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Novembre 2010

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[revue de presse] - [80] - [Mercredi 24 novembre 2010] Les matins de France Culture (durée : 15 minutes) Liberation "«J’ai fait savoir que cette mission ne pouvait pas être créée car la première mission vient de remettre ses conclusions», a déclaré, à l’issue de la conférence des présidents, Bernard Accoyer, qui a aussi fait valoir qu’il y avait des «poursuites judiciaires en cours». La mission parlementaire avait achevé ses travaux en mai 2010. Après avoir demandé plusieurs fois la réouverture de cette mission, le chef de file des députés socialistes, Jean-Marc Ayrault, a écrit lundi à Bernard Accoyer pour solliciter l’ouverture d’une nouvelle mission d’information au vu de «nouveaux éléments». Autres articles : Mediapart, Fabrice Arfi, Fabrice Lhomme Liberation, David Dufresne "Libération publie l'enregistrement sonore intégral du point presse off du président où, pour dénoncer la supposée absurdité des soupçons qui le frappent, il a évoqué la pédophilie imaginaire d'un journaliste.

Rue 89, Pascal Riché Lait d'beu Autre article : A l'etranger : Villepin backs 'Karachigate' claims against Sarkozy - Europe, World. The former prime minister, Dominique de Villepin, a visceral enemy of President Sarkozy, has sprinkled new fuel on what already threatens to become the most damaging French political scandal for decades. On the French television news, Mr Villepin spoke of his "very strong suspicions" that kickbacks were paid to "political and non-political personalities" in France on the €800m sale of three Agosta 90B submarines to Pakistan in 1994. Mr Villepin confirmed that, as President Jacques Chirac's chief of staff, he had been personally involved in cancelling the Pakistani payments "to help clean up public life" in 1995-96. He offered to give evidence to French magistrates, who are investigating allegations that the cancellation led eventually to a bomb attack on a bus in Karachi in May 2002 in which 11 French engineers and four Pakistanis died.

The engineers were to supervise the assembly of the submarines. Karachi: des documents saisis par les juges contredisent Nicolas Sarkozy. [INFO OBS] Karachi : l'opacité des commissions de la DCN pointée dans un rapport - Politique. Jacques Chirac a ordonné, en 1996, au ministère du Budget d'examiner les contrats de la Direction des constructions navales –Internationale (DCNI), la société dont dépendaient les onze salariés français tués los de l'attentat de Karachi en 2002. La Direction des vérifications nationales et internationales (DVNI), qui dépend de la Direction générale des finances publiques, chargée du contrôle fiscal des grandes entreprises, relève l'opacité du système entourant ces contrats.

Selon le rapport de la DVNI, les contrats "sont déposés dans des coffres en Suisse, qui ne peuvent être ouverts qu'avec l'accord de l'agent ou de son représentant". Par ailleurs, le document indique que, selon les déclarations de la DCN, 4% des commissions versées pour le contrat Agosta de ventes de sous-marins au Pakistan avaient été versées au Premier ministre Bénazir Butho. "Le montant des commissions est exagéré" Le rapport souligne en outre que le "montant des commissions est exagéré". L'Elysée exige de ne plus faire pointer Karachigate.fr vers son site. Vite dit. Karachi: Accoyer refuse une nouvelle mission parlementaire. Le président UMP de l’Assemblée nationale, Bernard Accoyer, a annoncé mardi qu’il n’y aurait pas de nouvelle mission d’information parlementaire sur l’attentat de Karachi, comme le réclamaient les députés socialistes, en raison notamment de procédures judiciaires en cours.

«J’ai fait savoir que cette mission ne pouvait pas être créée car la première mission vient de remettre ses conclusions», a déclaré, à l’issue de la conférence des présidents, Bernard Accoyer, qui a aussi fait valoir qu’il y avait des «poursuites judiciaires en cours». La mission parlementaire avait achevé ses travaux en mai 2010. Après avoir demandé plusieurs fois la réouverture de cette mission, le chef de file des députés socialistes, Jean-Marc Ayrault, a écrit lundi à Bernard Accoyer pour solliciter l’ouverture d’une nouvelle mission d’information au vu de «nouveaux éléments».

