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Juin 2010

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Karachi: la police luxembourgeoise met en cause Nicolas Sarkozy. Karachi : Sarkozy et Balladur directement impliqués. Selon un rapport, une société off-shore créée avec leur accord a permis le financement illégal de campagnes politiques en France. C’est une nouvelle pièce dans le dossier de l’attentat de Karachi. Dans un rapport, dont le contenu est révélé ce mercredi par Mediapart , la police judiciaire luxembourgeoise décortique l’activité d’une société off-shore mise en place par la DCN (Direction des constructions navales) pour distribuer des commissions.

Une off-shore créée « directement » sur accord de Balladur et de Sarkozy. Avec la trace de commissions qui ont financé des « campagnes politiques françaises ». Cela fait deux ans que les pièces s’accumulent dans les armoires des enquêteurs chargés d’analyser le système de financement des contrats d’armement de la DCN dans les années 90. Trois (grosses) affaires sont au cœur de leurs recherches : DCN international (DCN-I) confie à Jean-Marie Boivin le soin de créer deux sociétés off-shore basées au Luxembourg : Heine et Eurolux gestion. Ou encore : Attentat de Karachi : l'enquête qui inquiète Sarkozy. L'étau se resserrerait-il autour de Nicolas Sarkozy dans l'affaire de l'attentat de Karachi ? Toujours est-il qu'un rapport policier luxembourgeois étaie les soupçons de rétrocommissions vers la France via une société off-shore créée avec l'aval, en 1994, du ministre du Budget, Nicolas Sarkozy. Il évoque aussi, sans en apporter la preuve, un financement occulte de la campagne d'Édouard Balladur.

Ce document rédigé en janvier et révélé hier par Médiapart a été réalisé à la demande de juges financiers parisiens qui enquêtent sur un espionnage informatique présumé à la Direction des constructions navales (DCN). Dans le cadre de cette enquête, les juges Françoise Desset et Jean-Christophe Hullin se sont penchés sur une société luxembourgeoise baptisée Heine et créée en 1994 par la branche internationale de DCN avec l'accord de Sarkozy. Campagnes politiques « Sarkozy au cœur de la corruption » Que vous inspire le rapport policier luxembourgeois étayant la piste des rétrocommissions ?

France : Karachi : nouveaux soupçons contre Balladur. La fable de Karachi, suite. C'est mal de tirer sur les ambulances, mais il arrive qu'on ait envie de le faire et même que cela paraisse juste. Vous souvenez-vous de cette conférence de presse de Nicolas Sarkozy à Bruxelles, et de la question que Philippe Alfroy, journaliste à l'AFP, lui posa? «Selon les informations qui ont été rapportées hier à la suite d’une réunion entre les parties civiles dans l’attentat de Karachi et les juges d’instruction, il semblerait que l’origine de l’attentat ne soit pas due à un acte terroriste mais plutôt à des représailles de l’Etat pakistanais après le non versement de commissions.

On parle même de rétro-commissions qui auraient pu alimenter la campagne d’Edouard Balladur en 1995. Est-ce que, en tant que ministre du Budget, vous avez été au courant de tels accords ?» Vous souvenez-vous du rire embarrassé (le contraire d'un fou-rire), du président, et de sa réponse? «[…] franchement. On attend avec curiosité d'apprendre de quelle espèce de rire M. En mauvaise compagnie. L'Express en ligne revient sur les dernières révélations dans l'affaire du Karachigate, pour noter que dans le camp du pouvoir on monte au créneau. Tout le monde est sur les remparts pour défendre Nicolas Sarkozy.

Luc Chatel, porte-parole, déverse des fables bouillantes sur l'assaillant, Axel Poniatowski balance du scandale et des amalgames… Bon, ce sont en fait les deux seules réactions de droite citées par l'Express, il n'y a pas encore foule pour le moment. Prenez garde, ceux du donjon, il vous faudrait du renfort! Le chevalier Lefebvre, par exemple, mais il doit être en train de fourbir ses armes! À gauche, il est question de réactions prudentes au PS, et il est vrai que personne n'y a vraiment tapé sur la table médiatique pour exiger avec force toute la lumière sans délai .Toutefois, on peut imaginer que cette affaire de l'attentat de Karachi se révèle en fin de compte embarrassante pour le PS… [Revue de presse] - [56] - [3 juin 2010] - [reactions] "Le porte-parole du gouvernement, Luc Chatel, a dénoncé ce matin "une fable à épisodes" après la publication d'un rapport policier luxembourgeois étayant des soupçons de rétrocommissions vers la France, lors de la vente de sous-marins au Pakistan en 1994.

