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Mai 2011

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DCN - Attentat de Karachi, 9 ans après ! - une vidéo Actu et Politique. La Manche Libre - Karachi: DCNS y retournera t-il? Le chantier naval de défense DCNS enverra t-il à nouveau du personnel à Karachi?

La Manche Libre - Karachi: DCNS y retournera t-il?

La question est posée notamment par les syndicats du constructeur de sous-marins. Le syndicat Unsa s'inquiète en effet du possible retour de techniciens des sites DCNS de Cherbourg et d'Indret au Pakistan pour y moderniser trois sous-marins de type Agosta. Ceux là même sur lesquels travaillaient les 23 victimes (onze morts, douze blessés) de l'attentat de Karachi en 2002.Le syndicat du chantier naval estime que "les derniers événements survenus au Pakistan doivent faire réfléchir la direction du chantier sur ce point. " Dans un courrier adressé au président de DCNS, Patrick Boissier mais aussi au ministre de la Défense, le syndicat UNSA souligne "que la sécurité du personnel de DCNS n'est pas pleinement garantie sur place".

"Etant donné les circonstances", ajoute le syndicat, "le contrat avec les autorités pakistanaises doit être renégocié afin de réaliser en France les travaux à effectuer" conclut-il. Le secret-défense porté en cassation sur l'attentat de Karachi. Karachi: le secret défense passera au crible de la Cour de cassation - Société. Karachi: la DGSE détaille la corruption du président du Pakistan. L'affaire Karachi pourrait faire imploser la législation sur le secret défense.

"Karachi. L'Enquête impossible", de Bernard Cazeneuve. Karachi: Trévidic entend Bruguière. KARACHI: grand danger pour Nicolas SARKOZY - mjgd sur LePost.fr (11:07) Vivre pour la vérité (A.CAMUS, La peste), devant ce mal qui ronge notre société, la corruption.

KARACHI: grand danger pour Nicolas SARKOZY - mjgd sur LePost.fr (11:07)

La justice se rapproche dangereusement, mais sûrement, d'une affaire d'état qui coûterait la Présidence à Nicolas SARKOZY. Depuis quelques semaines les juges VAN RUYMBECKE et LE LOIRE se penchent, enfin, sur l'intervention de la SOFRESA et de la SOFREMI dans le cadre du volet financier de l'affaire de l'attentat de Karachi, ayant coûté la vie à 14 personnes dont 11 employés de la DCN le 8 mai 2002, soit à peine quelques jours après l'élection de Jacques CHIRAC à la Présidence. Cette même SOFREMI, dont le commissaire du Gouvernement était Mr Alexandre JEVAKHOFF, était, avec la SOFRESA, en amont du montage financier du contrat de la DCN, toutes deux sous la tutelle de l'État.

Karachi: l'enquête se concentre sur deux expertises. L'enquête sur l'attentat de Karachi, commis en mai 2002 (15 morts dont 11 Français employés par la Direction des constructions navales), se recentre sur deux expertises.

Karachi: l'enquête se concentre sur deux expertises

Elles doivent permettre de consolider, ou au contraire de relativiser, l'hypothèse longtemps privilégiée d'un kamikaze s'étant fait exploser au volant d'un véhicule piégé. La première expertise porte sur les constatations médico-légales effectuées sur place par une équipe d'enquêteurs français, parmi lesquels le docteur Dominique Lecomte, de l'Institut médico-légal de Paris. Des photos de l'examen du corps du poseur de bombe présumé ont bien été versées à la procédure mais le rapport d'autopsie reste apparemment introuvable. C'est pourquoi, le 16 mai prochain, le juge Jean-Louis Bruguière, le premier juge antiterroriste en charge du dossier, sera entendu comme témoin, à la demande de l'avocat des parties civiles, Me Olivier Morice, comme l'a indiqué Le Monde.

Karachi: confrontation réclamée. Les familles des victimes de l'attentat de Karachi ont demandé une confrontation entre l'ex-juge Jean-Louis Bruguière et un médecin légiste à propos d'un différend sur le rapport d'autopsie du poseur de bombe présumé, a indiqué leur avocat Me Olivier Morice, confirmant une information du Monde.

Karachi: confrontation réclamée

L'ancien juge Bruguière, entendu par le juge antiterroriste Marc Trévidic dans l'enquête sur l'attentat de Karachi en 2002, lui a affirmé ne pas avoir obtenu le rapport d'autopsie du poseur de bombe presumé, selon Me Morice, confirmant les éléments de cette audition publiés par Le Monde daté dimanche-lundi. Le juge Bruguière fut le premier magistrat français chargé de l'enquête sur l'attentat de Karachi. Cette autopsie avait été pratiquée par un médecin-légiste français, Dominique Lecomte, qui s'était rendue en urgence sur les lieux de l'attentat qui avait fait quinze morts dont onze salariés français de la Direction des constructions navales (DCN) en mai 2002.

Affaire de Karachi : un nouveau rapport affaiblit l'hypothèse de l'attentat-suicide. Un rapport penche pour la piste militaire dans l'affaire Karachi. L'attentat de Karachi au Pakistan, où ont péri 15 personnes, dont 11 Français, en mai 2002, n'a pas été commis par un kamikaze mais avec une charge d'explosifs de type militaire déclenchée par télécommande, selon un rapport d'experts versé au dossier d'instruction.

Un rapport penche pour la piste militaire dans l'affaire Karachi

Ce rapport d'experts, publié jeudi par le site Mediapart, étaye la piste nouvelle ouverte en 2008 qui envisage un acte commis par des militaires pakistanais sur fond de scandale financier et non plus un attentat islamiste. Cette affaire a donné lieu à l'ouverture de deux autres procédures judiciaires en France visant à déterminer si la vente de sous-marins au Pakistan et un autre marché d'armement en Arabie saoudite ont ou non donné lieu à des manoeuvres de corruption pour financer des partis en France. Est envisagé un financement de la campagne présidentielle en 1995 d'Édouard Balladur, rival de Jacques Chirac qui, une fois élu, a ordonné l'arrêt de certains paiements au Pakistan, possible mobile du crime de Karachi. Karachi : la thèse de l'attentat-suicide ébranlée par un nouveau rapport - Société.

Un nouveau rapport d'expertise adressé au juge antiterroriste Marc Trévidic, chargé de l'enquête sur les causes de l'attentat de Karachi, et révélé jeudi 19 mai par Mediapart, remet en question la thèse de l'attentat-suicide privilégiée jusqu'ici.

Karachi : la thèse de l'attentat-suicide ébranlée par un nouveau rapport - Société

Pas un kamikaze ? Les deux experts auteurs de ce texte, Jean-Jacques Minet et Jean Vareille - tous deux ingénieurs et chefs du pôle explosif du laboratoire de la préfecture de police (PP) de Paris - concluent que "les circonstances de l'explosion et les investigations sur site" permettent de conclure que le système de mise à feu de l'engin explosif était "télécommandé ou radiocommandé". Il ne s'agirait donc pas d'un kamikaze, confirmant ainsi une information du Monde publiée en avril. Pour faire ces analyses, les deux hommes se sont rendus sur le lieu de l'attentat du 12 au 16 mai 2002, soit quatre jours après le drame. 50 à 60 kilos de TNT.