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Juin 2009

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Jacques Chirac a bloqué les derniers versements de commissions a. Une déclaration d’un avocat et c’est l’emballement médiatique. Amateur de dossiers explosifs (l’affaire Borrel notamment, bientôt l’affaire Boulin) Me Olivier Morice ne s’est pas privé de provoquer un léger séisme vendredi 19 juin. L’avocat des victimes françaises de l’attentat de Karachi (Pakistan) en 2002 a tout bonnement dévoilé que la bombe qui a tué 11 ingénieurs français de la DCN ne serait qu’une résultante d’une bisbille politico-financière franco-française. « La piste cruellement la plus crédible, c’est que l’attentat a eu lieu car la France n’avait pas versé les commissions sur lesquelles elle s’était engagée, dans le cadre de la vente de sous-marins ».

Et, un peu plus précis, d’expliquer. « Ces commissions ont été arrêtées à l’arrivée de Jacques Chirac à la présidence de la République en 1995 afin que des rétrocommissions ne soient pas versées », sous-entendu aux équipes Balladur. La guerre des intermédiaires Des commissions et un grand nettoyage © Kerleroux. Karachi: Coup de pression de Sarko contre les juges : République. Les retrocom' du président. Cette fois, la presse va devoir s'arrêter de papillonner d'une polémique à l'autre pour s'ancrer dans l'investigation et demander des comptes ! Fin connaisseur du genre humain, le comité de rédaction limité à moi-même a décidé de reconstituer les grandes lignes de ce feuilleton plus foutraque que "Lost", plus cynique que "West Wing" et qui devrait faire un tabac dans vos quotidiens cet été : "The Karachi Connection". Les noms des protagonistes ont été changés pour préserver l'anonymat des magouilleurs. 1er ACTE : JUIN 1994, MATIGNON.

Le petit salon, INT.CLAIR-OBSCUR(Nos protagonistes sont confiants.) TECKEL TEIGNEUX, ministre du budget. " - Monsieur Balablanc, j’mise sur vous. EDDY BALABLANC" - Certes, je l'entends ainsi. TECKEL TEIGNEUX (visant la promotion interne à la prochaine table ronde des affranchis) " - J'ai pensé à tout M'sieur Balablanc.

TECKEL TEIGNEUX" - M'sieur Balablanc, vous êtes le meilleur, le plus beau, un vrai wise-guy. 2e ACTE : JUIN 1995, ÉLYSÉE. Vers l'inéluctable étouffement ? - Plume de presse. Les mobiles cachés de l’attentat de Karachi – 4 Décembre 2008 | Ni la blessure ni l’énigme ne sont refermées. Six ans et demi ont passé et dans les longs rayonnages de la galerie Saint-Eloi, siège de la section antiterroriste du tribunal de Paris, l’attentat de Karachi, qui coûta la vie à 11 Français, reste classé parmi les Un dossier en suspens, rempli d’incertitudes, d’ellipses et de contradictions ; un casse-tête judiciaire et diplomatique dont les pièces, disséminées dans le labyrinthe pakistanais, n’ont jamais pu être rassemblées. C’était le 8 mai 2002, à 7 h 45.

La voiture du kamikaze, en explosant, fit voler en éclats le bus des employés de la Direction des constructions navales (DCN) : des ouvriers et techniciens venus de Cherbourg pour participer à la construction d’un sous-marin. Le crime n’a pas été revendiqué. Quatre suspects ont été interpellés par la police locale ; un commanditaire-lié à Al-Qaeda-a été désigné, sans être retrouvé. Mais une nouvelle piste a surgi à Paris. Car ce contrat-là aussi a gardé sa part d’ombre. L’attentat de Karachi en 2002 : une petite bombe à retardement s. S’il n’y avait eu des victimes – 12 morts et 14 blessés – l’affaire pourrait prêter à rire : un sacré boomerang que cette histoire de commissions non versées qui vient de péter en pleine poire de Nicolas Sarkozy… Il aura beau s’agiter dans tous les sens et déclarer que ces allégations sont «grotesques et ridicule», affirmer qu’elles relèvent de la «fable» Lien attentat Karachi/financement Balladur : pour Sarkozy, c'est une «fable», en ajoutant, selon le Monde Sarkozy dément fermement que l'attentat de Karachi soit "une affaire d'Etat" : "On est dans un monde où la notion de secret d'Etat n'existe plus"… Comme si nous allions le croire !

