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Critiques politiques

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Retraites: «Le gouvernement veut occulter le caractère injuste de son projet» Le PS entend "démystifier les mensonges" de Sarkozy sur les retrautes, Woerth réplique, actualité Politique : Le Point. L'opposition PS a proclamé vouloir "démystifier les mensonges" de Nicolas Sarkozy, jeudi à l'Assemblée nationale, lors de l'examen de la réforme des retraites, face au ministre du Travail Eric Woerth, qui a répliqué en dépeçant le contre-projet socialiste.

Le PS entend "démystifier les mensonges" de Sarkozy sur les retrautes, Woerth réplique, actualité Politique : Le Point

Les députés devaient voter dans la nuit le coeur de la réforme: le relèvement de l'âge légal de 60 à 62 ans à l'horizon 2018 (65 à 67 ans pour une retraite à taux plein même sans avoir toutes les annuités). Entre-temps, le débat a rebondi sur les annonces, la veille, du chef de l'Etat, qui avait tenté de désamorcer la mobilisation avec des concessions sur la pénibilité, les polypensionnés et les carrières longues. Pascal Terrasse (PS) a dit vouloir "démystifier les mensonges qui ont été annoncés par le président de la République".

"Vous êtes en train de nous raconter des balivernes, a dit M. Terrasse, sur les polypensionnés, nous avons tous les éléments". "Martine Aubry propose qu'on reste à 60 ans mais avec une décote. Flash Eco : Retraites: les députés réagissent à l'Assemblée. A l'Assemblée nationale, les députés d'opposition ont réagi face aux mesures annoncées par Sarkozy aujourd'hui pour changer, à la marge, la réforme des retraites.

Flash Eco : Retraites: les députés réagissent à l'Assemblée

Passage en revue des différents avis : Martine Billard (parti de Gauche): "Ce sont des micro-miettes qui étaient déjà annoncées. Sur la pénibilité, le fait de descendre de 20 à 10%, d'abord cela ne va pas concerner grand monde. Déjà dans le bâtiment par exemple, il n'y a que 1% environ de travailleurs qui ont un taux d'incapacité de 12% (...) mais nous avons un gros désaccord sur la façon d'aborder la pénibilité puisque là, il s'agit de travailleurs qui sont déjà en usure (...) le report de cinq ans concernant les mères de famille dans la Fonction publique, c'est tout simplement que nous avons été nombreux à alerter qu'il y aurait un problème dans les hôpitaux avec un départ massif des infirmières.

Non, il faut que le gouvernement retire ce projet". PS: "il y a moyen de faire reculer le gouvernement" sur les retraites. Décryptage du projet de réforme des retraites du gouvernementTravailler plus pour gagner moins ! Ce billet a été lu 8 881 fois.

Décryptage du projet de réforme des retraites du gouvernementTravailler plus pour gagner moins !

La réforme des retraites présentée par le gouvernement est un véritable rouleau compresseur contre le travail : âge légal de départ repoussé de 60 à 62 ans,durée de cotisations relevée à 41,5 annuités,droit à la retraite à taux plein repoussé à 67 ans. Et les contreparties en terme de prise en compte de la pénibilité et de taxation du capital sont dérisoires. ASSEMBLÉE NATIONALE : Le débat sur les retraites débute sous un flot de critiques, actualité Economie : Le Point.

Le débat sur la réforme des retraites en France a débuté mardi sous un flot de critiques émanant non seulement de l'opposition, mais aussi des alliés centristes et "villepinistes" de la majorité présidentielle.

ASSEMBLÉE NATIONALE : Le débat sur les retraites débute sous un flot de critiques, actualité Economie : Le Point

Retraites : Rocard critique le PS et défend Woerth. Le débat sur les retraites débute sous un flot de critiques. * "La réforme la plus brutale d'Europe", dit le PS * L'affaire Woerth s'invite dans le débat * Le Nouveau Centre juge la réforme insuffisante par Emile Picy PARIS, 20 juillet (Reuters) - Le débat sur la réforme des retraites en France a débuté mardi sous un flot de critiques émanant non seulement de l'opposition, mais aussi des alliés centristes et "villepinistes" de la majorité présidentielle.

Le débat sur les retraites débute sous un flot de critiques

Retraites : nouvelles critiques de Bayrou - VIE POLITIQUE. Le débat sur les retraites débute sous un flot de critiques. Critiques en rafale de la gauche. Olivier besancenot (npa) : « La seule chose qu'il reste à faire, aujourd'hui, au ministre en charge de la réforme des retraites, c'est de démissionner. » claude bartolone (ps) : « C'est un ministre qui a menti à un moment où il y a une affaire qui est déjà très compliquée », a indiqué le député sur LCI, demandant la démission d'Éric Woerth. pierre laurent (PCF) : Éric Woerth est « plus disqualifié que jamais » pour mener la discussion sur les retraites.

Critiques en rafale de la gauche

Le secrétaire national du Parti communiste demande que « le ministre et sa réforme disparaissent avant l'ouverture du débat parlementaire » le 7 septembre. laurent fabius (ps) : Le ministre « va aborder ce débat » des retraites « en position très, très faible » et « j'ai cru comprendre que M. Retraites : UMP et gouvernement chargent le contre-projet du PS - RETRAITE VIE POLITIQUE. Politique : Retraites : François Fillon pilonne le contre-projet du PS. Le premier ministre a reproché mercredi au Parti socialiste de vouloir créer «une avalanche d'impôts nouveaux», l'UMP dénonçant de son côté un projet «anti-social» et «anti-économique».

Politique : Retraites : François Fillon pilonne le contre-projet du PS

La riposte ne s'est pas fait attendre. Alors que Martine Aubry a dévoilé mardi soir les propositions du Parti socialiste sur les retraites, le gouvernement et l'UMP se sont empressés dès mercredi matin de mitrailler ce plan. Principal argument de la majorité : ce contre-projet de réforme ne prend pas en compte les causes démographiques du déséquilibre actuel du régime. Au premier rang des détracteurs de la gauche, le premier ministre François Fillon, qui a accusé mercredi le PS de se contenter de proposer «une série d'expédients». «Inventer des recettes virtuelles» Les propositions socialistes, qui excluent un recul de l'âge légal de la retraite, prévoient notamment des ressources nouvelles et la mise à contribution des revenus du capital. «Aubry, la dame des impôts»