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22 septembre

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Taxe Google : “Télérama” dévoile le projet des éditeurs de presse - L'actu Médias / Net. Pour sauver la presse, il faut taxer Google disent les éditeurs dans un projet de loi qu'ils viennent de transmettre au gouvernement. “Télérama” en a obtenu la copie. Dura lex, sed lex. La loi est dure, mais c’est la loi. Sauf quand il n’y en a pas. Usée à force de tendre sa sébile devant l’Etat (pour toucher des subventions), la presse a décidé de renouveler un vœu déjà exprimé sous le quinquennat de Nicolas Sarkozy : taxer Google et son milliard et demi d’euros de chiffre d’affaires en France en 2011. Depuis la semaine dernière, la toute jeune association de la presse d’information politique et générale (IPG, créée en mai 2012) se met en ordre de bataille, trois ans après les premières déclarations de Laurent Joffrin, grand militant de cette cause.

Beaucoup de choses ont déjà été écrites sur cette « Lex Google », qui obligerait les moteurs d’accès à rémunérer les journaux dès que leurs articles sont référencés. Et ce n’est pas tout. Flash Eco : Pierre-Jean Bozo écarté de 20 Minutes. Sacramento Street - Les fantômes de San Francisco. Se déclarer donneur d'organes sur Facebook? Le Premier ministre belge l'a fait... Le Premier ministre belge Elio Di Rupo s'est déclaré mercredi donneur d'organes en utilisant une fonction du réseau social Facebook disponible depuis peu en Belgique, dans le cadre d'une campagne officielle destinée à promouvoir cette pratique. "J’ai indiqué sur Facebook ma volonté d'être donneur d'organes en cas de décès. Et vous? ", a annoncé le chef du gouvernement, âgé de 61 ans. La fonction "donneur d'organes" a été lancée par Facebook en mai aux Etats-Unis et en Grande-Bretagne, et étendue mardi aux utilisateurs belges et candadiens.

Elle est également disponible au Danemark et en Irlande mais pas en France. A la rubrique "santé", située dans l'onglet "événements marquants", les utilisateurs peuvent se déclarer donneur d'organes et expliquer leur décision à leurs amis. En Belgique, ils sont ensuite dirigés vers une page spéciale du ministère de la Santé, www.beldonor.be, où il peuvent remplir un formulaire à renvoyer à leur administration municipale, afin de valider leur démarche. Blue Note revisite l'histoire du jazz sur Spotify. Saviez-vous que la ritournelle de flûte du mythique Sure Shot des Beastie Boys provient d’un morceau de Jeremy Steig, Howlin' for Judy, datant en 1970 ?

Dans la plus pure tradition du rap des années 1980 et 1990, les trois MC de Brooklyn ont souvent pillé le jazz pour construire leurs instrus. Une application sortie par Blue Note Record sur Spotify la semaine dernière est là pour nous le rappeler. Dans le volet le plus ludique de l’appli, intitulé Blue Break Beat et développé en partenariat avec le site WhoSampled, on peut ainsi passer des heures à découvrir l’origine de samples entendus un jour chez Nas, A Tribe Called Quest, La Rumeur ou NTM. La démarche se révèle addictive. Elle ne constitue pourtant qu’un apéritif dans la découverte de l’objet façonné avec soin par le label septuagénaire. L’auditeur se voit offrir un voyage à travers l’histoire de la maison, allant de Herbie Hancock à Miles Davis, d’Erik Truffaz à Norah Jones.

Pierre LABRUNIE. Ecrire un roman en directe sur Google Docs. Le géant Google vient de jouir d’une campagne promotionnelle inédite et inattendue. En effet, Silvia HARTMANN, une écrivain, vient d’annoncer qu’elle rédigerait son roman sur Google Docs et le partagerait à ses lecteurs en direct. Depuis le 12 septembre, « The Dragon Lords » est consultable en directe sur le site de partage de Google et environ 10 chapitres sont déjà disponible et le processus de création et de rédaction est consultable puisque l’auteure autorise le suivi en directe. Attention uniquement en VO (Anglais). Passionné par les Nouvelles Technologies, le marketing, le monde du numérique et le luxe, Chihong partage sur w3sh les dernières trouvailles du web.

