaux, puisque l'ancien vice PDG de TF1 et ex directeur du Figaro, Etienne Mougeotte, s'est également lancé dans la course : adossé à des capitaux qataris et conseillé par un autre journaliste de TF1, Charles Villeneuve, il étudie également ce dossier. Compressions additionnelles de 28 millions à Radio-Canada | Martin Croteau | Médias. La SRC était le plus important bénéficiaire du Fonds pour l'amélioration de la programmation locale (FAPL), dont l'abolition progressive d'ici trois ans a été annoncée cet été.

Cette enveloppe de 106 millions a été créée en 2009 pour aider les télévisions généralistes comme Radio-Canada, TVA et V à traverser la récession. Le FAPL était financé par les télédistributeurs comme Vidéotron et Bell, qui étaient forcés de contribuer 1,5% de leurs revenus, une facture qui était refilée aux consommateurs. La SRC, qui a reçu 47 millions du FAPL au cours de la dernière année, s'était dotée d'un plan pour combler une éventuelle diminution du Fonds. Mais elle a été prise de court par son abolition pure et simple. «La décision du CRTC d'éliminer complètement le Fonds signifie que la Société doit maintenant réduire son budget d'une somme additionnelle de 28,4 millions de dollars d'ici 2013-2014», écrit la direction dans une note rendue publique hier.

«Compressions perpétuelles» Editor & Publisher ® By: Tim Sohn It’s no secret that newspapers and online-only news organizations are dedicating more and more resources to their websites and other digital products. At the same time, publishers are cutting back on print editions, and it looks like this trend will only expand over time. Advance Digital is now down to printing three papers a week in Alabama, Louisiana, and Michigan, while it ramps up its online efforts. Journal Register Co., which filed for bankruptcy in September, has also bet its future on digital. Arkansas Times The Arkansas Times, which updates arktimes.com with news and blogs on a daily basis, also publishes a 30,000-circulation alternative weekly paper.

Arkansas Times senior editor Max Brantley, who has been in the news business for 30 years, writes more than 20 items each week for the site’s Arkansas Blog. “He has been a one-man news generator since we started the blog. IBT uses a multipronged approach in its content strategy. SEO Basics. Miscellanees.net - blog prolixe pub, marketing & conso, high tech, innovations.

CAPE OU PAS CAPE – Clark Kent, alias Superman, quitte le « Daily Planet » Bouleversement en vue à Metropolis. Clark Kent, alias Superman, va quitter le Daily Planet, le quotidien où il travaille depuis les premiers épisodes du comics américain, publiés dans les années 1940, a révélé lundi 22 octobre le quotidien américain USA Today. Ce changement inédit – cela faisait soixante-dix ans que Clark Kent travaillait comme journaliste pour le quotidien de la ville imaginaire – interviendrait à la suite du rachat du journal par un conglomérat de médias, affirme USA Today. Le nouvel épisode de la série doit sortir mercredi aux Etats-Unis, en version papier et numérique.

"Pourquoi suis-je le seul à avoir l'air de croire que les infos doivent parler, je ne sais pas, d'informations ? " s'écrie le héros dans un phylactère de la célèbre bande dessinée qui a fuité sur le site Newsarama.com. L'éditeur de Superman, DC Comics – qui fait lui-même partie de l'empire Time Warner – n'a donné aucune confirmation de l'information. Signaler ce contenu comme inapproprié. Reliable Sources.

La presse brésilienne se passe (presque) de Google. La fronde anti-Google s'amplifie. Alors que, dans la foulée de l'Allemagne, la France envisage d'instaurer une taxe sur les liens référencés par Google vers des sites d'information, 154 titres de la presse brésilienne ont décidé de se passer du moteur de recherche, pour les articles de leurs versions papier. La décision va-t-elle inspirer les pays lancés dans un bras de fer avec Google ? Les membres de l'Association nationale des journaux brésiliens (ANJ), réunis en Assemblée générale la semaine dernière, confirment avoir décidé de refuser les référencements par Google Actualités. Parmi les 154 titres que regroupe l'association, figurent quelques-uns des journaux les plus importants du pays comme O Globo et O Estado Sao Paulo. L'association regroupe 90 % de la presse brésilienne. des Résumés plus courts L'expérience s'est déroulée en deux étapes.

C'est la première fois qu'une association professionnelle du secteur de l'information encourage ses membres à se retirer de Google Actualités. Niche fiscale des journalistes : les faits derrière les clichés. Les initiatives se multiplient contre l'abattement dont bénéficient les journalistes, et qui fait souvent l'objet de rumeurs et de fantasmes. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Samuel Laurent et Jonathan Parienté Haro sur la "niche fiscale des journalistes". Depuis la fin de la campagne présidentielle, les critiques se multiplient, surtout à droite, contre l'avantage fiscal dont bénéficient les rédactions françaises.