Après les révélations de Charles Millon Plainte pour «entrave à la justice»? (Source AFP) Karachi : ces documents qui restent cachés. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Samuel Laurent Les documents "seront déclassifiés", tout sera fourni à la justice... Depuis que l'affaire Karachi a été relancée par les déclarations de l'ancien ministre de la défense Charles Millon au juge Van Ruymbeke, le gouvernement ne cesse d'assurer que tout sera fait pour permettre à l'enquête d'avancer. Tout en faisant le contraire. - Déclassifications partielles.

Malgré les affirmations de la majorité, tous les documents n'ont pas été remis aux juges, qui pointent de nombreux cas où leurs demandes se sont heurtées au secret défense, ou ne leur ont permis d'obtenir que des déclassifications partielles, des documents expurgés de certaines parties. Pour obtenir certains documents sensibles, les juges doivent avoir l'accord de la Commission consultative sur le secret de la défense nationale (CCSDN), laquelle, chargée de répondre aux juges, ne dispose que de peu de pouvoirs propres.

Celle-ci existe depuis 1998. Pourquoi l'a-t-il fait ? France : Perquisition à Bercy dans le cadre de l'affaire Karachi. Le juge Renaud Van Ruymbeke aurait saisi récemment au ministère du Budget des notes sur les «montages financiers opaques» mis en place autour du contrat de vente de sous-marins Agosta au Pakistan. Après l'affaire Bettencourt, le dossier de Karachi devient un nouveau feuilleton quotidien pour le gouvernement. Au cours d'une récente perquisition au ministère du Budget, à Bercy, le juge Renaud Van Ruymbeke aurait saisi des notes sur les «montages financiers opaques» mis en place autour du contrat de vente de trois sous-marins Agosta au Pakistan en septembre 1994, révèle mardi Le Parisien. Un contrat qui est au coeur d'une affaire de commissions et de possibles rétrocommissions, qui secoue actuellement la vie politique française.

«Il y a une dizaine de jours, dans la plus grande discrétion, le juge Renaud Van Ruymbeke a perquisitionné la Direction générale des Impôts, au ministère du Budget à Bercy, affirme le quotidien. «Une bombe à retardement» » De l'attentat de Karachi au «Karachigate» Karachi : de mystérieuses notes saisies au ministère du Budget. L'information est passée presque inaperçue. Elle a pourtant tout d'une bombe à retardement. Il y a une dizaine de jours, dans la plus grande discrétion, le juge Renaud Van Ruymbeke a perquisitionné la Direction générale des impôts, au ministère du Budget, à Bercy. Saisi d'une plainte pour « délit d'entrave » émanant des familles des victimes de l' attentat de Karachi, le magistrat du pôle financier est à la recherche de documents susceptibles d'étayer la thèse développée dans le rapport Nautilus et longtemps tenue secrète par les autorités de l'Etat : l'attentat de Karachi serait lié à la décision de Jacques Chirac, en 1995, d'arrêter le versement de très importantes commissions à des intermédiaires.

Tout juste élu, Chirac soupçonne ceux-ci d'avoir rétrocédé une partie de l'argent à des interlocuteurs français afin de financer la campagne d'Edouard Balladur. Lors de sa perquisition à Bercy, le juge du pôle financier aurait mis la main sur des documents « extrêmement intéressants ». «Amis pédophiles, à demain!» Le président Nicolas Sarkozy s’est récemment emporté face à des journalistes à propos du dossier Karachi, affirmant à l’un d’eux: «Il semblerait que vous soyez pédophile, j’en ai l’intime conviction» pour signifier qu’on ne peut mettre en cause quelqu’un sans preuve.

L’échange, relayé lundi soir par plusieurs sites internet, a eu lieu en marge du sommet de l’Otan à Lisbonne vendredi soir, alors qu’au même moment en France Dominique de Villepin relançait les soupçons de rétrocommissions vers Paris en 1995, dans le cadre du contrat d’armement avec le Pakistan au coeur de l’affaire de l’attentat de Karachi. A l’époque Nicolas Sarkozy était ministre du Budget et porte-parole de la campagne présidentielle d’Edouard Balladur, sur laquelle planent des soupçons de financement illégal potentiellement lié à ces rétrocommissions. «On est dans un monde de fous», a déclaré le président.