"Je ne confirme absolument rien, je rappelle qu'il s'agit d'évènements qui sont situés au début des années 1990, à une époque qui suit la signature des contrats concernant ce marché puisque ces contrats avaient eu lieu au tout début des années 90", a déclaré M. Chatel sur LCI. Il a souligné que "le gouvernement d'Edouard Balladur n'était pas aux responsabilités" à ce moment-là et que "le président de la République a eu l'occasion de s'exprimer sur ce sujet pour dire qu'il s'agissait d'une farce totale".

"Là on est plutôt dans une fable à épisodes", a-t-il dit. "La justice suit son cours, à chaque qu'il y a eu des demandes de la part du juge de lever le secret-défense, le secret-défense a été levé", a aussi déclaré M. Chatel. Karachi : Sarkozy mis en cause par la police luxembourgeoise. Karachigate: "Le PS n'est pas dans l'instrumentalisation mais da. Karachi 02/06/2010 à 19h27 - mis à jour le 03/06/2010 à 09h20 | vues | réactions Affiche du film Les Barbouzes | DR Selon Médiapart, un rapport de la police luxembourgeoise impliquerait Nicolas Sarkozy dans l'attribution de commissions illégales lors de la vente de sous-marins au Pakistan en 1994.

Le non-paiement de commissions à des intermédiaires pakistanais serait la cause de l'attentat de Karachi qui a tué 11 ingénieurs français en mai 2002. Le site d'information affirme également qu'une autre partie de ces commissions aurait financé la campagne présidentielle d'Edouard Balladur en 1995. Nicolas Sarkozy étalt à l'époque son ministre du Budget et directeur de campagne. Ce n'est pas la première fois que des médias impliquent le président dans cette affaire. 1.

On aurait pu s'attendre à une réaction enflammée du PS. "Je ne pense pas qu'on puisse dire ça", déclare-t-il. Mais sur le site officiel du PS, quand on tape "Karachigate" dans leur moteur de recherche, on tombe sur... rien. 2. Karachi: ''une fable à épisode'' (Chate. Le porte-parole du gouvernement, Luc Chatel, a dénoncé ce matin "une fable à épisodes" après la publication d'un rapport policier luxembourgeois étayant des soupçons de rétrocommissions vers la France, lors de la vente de sous-marins au Pakistan en 1994.

"Je ne confirme absolument rien, je rappelle qu'il s'agit d'évènements qui sont situés au début des années 1990, à une époque qui suit la signature des contrats concernant ce marché puisque ces contrats avaient eu lieu au tout début des années 90", a déclaré M. Chatel sur LCI. Il a souligné que "le gouvernement d'Edouard Balladur n'était pas aux responsabilités" à ce moment-là et que "le président de la République a eu l'occasion de s'exprimer sur ce sujet pour dire qu'il s'agissait d'une farce totale".

"Là on est plutôt dans une fable à épisodes", a-t-il dit. "La justice suit son cours, à chaque qu'il y a eu des demandes de la part du juge de lever le secret-défense, le secret-défense a été levé", a aussi déclaré M. Chatel. Harlem Désir et l'affaire Karachi "Le secret défense doit être l. Karachi, le débat. Retenez la date: le mercredi 30 juin à 19 heures, à la Maison des métallos (Paris), Mediapart vous invite à un grand débat autour de l'affaire Karachi.

L'occasion de rencontrer les auteurs de l'enquête, un défenseur des victimes, le député rapporteur de la mission d'information... Autour de Fabrice Arfi et Fabrice Lhomme, journalistes à Mediapart et auteurs du Livre «Le contrat» (éd. Stock), Olivier Morice, avocat de familles des victimes, accompagné d'une partie civile; Bernard Cazeneuve, député (PS) de la Manche et rapporteur de la mission d'information parlementaire; Jacques Terray, vice-président de TransparenceInternationale et Stefan Simons (sous réserve), journaliste allemand («Der Spiegel»).

La soirée commencera par la projection d'une vidéo, élément central de la web enquête que Mediapart s'apprête à mettre en ligne. Y allerMercredi 30 juin à 19h00Maison des métallos,rue Jean-Pierre Timbaud, 75011 Paris.Sur le Net: www.maisondesmetallos.org Le livre. Karachigate : quand l’insulte s’ajoute à l’incompéte.