Cette théorie du complot est sans nul doute aidée par le peu de visibilité qu'accorde une presse souvent mal à l'aise à cet avantage. 1/ Une aide à la presse datant des années 1930 De quoi parle-t-on ? Chaque contribuable pouvant justifier d'une activité de journalisme a le droit de bénéficier d'une "modalité de calcul de l'impôt" particulière, baptisée "allocation pour frais d'emploi".

Exemple : un journaliste gagne 2 000 euros par mois, soit 26 000 euros par an (avec un 13e mois). Cet avantage existe depuis 1934. Lire : Les débats de l'Assemblée à l'époque. Taxe Google : la grossière erreur des éditeurs de (la vieille) presse. Les bureaux de Google France à Paris le 6 novembre 2011 (J.BRINON/SIPA) Début septembre, l’Association de la presse d’information politique et générale (IPG), présidée par Nathalie Collin, par ailleurs coprésidente du directoire du "Nouvel Obs", dévoilait à la face du monde une proposition révolutionnaire : obliger les moteurs de recherche à payer les canards dont ils référencent les contenus.

Une idée pour le moins étonnante pour les connaisseurs du journalisme web, qui n’ont alors pas manqué de le faire savoir. Mi-octobre, "Télérama" dévoilait le projet de proposition de loi rédigé par les acteurs de la presse. Les principes exposés y étaient tellement à côté de la plaque que personne n’imaginait le gouvernement français les faire siens. Le nain français Voilà pour le décor. "Ça veut dire que brutalement, du jour au lendemain, la presse française, les sites d’information disparaîtraient de la vue des lecteurs et des Français, c’est quelque chose qui est énorme.

Non. Un journaliste du “New York Times” suspendu à cause de son usage de Twitter - En bref - L'actu Médias / Net. Et si Google snobait les médias français ? INTERNET – Gare au black-out sur Google. Le géant de l'internet menace, mercredi 18 octobre, de ne plus référencer les médias français s'il devait s'acquitter d'une taxe similaire à des droits d'auteurs. Celle-ci, demandée par les éditeurs de presse, a les faveurs de la ministre de la Culture, Aurélie Filippetti.

FTVi vous explique les enjeux de la taxe Google. Quel est le but de ce projet ? En septembre, les éditeurs français ont demandé au gouvernement un projet de loi pour que les moteurs de recherche les rétribuent via le versement de "droits voisins". Pour justifier une telle taxe, les éditeurs français jugent "inadmissible" que Google utilise les articles de presse "gratuitement pour ponctionner le marché publicitaire français sans rémunérer les créateurs de contenus", avait déclaré en septembre le directeur général des Echos, Francis Morel, dans Le Figaro.

Que répond Google ? Le géant internet estime que le projet met "en cause son existence même". Qu'en pense le gouvernement ? Google se paie la presse. C'est la guerre ! Face au projet de loi de certains éditeurs de presse qui souhaitent faire payer Google dès qu'il référence leur contenu, le géant américain se rebiffe. Et menace tout simplement de ne plus les faire apparaître dans ses pages. Alerte ! Ils vont casser Internet ! Mise à jour (19h) Forcément, après la salve de Google, la réplique ne s’est pas faite attendre.

Laurent Joffrin a immédiatement dégainé un édito sur le site du Nouvel Obs pour dénoncer la “censure” que menace d’appliquer le géant du web sur la presse française. De son côté, Google diffuse ce même message auprès des rédactions : “nous pensons qu’une loi telle que celles proposées en France et en Allemagne serait très dommageable pour Internet. Au-delà des diatribes, reste le fond du problème : comment obliger Google à ne pas déréférencer la presse ? La presse en guerre contre Google. Tout désindexer Résultat : chacun campe sur ses positions. Du côté de Google, on se dit prêt à entrer en campagne. Aberration. Taxer Google ? Le géant du web menace la presse de représailles. Alors que la presse française milite pour l'instauration d'une taxe sur les moteurs de recherches, le géant Google menace de ne plus référencer les médias français. Dans une "note blanche" de deux pages adressée au gouvernement et révélée par l'AFP jeudi 18 octobre, l'Américain dit qu'il "ne peut accepter l'instauration d'un droit voisin pour le référencement de sites de presse français".