Le président emploie encore le mot deux ou trois fois, preuve de sa colère. (Source AFP) "Journaliste pédophile" : Sarkozy esquive (encore) Karachi | Rue89. Interrogé « off the record » sur les soupçons pesant sur lui dans le « karachigate », juste après le sommet de l’Otan de Lisbonne, Nicolas Sarkozy s’est drapé dans sa dignité présidentielle, et a retourné l’accusation contre le journaliste dans l’intention de lui démontrer l’absurdité de sa question : « Mais écoutez, on est dans un monde de fous. Il n’y en a pas un seul parmi vous qui croit que je vais organiser des commissions et des rétrocommissions sur des sous-marins au Pakistan ? C’est incroyable et ça devient un sujet à la télévision. Et vous, j’ai rien du tout contre vous. Il semblerait que vous soyez pédophile...

Qui me l’a dit ? Ce « off » ne valait pas tripette, juge l’envoyé spécial du Monde. Ce qui est intéressant n’est pas la façon cavalière avec laquelle le Président parle aux journalistes (il l’a toujours fait, et les journalistes apprécient généralement son franc-parler), mais les obsessions que son étrange coup de colère trahit. On n’attaque pas le pouvoir sans preuves. «Il semblerait que vous soyez pédophile»: écoutez ce qu'a vraiment dit Nicolas. Libération publie l'enregistrement sonore intégral du point presse off du président où, pour dénoncer la supposée absurdité des soupçons qui le frappent, il a évoqué la pédophilie imaginaire d'un journaliste. Analyses et enquêtes à lire demain en kiosque et dans notre zone abonnés. Trois jours pour entendre le «off». Le document du point presse informel tenu par Nicolas Sarkozy vendredi 19 à Lisbonne est à écouter ci-dessus.

Mediapart et lexpress.fr l'ont ébruité en prem's lundi soir, vite rejoints par le jdd.fr, puis l'AFP. «Sarkozy à des journalistes: "Amis pédophiles, à demain"», titre le premier ; «La colère off de Sarkozy», annonce le second tandis que le troisième précise «Journalistes "pédophiles": quand Sarkozy dérape». Voilà l'histoire: vendredi, à Lisbonne, au sommet de l'Otan, Nicolas Sarkozy rencontre quelques journalistes. Interrogé à propos du dossier Karachi, le président de la République s'emporte illico. David DUFRESNE. A Lisbonne, Sarkozy karachi dans la colle : il traite un journaliste de «pédophile» ! - LAIT d’BEU - Blog LeMonde.fr. Décidément, deux incartades de suite lors du dernier sommet de l’OTAN qui vient de se tenir à Lisbonne, Nicolas Sarkozy fait fort ! J’ai déjà parlé de ses mauvaises manières envers le président roumain, Traian Basescu, qu’il a pratiquement bousculé avant la "photo de famille" des chefs d’Etat ou de gouvernement.

What family ! Or, en cherchant hier en fin d’après-midi les nouvelles fraîches sur Google Infos, je tombe sur ce titre de l’Express La colère off de Sarkozy (22 nov. 2010) qui ne pouvait qu’attirer mon attention d’autant qu’il y était question d’un journaliste qui l’interrogeait sur l’affaire Karachi… Elle le poursuit jusqu’à l’étranger ! L’article de Michaël Hajdenberg (Medipart, le 22 novembre) est tout autant explicite que son titre Sarkozy à des journalistes: «Amis pédophiles, à demain» parce que c’est sur cette apostrophe que Nicolas Sarkozy a conclu son intervention ! «Les "nouveaux habits" du président Sarkozy n'auront pas tardé à se déchirer en lambeaux. Post-scriptum. Karachigate : Sarkozy et les pédophiles. Après l'emballement médiatique sur l'affaire Karachi la semaine dernière, jusqu'aux déclarations de Dominique de Villepin vendredi soir, on assiste à un bel exercice quasiment coordonné de rétropédalage, notamment de Dominique de Villepin.

Faut-il y voir une volonté de réconciliation chez Jacques Chirac ? L'ancien chef de l'Etat attend son procès sur les emplois fictifs de la Maire de Paris, au printemps prochain. Il a été soutenu par Nicolas Sarkozy qui a négocié, pour le compte de l'UMP, une conciliation avec la Mairie de Paris en septembre dernier. «Amis pédophiles, à demain.» Vendredi dernier, Nicolas Sarkozy était passablement énervé qu'on l'interroge sur le Karachigate. Un journaliste lui demanda alors de préciser son rôle à l'époque, après le témoignage de Charles Millon. L'entrave se confirme De ces trois arguments, le dernier a du mal à convaincre. Mais le vrai rétropédalage est venu de Dominique de Villepin. En Arabie Saoudite... Journalistes "pédophiles": Nicolas Sarkozy s'emporte en off. Nicolas Sarkozy lors du sommet de l'Otan, à Lisbonne, le 19 novembre dernier. (Reuters) Après le "casse-toi pov'con" adressé à un anonyme au Salon de l'Agriculture ou le "Toi, t''as qu'à descendre!