Il n’y a sans doute jamais eu plus de «secrets d’Etat» et de mensonges éhontés – cf. la «constante de Sarkozy» © mémé Kamizole - que depuis le règne de Nicolas 1er… Tout cela sur fond de financement occulte de la campagne électorale de Balladur. Et une casserole de plus ! … On pourrait appeler ça le «petit théâtre de Sarko» ! 20 minutes Le Figaro Le Monde. Attentat de Karachi : une affaire d'Etats déjà enterrée ? Retour sur le passé : le 8 mai 2002, onze Français de la Direction des chantiers navals (DNC) de Cherbourg meurent dans un attentat à Karachi. Ces attentats arrivant quelques mois à peine après ceux du 11 Septembre perpétrés aux Etats-Unis, Al-Qaida semblait tout droit désignée comme responsable. Plus de 7 ans après, Marc Trévidic et Yves Jannier, les deux juges d'instruction chargés du dossier, ont déclaré avoir abandonner la piste d'Al-Qaida, pour se tourner vers une sombre histoire politico-financière.

Une note nommée "Nautilus" vient tout remettre en question. Que trouve-t-on notamment dans cette fameuse "Nautilus" ? Que "l'attentat de Karachi a été réalisé grâce à des complicités au sein de l'armée (pakistanaise) et au sein des bureaux de soutien aux guérillas islamistes" et que "les personnalités ayant instrumentalisé le groupe islamiste qui a mené à bien l'action poursuivaient un but financier. Il s'agissait d'obtenir le versement de commissions non honorées" (source Le Monde).

Brouillard sur Karachi. C'est un exercice difficile pour un blogueur, le cul sur sa chaise devant le clavier de son ordinateur, de parler de l'attentat de Karachi de 2002.C'est un exercice d'autant plus compliqué que Juan de Sarkofrance a déjà dit l'essentiel sur son blog.Le peu qui est connu de cette ténébreuse affaire est entre les mains de professionnels de l'investigation, qui démêlent tant bien que mal les fils qui mènent à ces onze morts français. Ce qui est intéressant est de confronter les conclusions des différents enquêteurs. Un exercice de "copié-collé" en quelque sorte qui a pour but d'offrir un résumé, une fiche de lecture non-exhaustive de ce qui ressemble à l'un des principaux scandales de la République. Les faits (sur Libération). Le mobile (Olivier Bonnet sur Plume de presse) Eléments troublants Un détail méconnu issu de l’enquête sur la mort de Daniel Pearl ramène lui aussi aux conclusions de la mystérieuse note Nautilus.

Le Casting Allumons les anti-brouillards. Karachi : une vente d'armes hors normes : République bananière. Affaire d'Etat : de l'attentat de Karachi à Nicolas Sarkozy | Et. Attentat de Karachi : cet étrange monsieur Théve. L'affaire de l'attentat de Karachi du 8 mai 2002, au cours duquel 14 personnes dont 11 salariés de DCN ont été tués, a resurgi dans l'actualité. Selon l'avocat des familles des victimes, la cause de cet attentat n'est pas à rechercher du côté d'Al Qaida, mais plutôt dans le non-versement par la France de commissions à certains Pakistanais. Une opération du Service Action de la DGSE contre des militaires pakistanais est également évoquée. "Ubuesque ! " estime-t-on dans les milieux du renseignement sur ce dernier scénario. Nous pouvons en revanche apporter quelques précisions sur l'homme qui est à l'origine de cette hypothèse, reprise dans le dossier judicaire.