Egalement Stratège Digital, il accompagne les sociétés dans leur politique d'introduction sur les réseaux sociaux. AYANT DROIT – La pire restauratrice de l’histoire demande des royalties. Quand Cecilia Giménez a entrepris de restaurer la peinture murale du Christ qui ornait la petite église où elle avait pour habitude de se rendre, elle ne se doutait pas que son "œuvre" finale déclencherait une telle réaction sur Internet.

Le massacre opéré par l'octogénaire est rapidement devenu un sujet d'hilarité couvert par toute la presse européenne, et copié par de nombreux internautes. L'Ecce Homo revisité par Cecilia constitue même désormais une attraction qui fait venir de nombreux touristes dans la petite église du Sanctuaire de la Miséricorde, à Borja. Selon le quotidien espagnol El Correo, les touristes qui viennent admirer la "restauration" ne laissent cependant pas assez de dons au goût de l'Eglise espagnole. La fondation qui gère l'église de Borja a donc décidé de rendre payant l'accès à la peinture murale, histoire de convertir cette vaste blague en monnaie sonnante et trébuchante.

En quatre jours, la fondation a récolté près de 2 000 euros. Médias & Publicité : Twitter, le nouvel applaudimètre de la télé. Pour la nouvelle saison de Danse avec les stars , TF1 intègre le réseau social directement dans son programme. Les téléspectateurs pourront critiquer ou applaudir en 140 caractères. La «social TV» est là. Elle fait déjà un tabac aux États-Unis et déboule en France. TF1 est la première chaîne à l'expérimenter en direct avec son émission de divertissement Danse avec les stars . Pour l'instant, TF1 privilégie Twitter par rapport aux autres réseaux sociaux: «Twitter est plus engageant pour les téléspectateurs. Trendrr permet aussi de dire si l'émission plaît ou pas, dans quelle proportion, selon chaque réseau social. Phénomène aux États-Unis Aux États-Unis, la «social TV» déchaîne les passions pour ne pas dire qu'elle suscite l'hystérie.

Si les producteurs des émissions de flux se disent très attentifs aux commentaires en direct sur les réseaux sociaux et réajustent leurs shows en conséquence, les producteurs de séries se montrent plus réticents. Tf1.fr/danse-avec-les-stars. "Le Scoop" : quand le théâtre se paye les journalistes. Atlantico boucle une levée de fonds et développe des contenus payants. Faut-il dépenser plus pour France 24 et RFI ? Auditionnée lundi par le CSA, Marie-Christine Saragosse, promise à diriger l'Audiovisuel extérieur de la France (RFI, France 24 et MCD), a placé haut la barre de ses ambitions. "France 24 fera la différence si elle a plus d'images, plus de contenus originaux. Ça ne se fera pas avec des budgets à la baisse," expliquait-elle, tout en reconnaissant que la situation des finances publiques exige des économies.

La question des finances de l'AEF sera, à n'en point douter, son premier dossier chaud. Le contexte est d'autant plus tendu que, déjà, sur cette épineuse question, son prédécesseur, Alain de Pouzilhac, avait engagé un bras de fer avec l'État. Pouzilhac refusait obstinément de signer le contrat d'objectifs et de moyens (COM), car la tutelle - à l'époque exercée par François Fillon - avait prévu d'abaisser la dotation de l'AEF de 314,2 millions d'euros en 2012 à 306,3 millions d'euros en 2013 et 2014. Le surcoût du non-déménagement L'État se tire une balle dans le pied. Quand les fictions TV se mettent au 2.0 : la social TV (2/4) La social TV correspond aux conversations en ligne à propos des programmes TV. Elles se font surtout via les réseaux sociaux (en particulier Twitter avec le livetweet) et dans une moindre mesure via les applications de second screen. Avec le développement du multi-écrans (TV + mobile/tablette/ordinateur portable), ces conversations se font de plus en plus pendant la diffusion du programme.

