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Le risques de la mauvaise utilisation

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Mediator : Une nouvelle étude prouve encore son mauvais usage. Le mésusage du Mediator.

Mediator : Une nouvelle étude prouve encore son mauvais usage

Réalisée à partir de 2.576 fiches de patients qui ont pris du Mediator, une nouvelle étude a révélé que ce médicament des laboratoires Servier a été prescrit à de nombreuses reprises en dehors de son autorisation de mise sur le marché (AMM). Des milliers de personnes se sont ainsi vu prescrire cet antidiabétique comme coupe-faim. « Notre étude permet de mettre en évidence une caractéristique majeure de cette crise sanitaire : le mésusage du produit », a commenté David Koenig, l’auteur de cette étude. Mais cette dernière, mise en ligne par l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps), ne s’arrête pas là. Elle a également souligné que le risque d’avoir une attaque des valves cardiaques augmente avec la durée et la dose du traitement au Mediator. Un résultat d’autant plus alarmant que certains patients se sont vu prescrire un traitement inadapté et sur-dosé.

L’indemnisation des victimes. Jean-Michel Cohen : "Ces médecins jouent aux apprentis sorciers" L’effet anti-diabétique de la perte de poids perdure une décennie ! « Gesondheetszentrum – Zitha. Certains médicaments antidiabétiques augmentent le risque d’infections. Cette classe d’antidiabétique, les inhibiteur du DDP-4 (dipeptidyl peptidase-4 inhibitors) inhibent la dégradation de certaines hormones, les incrétines. Les incrétines sont des hormones gastro-intestinales qui stimulent la sécrétion d’insuline lorsque la glycémie est trop élevée, ralentissent la vidange de l’estomac et limitent la libération du glucagon, une hormone hyperglycémiante. Toutefois ces incrétines sont rapidement dégradées par le dipeptidyl-peptidase 4 (DPP-4). L’inhibition de ce DDP-4 permet alors de maintenir plus longtemps actives les incrétines et d’aider au contrôle de la glycémie.

Cependant ces inhibiteurs de la DDP-4 ont aussi d’autres effets. En particulier, ils se fixent sur certains globules blancs jouant un rôle dans l’immunité. Pour cela ils ont travaillé à partir d’une banque de données de l’OMS qui regroupe tous les effets secondaires recensés avec les antidiabétiques oraux. Source. Effets à long terme du traitement antidiabétique intensif sur le risque cardiovasculaire. Remarque: ce résumé d'article a été écrit par un étudiant ou un enseignant du DEPARTEMENT DE MEDECINE GENERALE DE PARIS 7.

Effets à long terme du traitement antidiabétique intensif sur le risque cardiovasculaire

Il est en accès libre. OBÉSITÉ: Un (nouvel) antidiabétique envisagé pour la perte de poids. OBÉSITÉ: Un (nouvel) antidiabétique envisagé pour la perte de poids Actualité publiée le 17-01-2012 Un anti-diabétique pour la perte de poids?

OBÉSITÉ: Un (nouvel) antidiabétique envisagé pour la perte de poids

Cela ne peut que rappeler l’affaire du Mediator. Mais ici, il n’est pas question de mésusage, juste d’une étude sur un médicament actuellement utilisé pour traiter certains cas de diabète. Il s’agit des agonistes du récepteur du GLP-1 (Glucagon-Like Peptide) qui peuvent réguler la glycémie et …supprimer l'appétit. Aujourd’hui ces anti-GLP-1 sont utilisés pour contrôler la pression artérielle chez certains patients diabétiques, mais cette nouvelle étude a examiné s’ils pouvaient aussi contribuer à la perte de poids, des personnes diabétiques comme chez des non diabétiques. Actuellement 2 anti-GLP-1 sont autorisés uniquement pour le traitement du diabète de type 2 lorsqu’il ne répond pas aux autres traitements standards. . - Les patients non diabétiques ont perdu sur 3,2 kg en moyenne de plus que les patients des groupes témoins,

Loi sur les médicaments : les nouvelles règles du jeu. Peut-on prescrire des médicaments pour d'autres pathologies que celles pour lesquelles ils ont reçu une autorisation de mise sur le marché (AMM)?

Loi sur les médicaments : les nouvelles règles du jeu

La question est importante. D'un côté, les médecins qui recourent à cette pratique sont menacés de sanction mais, de l'autre, ces prescriptions controversées peuvent ouvrir la voie à de nouveaux usages de ces médicaments. D'où le risque, en légiférant, de restreindre les découvertes thérapeutiques: un écueil que la récente loi sur le contrôle des médicaments semble avoir évité. L'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) a informé récemment les médecins que le Rivotril ne pourra désormais être prescrit dans une autre indication que l'épilepsie uniquement par les neurologues et les pédiatres sur ordonnance sécurisée. Or, des praticiens l'utilisaient régulièrement pour ses capacités sédatives et anxiolytiques… Association d'Aide aux Victimes du Mediator et aux Victimes de l'Isoméride (A.V.I.)

Mediator : « Des experts savaient dès 1998 » Médicament pour diabétiques en surpoids prescrit aussi comme coupe-faim, le Mediator a été commercialisé en France par les laboratoires Servier de 1976 à novembre 2009.

Mediator : « Des experts savaient dès 1998 »

Il a été retiré du marché car il aurait provoqué la mort d'au moins 500 patients. Sur France Info, hier, Me Joseph-Oudin, avocat de victimes, a révélé que, « dès le 30 avril 1998, le comité technique de pharmacovigilance de l'Afssaps - l'Agence du médicament - notait que le Mediator avait des liens très étroits avec l'Isoméride ». Cet autre coupe-faim, commercialisé en 1985, a été interdit en 1997 après la découverte de cas d'hypertension artérielle pulmonaire et d'anomalies des valves cardiaques. « Compte tenu de la suspicion, le comité demandait des enquêtes officielles pour établir les liens possibles entre le Mediator et des valvulopathies. » Dans un communiqué, la HAS a répondu au Canard enchaîné.

Elle déplore une présentation « tronquée » de son travail. En 2006, Xavier Bertrand était ministre de la Santé. A Strasbourg, une association gère l'angoisse des victimes du Mediator - Médecine & Santé - SANTE - - Les Echos.fr.