", envoyé à un pêcheur du Guilvinec un peu trop virulent, Nicolas Sarkozy s'est une nouvelle fois illustré par des propos que certains jugeront déplacés. Cette fois face à une assemblée de journalistes. Il est 21 heures vendredi dernier quand Nicolas Sarkozy débarque dans la salle de presse de la Foire internationale de Lisbonne où se tient le sommet de l'Otan. Le chef de l'Etat a la tête des mauvais jours. Il sait qu'à Paris, Dominique de Villepin vient de lancer la charge contre le clan balladurien. Il ne supporte pas qu'un journaliste lui demande si, en tant que ministre de Budget, il a donné son aval en 1994 à la création de deux sociétés au Luxembourg par lesquelles seraient passées des rétrocommissions.

-"Jamais mon pauvre. Un autre journaliste relance le président. "J'accuse Monsieur Balladur d'avoir financé sa campagne avec des rétrocomissions" - RichardTrois sur LePost.fr. Lundi soir, Sandrine Leclerc, porte-parole des familles des victimes de l'attentat de Karachi et leur avocat Maître Olivier Morice étaient les invités d'une émission très forte. Sandrine Leclerc, porte-parole des familles des victimes de l'attentat de Karachi - capture C+ Le sujet est très difficile.

Beaucoup de citoyens et téléspectateurs ont du mal à comprendre les tenants et les aboutissants de ce drame qui mêle terrorisme, corruption, politique et la vie abimée des familles des 15 victimes de l'attentat de Karachi. Dès lors comment dire les choses en 2 phrases entre 2 jingles de Canal+ et avec la pression du direct sur un plateau télévisé? Sous une émotion palpable et rentrée, Sandrine Leclerc a dit de manière rationnelle le besoin essentiel des familles de connaître la vérité et de rendre justice à leurs pères et à leurs maris tués à Karachi, malgré les entraves caractérisées auxquelles elles doivent faire face depuis 8 ans.

Capture C+ «Un soir, je suis ainsi allé voir M. Nos pères ne sont pas ‘morts pour la France’ mais ‘à cause de la France’ » [revue de presse] - [79] - [mardi 23 novembre 2010] DES VERROUS PARTOUT POUR FREINER LA VÉRITÉRue 89 "Comment verrouiller au mieux le dossier Karachi et son volet embarrassant sur les « rétrocommissions » ? Comme dans toutes les affaires, l'objectif inavoué de l'exécutif est de ralentir au mieux le cours de la justice. Pour cela, il n'y pas 36 méthodes, mais plutôt quelques aspects sur lesquels agir. 1 / Le secret-défense, un verrou à triple-tour.[...] Pour l'instant, malgré plusieurs demandes du juge antiterroriste Marc Trévidic, seuls des documents « confidentiel-défense » lui ont été transmis. Autrement dit, pour enfouir une information gênante, il suffit d'avoir recours au plus niveau de classification, sachant que le « TSD » est décidé par le Premier ministre (Alain Juppé pour la période 1995-1997) et que de telles informations ultra-sensibles ne peuvent faire l'objet d'aucun archivage !

2 / Le verrou financier de Bercy [...] 3 / Le verrou du conseil constitutionnel. 4 / Le verrou de la mission d'information parlementaire [...] Karachi: Fillon refuse que les locaux de la DGSE soient perquisitionnés. Défense de toucher aux secrets. Matignon refuse au juge Van Ruymbeke une perquisition à la DGSE - Société. Karachi : pourquoi Sarkozy est soupçonné de vouloir étouffer l'affaire - LePost.fr. Dossier Karachi : des verrous partout pour freiner la vérité. Affaire de Karachi : la société Heine au coeur du montage financier ? Karachi, dangers du tapage. [revue de presse] - [78] - [lundi 22 novembre 2010] Affaire Karachi : "Monsieur le Président, les documents, nous les voulons lundi matin !" - RichardTrois sur LePost.fr.