Celui-ci "mettrait en cause l'existence même [de Google] et [il] serait en conséquence contraint de ne plus référencer les sites français". La ministre de la Culture, Aurélie Filippetti, s'est dit "surprise" par le courrier de Google. "Ce n'est pas avec des menaces qu'on traite avec un gouvernement démocratiquement élu", déclare-t-elle à l'AFP. Les médias français, réunis dans l'association de la presse d'intérêt politique et générale (IPG), se sont dits "stupéfaits" de cette annonce.

Google tente "d'étouffer un débat public légitime" "4 milliards de 'clics' par mois" Google envisage de ne plus référencer les médias français. Le géant de l'internet Google a menacé dans un courrier le gouvernement de ne plus référencer les médias français s'il devait s'acquitter d'une taxe voulue par les éditeurs de presse. Une taxation des moteurs de recherche serait «très dommageable pour internet» affirme le géant californien soulignant qu'il le répétait «publiquement» depuis trois ans. Aurélie Filippetti, la ministre française de la Culture et de la Communication, a réagi jeudi soir à l'AFP : «Je suis un peu surprise par le ton de cette correspondance, qui s'apparente à une menace. Ce n'est pas avec des menaces qu'on traite avec un gouvernement démocratiquement élu», a-t-elle déclaré. Tout en rappelant qu'elle est favorable à cette taxe. Google France reçu ce vendredi au ministère de l'Economie numérique «Aujourd'hui, affirme Filippetti, des sites qui agrègent des contenus comme Google utilisent aussi la notoriété des éditeurs de presse, ainsi que ce qu'ils produisent.

Google s'oppose à l'établissement de «droits voisins» Dominique Delport au Hubforum 2012. Les nouvelles pratiques du journalisme en débat. Guardian 'seriously discussing' end to print edition. ReConstitution recreates debates through transcripts and language processing. ReConstitution 2012, a fun experiment by Sosolimited, processes transcripts from the presidential debates, and recreates them with animated words and charts. Part data visualization, part experimental typography, ReConstitution 2012 is a live web app linked to the US Presidential Debates. During and after the three debates, language used by the candidates generates a live graphical map of the events. Algorithms track the psychological states of Romney and Obama and compare them to past candidates. The app allows the user to get beyond the punditry and discover the hidden meaning in the words chosen by the candidates.

As you let the transcript run, numbers followed by their units (like "18 months") flash on the screen, and trigger words for emotions like positivity, negativity, and rage are highlighted yellow, blue, and red, respectively. Here's a short video from Sosolimited for more on how the application works:

Guardian owners weigh dramatic switch from newspapers to an all-digital operation. Sources at the Guardian newspaper say that, is buying cialis on line legal for the first time, canning the print edition and switching to a completely digital product is now being seriously discussed at the top levels of Guardian News & Media. Long-serving Guardian editor Alan Rusbridger (left) is said to generic viagra doxycycline be increasingly isolated in his desire to retain a print version.

Apparently trustees of the Scott Trust, the ultimate owner of GNM, are increasingly alarmed at the company’s diminishing cash pile (chiefly garnered by the sale of a 50 per cent stake in Auto Trader to Apax some years ago). The Guardian website is one of the most popular in the world, certainly at the ‘quality’ end of the spectrum, but the newspaper continues to lose both circulation and ad revenue. Last year the company posted an operating loss of £44.2m.

The Guardian, originally the Manchester Guardian, has never made money since it moved its operation to London back in the 1960s. Facebook : son nouvel algorithme, son ciblage, et notre ligne éditoriale. Le Monde.fr aime Facebook : nous y postons tous les jours une sélection d'informations que nous estimons importantes, essentielles, immanquables (sous formes de liens, d’images ou de vidéos). Nos lecteurs aiment Facebook : ils sont plus de 400 000 à y suivre notre page, pour "aimer" et surtout commenter nos informations. Et ils sont environ 26 millions en France, selon les derniers chiffres Nielsen, et un milliard dans le monde, selon les derniers chiffres de Mark Zuckerberg, à avoir un profil. Sur Facebook, ils publient des statuts ou des liens, partagent coups de cœur et coups de gueule, discutent avec leurs amis ou des inconnus des petits et grands événements de la vie. Mais Facebook, c’est également une plateforme retravaillée en permanence par des équipes soucieuses de faire évoluer la formule et l’expérience des utilisateurs.

Pour les professionnels, toutes ces évolutions ne sont pas forcément faciles à appréhender. Las. Michaël Szadkowski et Flavien Hamon. Canada's Globe and Mail to launch metered paywall next week. Redirect_article.