Cette activité sociale autour des fictions TV (avant, pendant et après) présente plusieurs intérêts pour les chaînes TV, et notamment : Relinéariser la consommation de contenus TV grâce à des « rendez-vous online » (regarder et commenter le programme avec le reste des téléspectateurs).Attirer une nouvelle audience grâce à la recommandation sociale.Engager et fidéliser le téléspectateur grâce au partage social. De plus en plus de producteurs/diffuseurs de fictions TV ont bien compris l’intérêt que représentent ces nouveaux usages sociaux, comme en témoigne le développement de certaines pratiques : Quand Razon débriefe sur le transmédia (with image, tweets) · ThierryLabro. Mali : les journalistes face à la crise / Vos questions et contributions – Atelier des médias. Par David Baché Depuis le Coup d'Etat du 22 mars dernier, la prise du pouvoir par une junte militaire, les hésitations des autorités de transition qui lui ont succédé, la rébellion d'indépendantistes touaregs et bien sûr l'occupation actuelle du Nord du pays par des groupes islamistes armés, les journalistes maliens ont du travail... mais il n'est pas toujours facile pour eux de le faire.

Au cours des derniers mois, les atteintes aux libertés de la presse se sont multipliées : pressions politiques, sanctions financières et surtout menaces et agressions. Rencontre avec des journalistes et des reponsables de publication à Bamako. Pour l'Atelier des médias, les directeurs de publication de trois des principaux titres maliens témoignent au micro de David Baché : Abramane Keita, Birama Fall, Alexis Kalambry (détails et photos ci-dessous). Ils dénoncent les intimidations, les menaces, les pressions que le certains cercles du pouvoir exercent sur leurs équipes et sur eux-même. Succès du premier ARG pour Plus Belle La Vie. Qui se cache derrière les comptes Twitter des politiques? Parce que spontanéité, parce que humour, échange direct et parce que prise de température de la société, les politiques raffolent des tweets.

D'autres se refusent pourtant à prendre ce plaisir. Par manque de temps, par décalage générationnel, par respect d'une consigne venue de Matignon, ou par refus de se soumettre au diktat littérairement dégradant des 140 caractères au maximum impartis à chaque "gazouillis". Cela ne les empêche pas d'avoir un compte, mais cela les oblige, s'ils en possèdent un, à employer un scribe.

Parmi les prétendants de la dernière campagne présidentielle, seuls François Bayrou et Nicolas Dupont-Aignan tweetaient régulièrement eux-mêmes. Derrière François Hollande, on trouvait Ariane Vincent, une jeune femme aujourd'hui membre du cabinet de Najat Vallaud-Belkacem. Elise Aubry, elle, veillait à la fois sur l'enfant qu'elle attendait pendant la campagne et sur la destinée 2.0 d'Eva Joly. Les nègres qui se lâchent, et ceux qui suivent la parole de l'employeur. Tablettes : le modèle payant qui se déguise en gratuit.

17 septembre, 2012 0 commentaire Matière à réflexion : Bernard Petitjean et Corinne da Costa – Seprem Etudes & Conseil « La dernière fois qu’il y a eu autant d’excitation pour une tablette, il y avait des commandements écrits dessus ». En introduisant l’un de ses shows par cette citation du « Wall Street Journal », Steve Jobs avait raison et tort à la fois : le succès du support tablette se confirme, mais les lois qui régissent son utilisation par les médias sont encore bien loin d’être gravées dans le marbre …A fin 2012, plus de 100 millions de tablettes informatiques auront trouvé preneurs, selon le cabinet ABI Research et, selon différentes études, le moment approche où les ventes de tablettes dépasseront celles des ordinateurs portables. Le problème est que l’information sur tablettes se vend beaucoup plus mal que prévu, comme on le constate sur le marché américain. Bernard Petitjean (bpetitjean@seprem.fr) et Corinne da Costa (cdacosta@seprem.fr)

Pourquoi le livre numérique coûte à peine moins que le papier. Temps de lecture: 5 min Nous sommes en 1454. Un certain Johannes Gutenberg bricole le premier livre imprimé de l’histoire occidentale. Dans le sillage de sa Bible à 42 lignes, éditeurs, imprimeurs et libraires se multiplient en Europe, marquant l’émergence d’une nouvelle industrie. Auparavant réservé aux érudits et aux riches, l’écrit se démocratise et devient bon marché. 2007: reprenant l’idée visionnaire de l’entreprise Cytale, Amazon lance le Kindle, une tablette permettant de lire à l’époque 90.000 œuvres avec un seul et même outil. Le succès grandissant de ce nouveau format aidant (aux Etats-Unis, les ventes de livres numériques dépassent parfois celles du papier dans certaines catégories), on pourrait logiquement s’attendre au franchissement d’une nouvelle étape sur les étiquettes.