Sont-ils intouchables ? Karachigate : pourquoi sont-ils tous prudents ? | Les coulisses de Sarkofrance. Karachi, fin de partie pour Sarkozy ? Karachi: les documents de l'enquête qui désignent Sarkozy. Karachi : l’avocat des familles demande à Sarkozy d’arrêter de mentir. Karachi : pour Michel Mazens, l'attentat n'est pas lié aux rétrocommissions. Karachi: "aucun lien" entre attentat et arrêt des commissions, selon Villepin - Flash actualité - Politique - 21/11/2010. France : Affaire Karachi : la mise au point d'un témoin clé. Karachi : les familles des victimes veulent que Juppé s'explique. Karachi : au tour d'Alain Juppé. Karachi: Cazeneuve demande la réouverture de la mission parlementaire. [revue de presse] - [75] - [vendredi 19 novembre 2010] [revue de presse] - [76] - [20 novembre 2010] [revue de presse] - [77] - [Dimanche 21 novembre 2010]

Michel Mercier, intervenez donc, mais correctement ! | dixit. Pourquoi pas des jurés populaires pour juger l'affaire Karachi ? Karachi. Villepin évoque des rétro-commissions, l'Elysée rétorque - Conflits, terrorisme. Des précisions attendues de Villepin sur le dossier Karachi, actualité Fil Info Reuters : Le Point. Share photos on Twitter. 185ème semaine de Sarkofrance : le Karachigate remanie l'agenda sarkozyen. Les familles de victimes de l?attentat de Karachi r?pondent ? Claude Gu?ant. Il va falloir que l'Elysée modifie vite fait wikipedia. Sarkozy et Karachi (presse internationale) RÉACTION : ATTENTAT DE KARACHI - Nicolas Sarkozy dénonce la polémique, actualité Société : Le Point. Karachi : Sandrine Leclerc reproche à Sarkozy ses promesses «non tenues» | Public Sénat. La fille d'une victime : «Les déclarations de Sarkozy sonnent comme un aveu»

Karachi: les familles des victimes demandent l'audition de Nicolas Sarkozy - Société. Karachigate : Morin et Bayrou se foutent sur la gueule, c'est super le centre ! Karachigate: Millon, Morin, Joly, Bayrou : et maintenant, les politiques se balancent entre eux - LePost.fr. Affaire de Karachi : Morin cible Bayrou. Le PS exhorte Nicolas Sarkozy à s'expliquer sur l'affaire Karachi - Politique. Les révélations sur l'attentat de Karachi ont provoqué de nombreuses réactions. Le Karachigate: o en est l'enqu te? Karachigate: un résumé. Du Karachigate au Sarkozygate ou le mystère... [INFO OBS] Affaire Karachi : la bombe Millon - Politique. Karachi: la vérité. Affaire Karachi : Millon confirme l'existence de rétrocommissions. Millon, une audition explosive.

Karachi : devant le juge, Millon confirme les rétrocommissions. [EXCLUSIF] Affaire Karachi : ce qu'a dit Charles Millon au juge - Politique. La corruption confirmée dans le dossier Karachi. On les appelle "les Karachi" Karachi. Des parties civiles veulent porter plainte contre Bernard Accoyer - France. [vid?o] - [interview Sandrine Leclerc et Magali Drouet] - |Mediapart] "On nous appelle "les Karachi"", de Magali Drouet et Sandrine Leclerc : la République méprisante. Karachi : "On a voulu nous écarter de l'enquête" "On nous appelle "les Karachi"", de Magali Drouet et Sandrine Leclerc : la République méprisante. Les familles de victimes veulent la vérité sur Karachi -

Karachigate : ne pas se tromper | Les coulisses de Sarkofrance. Quand la fable devient farce - Commentaires. Karachi : Sarkozy a-t-il voulu étouffer l’affaire ? - Politique. Jean-Louis Debré refuse de transmettre des documents sur Karachi. Attentat de Karachi : un témoin désigne Sarkozy. France : Comment l'affaire Karachi est devenue un «Karachigate» Le story-telling post-remaniement continue. Le Karachigate aussi. » Karachigate: l’étau se resserre autour de Sarkozy Plume de presse. Karachi : le Parlement dit non au juge. Bernard Accoyer, nouveau complice du Karachigate | dixit. Karachi: Accoyer bloque des documents. EXCLUSIF : Le rapporteur de la mission d'enquête sur Karachi s'est fait voler son ordinateur, actualité Société : Le Point.

[Revue de presse] - [72] - [Mercredi 10 novembre 2010] [revue de presse] - [73] - [mercredi 17 novembre 2010] [revue de presse] - [74] - [jeudi 18 novembre 2010]