Il s'agit de Claude Thévenet, 59 ans, directeur de plusieurs sociétés d'"intelligence économique", comme il est poli de dire. Dans ces activités professionnelles, Claude Thévenet a eu des sérieux ennuis avec la justice. C'est ce même Gérard-Philippe Menayas qui lui aurait commandé le rapport baptisé Nautilus. Attentat de Karachi : de la fable au scandale d'Etat. Array. Array. Attentat de Karachi : de la fable au scandale d'Etat - LMOUS L'attentat de Karachi de mai 2002 a couté la vie à 14 employés de la Direction des constructions navales (DCN) : 11 français et 3 pakistanais.

Conséquence de l'arrêt du versement de pots-de-vin de la France au Pakistan ? C'est la piste privilégiée par les juges antiterroristes qui mènent l'enquête. Sarkozy n'en mène pas large... "Grotesque", "ridicule", "respectons la douleur des victimes. Acte I : un bien étrange contrat... En 1994, l'Etat français vend trois sous-marins Agosta au Pakistan... à perte ! Acte II : l'enquête pakistanaise Début 2002, selon Libération, la Cour des comptes pakistanaise boucle son enquête sur des pactes de corruption passés entre des officiers pakistanais et des responsables français pour obtenir la signature du contrat. Acte III : Attentat de Karachi Acte IV : L'enquête française En juin 2009, l'affaire éclate.

Une analyse de Seb Musset... (Article publié sur le site "Les mots ont un sens") Ce que l'on sait de l'affaire Karachi. Philippe Alfroi: un journaliste, seulement un journaliste et cel. Concernant l'affaire des rétrocommissions de Karachi, voici enfin la video Youtube. Je n'arrive plus à diffuser de vidéos Dailymotion depuis quelques jours et il me tardait de la diffuser malgré tout. Cette vidéo est passionnante puisqu'elle met en exergue les déviances présidentielles. Celles que nous connaissons depuis quelques années. Philippe Alfroi semble visiblement impressionné par la question qu'il va poser.

Non seulement, cela fait plaisir de voir un journaliste poser une question...de journaliste, mais l'embarras énervé de Sarkozy sur ce sujet est patent. 19 juin > [video] Réponse embarrassée de Sarkozy. Attentat de Karachi: Charles Millon reconnaît avoir bloqué le «v. Du nouveau dans l’affaire de l’attentat de Karachi contre les intérêts français au Pakistan en 2002? En tout cas, les déclarations de l’ancien ministre de la Défense de Jacques Chirac, Charles Millon, sur le site Internet de «Paris Match» semblent étayer la thèse de l’affaire d’Etat, défendue désormais par les juges en charge du dossier. Dans ce cas, l’attentat qui avait coûté la vie à 14 personnes en 2002 pourrait avoir été commis en représailles à l’arrêt du versement des commissions par la France. Interrogé sur le versement de ces commissions destinées à des intermédiaires pour la vente de trois sous-marins de la DCN au Pakistan, Charles Millon a reconnu avoir bloqué «le versement des commissions pouvant donner lieu à des rétrocommissions».

Ces sommes sont en fait un pourcentage des commissions versées, qui sont reversées à des protagonistes de l’affaire… En l’occurrence, la campagne électorale d’Edouard Balladur de 1995 est citée. O.R. (avec agence) Révélations sur l’attentat de Karachi. Dès le début de l’affaire, les cadres de la DCN (Direction des constructions navales) se montrent convaincus que l’attentat du 8 mai 2002 contre son personnel à Karachi résulte directement de ses engagements contractuels dans ce pays. C’est-à-dire un contrat signé le 21 septembre 1994 pour livrer et fabriquer trois sous-marins au Pakistan.

Enjeu : 950 millions de dollars. C’est l’une des nombreuses révélations du dossier d’instruction dont Libération a pu prendre connaissance, et qui éclairent l’hypothèse d’un attentat lié à des différends autour de commissions versées en marge de la vente des sous-marins. L’avertissement de la DCN Ainsi, le 2 septembre 2002, Philippe Japiot, patron de la branche internationale du groupe, écrit au juge Jean-Louis Bruguière pour que sa société se constitue partie civile. Mieux, pour que le magistrat instructeur suive ce raisonnement, Philippe Japiot lui transmet un exemplaire - certes tronqué - du fameux contrat du 21 septembre 1994.

