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Octobre 2010

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Bons baisers de Karachi … Le 29 Juillet 2009, je recevais une convocation de Nicolas Baveye, Officier de Police judiciaire, agissant dans le cadre des instructions écrites de Mme Donnizaux, Substitut du Procureur de la République près du Tribunal de Grande Instance de Paris, référencées P 09 196 08 10, me demandant de me présenter en qualité de témoin près de la Direction de la Police Judiciaire, 12, rue du Château des rentiers, 75013 Paris.

Bons baisers de Karachi …

Cette convocation non motivée à la laquelle je me suis rendu à l’époque avait trait à un article paru sur un blog du "Mouvement Républicain et Citoyen Guingamp" dont j’étais responsable et trait à l’affaire de Karachi. Le parquet voulait connaître mes sources puisque dans cet article étaient mis en cause des rétrocessions, cités le gouvernement Balladur, Nicolas Sarkozy, et un certain Monsieur Ouart, Magistrat et conseiller de Nicolas Sarkozy pour la justice. La réaction des familles n’a pas tardé après les révélations de Charles Millon. Affaire à suivre ? Jacky Eouzan. [INTERVIEW] Teissier (UMP) sur Karachi : "Je ne fais pas de rétention d'informations" - Opinion - Guy Teissier.

S'appuyant sur des lettres que vous avez échangées avec le juge d'instruction Marc Trévidic, Mediapart vous accuse de faire obstruction au magistrat dans le cadre de son enquête sur l'affaire Karachi.

[INTERVIEW] Teissier (UMP) sur Karachi : "Je ne fais pas de rétention d'informations" - Opinion - Guy Teissier

Que répondez-vous à ces accusations ? - Je suis d'abord scandalisé que ces courriers que nous avons échangés, le juge et moi-même, puissent circuler ainsi au grand jour. Ensuite, je trouve que l'attitude de Mediapart est une posture politicienne. Je ne fais absolument pas de la rétention d'informations, bien au contraire, puisque c'est moi qui ai voulu cette mission d'information parlementaire sur l'affaire Karachi. J'ai même fait en sorte qu'elle soit plurielle avec deux UMP, un PS, un communiste, un centriste… Pour ce qui est de la demande du juge d'instruction, je vous répète ce que je lui ai écrit et que vous avez pu lire puisque cela a été publié. Dans son dernier courrier publié par Mediapart, le juge Trévidic envisage de recourir à une "réquisition judiciaire". DCN: fin d'une enquête ouverte pour corruption - Société. Attentat de Karachi : le juge van Ruymbeke va enquêter sur des soupçons de rétrocommissions.

Campagne de 1995: les documents qui accablent Balladur. Depuis hier, les archives confidentielles du Conseil Constitutionnel affolent les Balladuriens.

Campagne de 1995: les documents qui accablent Balladur

Libération publie les extraits les plus sulfureux de ces archives, dans le fichier à télécharger ici. Ils montrent qu’en 1995 de graves irrégularités ont entaché le financement de la candidature d’Édouard Balladur à la présidentielle, dont Nicolas Sarkozy était alors le porte-parole. Dans le cadre d’un nouveau prolongement du dossier sur l’attentat de Karachi, la Brigade centrale de lutte contre la corruption, à Nanterre, a fouillé au printemps dernier les délibérations et les audits des comptes de campagnes d’Édouard Balladur pour l’élection présidentielle de 1995. Les liasses de factures et de comptes en banque, archivés au Conseil Constitutionnel, sont d’ordinaire soumises au secret pour une période de 25 ans.

En les explorant, les enquêteurs ont trouvé une perle. L’instruction antiterroriste, ouverte depuis près de huit ans, est aujourd'hui confiée au juge Marc Trévidic. Guillaume DASQUIÉ. Karachi: Sarkozy visé, selon Balladur. L'ancien Premier ministre Edouard Balladur a estimé aujourd'hui qu'à travers lui c'est Nicolas Sarkozy qui était visé par les "attaques" à son encontre dans le cadre de l'affaire Karachi.

Karachi: Sarkozy visé, selon Balladur

"Je pense que ça n'est pas moi qui suis concerné par ces attaques", a lancé Edouard Balladur sur Canal+, à propos de l'enquête sur le financement de sa campagne de 1995 et d'éventuelles rétrocommissions liées à la vente de sous-marins au Pakistan. A la question : "c'est Nicolas Sarkozy? ", qui à l'époque était son directeur de campagne, Edouard Balladur répond: "bien sûr! ". "Il n'était absolument pas en charge du financement de ma campagne, pas du tout, mais enfin c'est une façon de chercher à le mettre en cause", dit-il. "C'est toujours le même type de procédé vous savez, et ça va perdurer, prospérer, pendant des années, il y a aura à chaque fois des révélations", a poursuivi Edouard Balladur.