J’ai évoqué, subtilement, l’érythème fessier dans un précédent billet. Une des façons d’en choper un beau consiste à mariner dans le caca. Or, c’est précisément ce que semble faire certain chef d’état dans les grosses commissions d’une certaine affaire, d’état elle aussi, impliquant des sous-marins, des explosifs, des tués et des pays lointains… Eh oui : toutes les semaines, l’affaire Karachi se rapproche de Nicolas Sarkozy. On se souvient qu’il y a tout juste un mois, j’évoquais les blocages complets rencontrés par le rapporteur de la Commission d’enquête parlementaire à ce sujet.

En ce début de mois de juin, paf, on remet le couvert. C’est du Luxembourg que nous viennent les nouvelles effluves de cette putride histoire. Et cette fois-ci, on sent qu’il sera plus difficile de nier toute implication de Nicolas Sarkozy dans l’affaire puisque son nom est explicitement et directement mentionné dans un rapport de police luxembourgeois. Sacré Chatel. Ces pitres vous gouvernent. Attentat de Karachi: le juge français sollicite l’aide de la jus. Affaire de Karachi: les «fables» de la Sarkozie. Karachigate, et Sarkozy sur France24 : Les bas-fonds de Sarkofra.

Attentat de Karachi : l’homme qui fait peur au pouvoir. Homme clé des circuits financiers occultes, âme damnée de la Direction des constructions navales (DCN), chef d'orchestre de la grande valse des millions distribués en marge des contrats d'armement, Jean-Marie Boivin, 56 ans, est convoqué aujourd'hui par les juges financiers Françoise Desset et Jean-Christophe Hullin en vue d'une éventuelle mise en examen. Mais nul ne sait s'il fera le déplacement. « S'il vient, il ne dira rien, pronostique déjà une source proche du dossier.

Ce n'est pas dans son intérêt. » Patron d'une myriade de sociétés offshore par lesquelles transitait l'argent noir des contrats, les confidences de Jean-Marie Boivin ont de quoi inquiéter au plus haut sommet de l'Etat. La création en 1993 de la principale de ces structures, Heine SA, n'a pu se faire sans l'aval de Nicolas Sarkozy, alors ministre du Budget. L'enquête des juges Desset et Hullin, que le parquet veut limiter à d'éventuels « abus de biens sociaux », permettra-t-elle d'en savoir plus? INFO LEPOINT.FR : ATTENTAT DE KARACHI - François Léotard croit à. Article publié le 8 juin 2010 Au cours de son audition par la mission d'information parlementaire sur l'attentat de Karachi, l'ancien ministre de la Défense François Léotard a privilégié l'hypothèse d'une "vengeance de personnes n'ayant pas touché leur part de commissions" comme mobile de l'attaque terroriste qui tua onze Français en 2002.

M. Léotard avait été convoqué par les députés le 24 novembre 2009. Selon le compte rendu de cette audition - qui n'a pas été publié avec le rapport parlementaire -, il a en revanche écarté le soupçon de "rétrocommissions" en marge de la vente de sous-marins au Pakistan, en 1994. Après son élection en 1995, Jacques Chirac avait ordonné l'arrêt des versements de commissions sur plusieurs marchés d'armement, parce qu'il soupçonnait l'existence d'un circuit de financement occulte au profit de son ancien rival, Édouard Balladur. Léotard minimise son rôle. Heine, boîte à pots-de-vin qui tache. Le côté obscur des relations entre les décideurs politiques français et l’industrie de l’armement se révèle peu à peu au fil de l’instruction sur l’attentat de Karachi. Cette zone d’ombre a désormais un nom : Société de développement international Heine S.A. Et une adresse, 1, place du Théâtre, à Luxembourg.

Selon des documents inédits obtenus par Libération, cette société offshore a pu servir à violer la législation anticorruption, au moins jusqu’en 2005. Tandis qu’elle a entretenu, au moins jusqu’en 2009, des relations directes avec les plus hautes autorités politiques françaises - dont l’actuel président de la République. Un rôle étonnant pour une société implantée dans un paradis fiscal et qualifiée de «shadow company» (entreprise de l’ombre) par l’un de ses principaux administrateurs, Jean-Marie Boivin, homme-orchestre des commissions sur les marchés de l’armement.