En moyenne, les livres numériques se vendent dans l’Hexagone 25% à 30% moins chers que leurs cousins en papier. Pourquoi ça coince? La toute puissance des éditeurs français ©Albin Michel Olivier Clairouin. La social NewsRoom. Filippetti, le bateau ivre au service des lobbies. Aurélie Filippetti vient de donner une interview sur la presse numérique. C'est toujours aussi affligeant de vide ! On a un enfilage de poncifs et de lieux communs sur le travail de journaliste, avec des erreurs d'analyses pitoyables. Non, madame la Ministre, le "Data-journalisme", cela ne se résume pas à l'exploitation des seules données publiques.

C'est l'exploitation statistique de données, d'où qu'elles viennent. Un travail que les journalistes, littéraires purs et souvent nullissimes en maths, ne font que très peu. Depuis la dernière fois, elle ne connait toujours pas mieux ses dossiers. Premier sujet, faire payer Google. Deuxième sujet, les aides publiques à la presse. Troisième sujet, clairement posé par les journalistes : faut-il un véritable "freedom of information act" pour remplacer la minable loi sur la protection des sources des journalistes, qui ne protège rien ? Le summum de l'hypocrisie et du non-dit est atteint dans le dernier paragraphe. Un nouveau master ambitionne de renouveler le journalisme par la diversité. "Il ne s'agit pas d'une formation de plus", prévient Nordine Nabili, 45 ans, directeur du Bondy Blog et l'un des intervenants, alors que la France compte déjà une centaine de filières spécialisées, dont treize écoles reconnues par la profession.

L'ambition de ce master de l'université de Cergy-Pontoise est de bousculer le recrutement dans les rédactions où, selon lui, on donne "trop souvent" la part belle à "des jeunes ayant fait un IEP, puis une grande école". Elle s'inscrit dans la mouvance de récents concepts pour attirer des profils différents comme le partenariat entre l'ESJ et le Bondy Blog, la Chance aux concours du CFJ, l'expérience de la fondation TF1 et plus récemment celle du Monde qui ouvre son "académie".

Pour Jean-Claude Lescure, responsable du master de Gennevilliers, le phénomène de reproduction sociale est encore "très fort" dans les écoles, privilégiant "des jeunes gens issus de CSP+". "S'ils ne sont pas épaulés, ils ne sont pas pris", dit-il. Confiance en soi Par. Twitter Reaction Sometimes Affects TV-Show Scripts. Business Insider. He Said, She Said, and the Truth. La presse quotidienne papier, ça marche… Monde Cinq éditeurs partent à la conquête des annonceurs. Et des lecteurs BRUXELLES Profitant de la publication des chiffres d’audience de la presse quotidienne belge, les principaux éditeurs du sud et du nord du pays – Corelio, IPM, Rossel, Concentra et De Persgroep – lancent, ce 15 septembre, une vaste offensive en faveur du support papier.

L’initiative nationale, baptisée Newspaperswork, vise avant tout les annonceurs publicitaires, auxquels les éditeurs entendent rappeler la pertinence d’investir dans la P.Q. (presse quotidienne). Mais, à travers eux, les éditeurs espèrent également sensibiliser les consommateurs de médias, toujours davantage sollicités par la multiplication des supports (qu’ils soient écrits, audiovisuels ou numériques). “La presse quotidienne n’est pas passée de mode. Il avance trois chiffres pour plaider la cause du papier (ce qui ne manquera pas de faire sursauter tous ceux qui, depuis quelques années, annoncent la mort de la presse papier).

M. Through a Thwarted Cinematographer's Eye, China's Cultural Revolution.