Connaît-il l'identité des personnes qui pourraient être derrière une telle "machination" ? Toulouse7 – Informations Toulouse France International, actualités, divertissements et reflexion. [Revue de presse] - [69] - [11 octobre 2010] CAMPAGNE DE 1995 : LES DOCUMENTS QUI ACCABLENT BALLADURLibération Guillaume DasquiéDepuis hier, les archives confidentielles du Conseil Constitutionnel affolent les Balladuriens.

[Revue de presse] - [69] - [11 octobre 2010]

Libération publie les extraits les plus sulfureux de ces archives, dans le fichier à télécharger ici. Ils montrent qu’en 1995 de graves irrégularités ont entaché le financement de la candidature d’Édouard Balladur à la présidentielle, dont Nicolas Sarkozy était alors le porte-parole... "lien direct : KARACHIGATE : CETTE ENQUÊTE QUE SARKOZY VEUT BLOQUERSarkofrance"Un juge s'obstine. L'affaire dit du Karachigate a pris une nouvelle tournure cette semaine. le juge Renaud van Ruymbeke a décidé d'enquêter sur des «faits de corruption active et passive» dans le cadre du financement de la campagne d'Edouard Balladur en 1995.

OLIVIER MORICE, L'AVOCAT QUI DÉFIE SARKOZYLe télégramme de Brest"Vendredi 7octobre. 15h30. Texte intégral : [Revue de presse] - [70] - [12-19 octobre 2010] KARACHI : REVELATIONS SUR L'INTERMEDIAIRE BALLADURIENMediapart, Fabrice Arfi, Fabrice Lhomme, 11/10/ 2010 "Interrogé comme témoin le 15 avril par le juge Trévidic, qui enquête sur un lien éventuel entre les troubles dessous financiers du contrat des sous-marins Agosta et l'attentat de Karachi, qui a causé la mort de onze Français le 8 mai 2002, Ziad Takieddine avait par exemple affirmé à plusieurs reprises: «En ce qui me concerne, je ne me suis pas occupé du contrat des sous-marins.»

[Revue de presse] - [70] - [12-19 octobre 2010]

Seulement voilà, le 16 juin dernier, Emmanuel Aris, un ancien haut dirigeant de la Direction des construction navales (DCN, rebaptisée depuis DCNS), le constructeur des sous-marins vendus au Pakistan, a livré aux policiers de la Division nationale des investigations financières (DNIF) un contrat signé de la main de Ziad Takieddine concernant le versement des fameuses commissions suspectes en marge du marché Agosta.

Karachigate : cette enquête que Sarkozy veut bloquer. Un juge s'obstine.

Karachigate : cette enquête que Sarkozy veut bloquer

L'affaire dit du Karachigate a pris une nouvelle tournure cette semaine. le juge Renaud van Ruymbeke a décidé d'enquêter sur des «faits de corruption active et passive» dans le cadre du financement de la campagne d'Edouard Balladur en 1995. Le parquet de Paris n'a pas apprécié, jugeant que cela n'a rien à voir avec l'attentat de Karachi du 8 mai 2002. le procureur Marin avait déjà annoncé que les faits étaient de toute façon prescrits. Le communiqué du parquet de Paris pour justifier son obstruction est éloquent :« Le cadre d'une information ouverte sur le fondement d'une telle plainte n'est manifestement pas approprié, en droit, pour investiguer sur des faits d'abus de biens sociaux au préjudice de la DCN-I et de corruption dans des conditions juridiques solide. » Rappelons les soupçons : Le 8 mai 2002, un attentat à Karachi tue 14 personnes dont 11 salariés français de la DCN.

A l'époque, on évoque Al Qadai. Rappelons les faits : 1. 2. 3. 4. 5. 5. 1. 2. 3. 4. Karachi : l'UMP refuse de communiquer des documents à la justice - Politique. Y a-t-il "entrave à la justice" dans le cadre de l'enquête sur l'affaire Karachi ?

Karachi : l'UMP refuse de communiquer des documents à la justice - Politique

Interrogée sur ce point mercredi lors de la séance des questions au gouvernement par le député PS Bernard Cazeneuve (rapporteur de la mission parlementaire sur l'attentat de Karachi en 2002 qui avait coûté la vie à onze salariés de la Direction des constructions navales et fait naître des soupçons sur le financement de la campagne présidentielle d'Edouard Balladur en 1995), la ministre de la Justice Michèle Alliot-Marie a nié toute obstruction au travail judiciaire. Pourtant, si les documents que publie Mediapart, jeudi 14 octobre, ne suffisent à accréditer cette accusation, ils montrent néanmoins que rien n'est fait pour faciliter la tâche de la justice.

Karachi : la commission du secret de la défense favorable à la déclassification de documents.