Tutelle. Navires de guerre. Attentat de Karachi. «J'accuse Jacques Chirac et Dominique de Vi. Ziad Takieddine, accusé par Dominique de Villepin, d'être un intermédiaire ayant touché des rétrocommissions dans la vente de sous-marins au Pakistan en 1994, riposte aujourd'hui dans le Journal du dimanche en dénonçant le rôle de l'ancien président Jacques Chirac et de ses proches dans les commissions sur les contrats d'armement.

Se sentant sali, Ziad Takieddine contre-attaque. Il accuse les Chiraquiens de double-jeu, assurant qu'ils avaient aussi recours à ses services «J'accuse Jacques Chirac et Dominique de Villepin, à l'Elysée, et leurs hommes, le diplomate Maurice Gourdault-Montagne et, notamment, un homme de l'ombre Alexandre Djouhri, d'avoir par leurs agissements, fait que la France passe aujourd'hui pour un des pays les plus corrompus au monde et ne vende plus rien à l'international», affirme l'homme d'affaires libanais. Tentative de diversion Onze Français travaillant à la construction de ces sous-marins ont été tués dans un attentat à Karachi en mai 2002. En 1996, M. [Revue de presse] - [57] - [8 juin 2010] ATTENTAT DE KARACHI : FRANCOIS LEOTARD CROIT A UNE VENGEANCE LIEE AUX COMMISSIONS.Hervé Gattegno, Le point.

" Au cours de son audition par la mission 'information parlementaire sur l'attentat de Karachi, l'ancien ministre de la Défense François Léotard a privilégié l'hypothèse d'une "vengeance de personnes n'ayant pas touché leur part de commissions" comme mobile de l'attaque terroriste qui tua onze Français en 2002. M. Léotard avait été convoqué par les députés le 24 novembre 2009. Selon le compte rendu de cette audition - qui n'a pas été publié avec le rapport parlementaire -, il a en revanche écarté le soupçon de "rétrocommissions" en marge de la vente de sous-marins au Pakistan, en 1994.

Après son élection en 1995, Jacques Chirac avait ordonné l'arrêt des versements de commissions sur plusieurs marchés d'armement, parce qu'il soupçonnait l'existence d'un circuit de financement occulte au profit de son ancien rival, Édouard Balladur. Léotard minimise son rôle. Karachi : des lettres de menaces impliquent Nicolas Sarkozy - Po. Chaque jour ou presque apporte son lot de révélations sur l'affaire Karachi, renforçant la piste d'une implication de Nicolas Sarkozy dans le versement de rétrocommissions liées à la vente de sous-marins au Pakistan en 1994, et qui aurait permis de financer la campagne d'Edouard Balladur en 1995. Le Parisien/Aujourd'hui en France publie lundi 7 juin des courriers en forme de lettres de menaces adressés par des cadres d'une société luxembourgeoise, Heine, à des responsables politiques de premier plan, dont Jacques Chirac, Michèle Alliot-Marie et Nicolas Sarkozy.

On apprenait la semaine dernière qu'un rapport de la police luxembourgeoise désignait Heine comme la société qui aurait servi à faire transiter les commissions des intermédiaires du contrat Agosta puis à financer la campagne d'Edouard Balladur en 1995 grâce au versement de rétrocommissions. Un silence à 8 millions d'euros En 2004, la société Heine est liquidée. "De très gros montants" (Anne-Sophie Hojlo - Nouvelobs.com) KARACHIGATE : Morin et la Commission du Secret Defense - une vid. France : Attentat Karachi: Perquisition chez Takieddine. Karachi: perquisition à la DCNS.

Karachi, on insiste ! Affaire de Karachi: Nouvelle plainte pour enquêter sur les rétro. Karachigate: Le procureur de Paris protège-t-il Nicolas Sarkozy? L'affaire de l'attentat de Karachi relancée sur plusieurs fronts. Karachi: le parquet protège le pouvoir exécutif, selon l'avocat. JUSTICE : Attentat de Karachi : nouvelle plainte contre le club. Karachi : On insiste (2) [video] - [conference de presse du 16.06.2010, integrale] Karachi: la CCSDN favorable à la levée du secret-défense sur les. Karachi: Avis favorable pour déclassifier des documents secrets-

Untitled. Affaires : la presse étrangère juge sévèrement nos ministres - P. Karachi : l'existence de rétrocommissions illicites est confirmé. Karachi: le juge confirme l'existence de r trocommissions illici. [Revue de presse] - [60] - [vendredi 18 juin 2010] DCN : Jean-Marie Boivin mis en examen pour espionnage et corrupt. Attentat de Karachi : le ministre français de la Défense déclass.