L’enquête relancée. "Karachigate" : vers une affaire d'Etat ? : LesInrocks.com. Le « Karachigate ». Voilà le nom que l’on commence à donner à l’affaire politico-financière qui pourrait être en lien avec l’attentat de Karachi du 8 mai 2002 – attentat qui coûta la vie à quatorze personnes, dont onze français. Sept ans plus tard, l’affaire pourrait, suite à de récentes révélations, faire des ravages jusqu’au plus haut de l’Etat – et toucher directement Nicolas Sarkozy, alors ministre du Budget d’Edouard Balladur, soupçonné dans certaines versions. Récemment interrogé sur le sujet lors d’une conférence de presse du Conseil européen à Bruxelles, voici ce qu’a répondu Nicolas Sarkozy. KARACHI 2002 : ONZE FRANÇAIS TUES DANS UN ATTENTATRappel des faits : le 8 mai 2002, à 7h 45 (soit trois jours seulement après la réélection de Jacques Chirac), une bombe explose à Karachi, au Pakistan, sur le passage d’un bus transportant des employés de la Direction des constructions navales français (DCN).

ET SARKOZY DANS TOUT CA ? Karachi, c'est chaud - Le blog de Rébus. Jeudi 25 juin 4 25 /06 /Juin 14:25 Le Karachigate, c'est le nom de cette affaire dans laquelle la sarkozie est bien empêtrée. Une affaire classique pour notre ripoublique où se mélangent clans politiques, pognons pas clairs, barbouzeries sur fond de langue de plomb côté politique et de d'évocations prudentes coé presse.

À la base du karachigate, le système Balladur, à l'époque ou le Grand Mammamouchi se voyait Président. Au coeur de ce système on trouve celui que certains, qui ne l'aimaient, guère surnommaient alors Petite Crotte. Depuis, Petite Crotte est devenu président, et son implication passée en balladurie lui revient en pleine poire. Bizarrement, si on interroge le petit Nicolas sur ces années Balladur, il sera très heureux d'évoquer son action dans l'affaire de la maternelle de Neuilly, affaire qui lui permit de se rendre populaire, mais il semble beaucoup moins à l'aise avec cette affaire de Karachi.

Répêtez après moi, il ne s'est rien passé à Karachi. La campagne d'Edouard Balladur au coeur de l'enquête sur Karachi. Par Thierry Lévêque PARIS (Reuters) - Le financement en 1995 de la campagne présidentielle d'Edouard Balladur, que soutenait alors Nicolas Sarkozy, est au coeur de l'enquête sur l'attentat anti-français de Karachi de 2002, confirme un document. Ce courrier de 2007 du parquet de Paris, que Reuters s'est procuré, mentionne la société Heine, créée au Luxembourg en 1994 par la Direction des constructions navales (DCN). Elle était destinée au versement de commissions officiellement légales à l'époque pour faciliter la conclusion des marchés d'armement.

Citant des éléments de l'enquête, le courrier du procureur envisage un lien avec le financement de la campagne électorale du Premier ministre de l'époque, Edouard Balladur, campagne que dirigeait Nicolas Sarkozy, ministre du Budget de 1993 à 1995. [audio] Interview d'Olivier Morice, avocat des familles. 25 juin > [video] Millon et retrocommissions.... [document] Cloture du compte de campagne Balladur 1995. L’attentat de Karachi : une "fable", vraiment ? Des révélations en cascade paraissent rendre moins "grotesque", dixit Sarkozy, la piste politico-financière. Vers une commission parlementaire d'enquête ? Le blog de notre correspondant à Paris Correspondant permanent à Paris M , s’était agacé Nicolas Sarkozy la semaine dernière.

En réponse à des questions de la presse sur le rebondissement intervenu dans l’enquête sur l’attentat à la voiture piégée qui, à Karachi en 2002, coûta la vie à onze employés des constructions navales de la Défense, qui étaient en train d’assembler là trois sous-marins vendus en 1994 par la France au Pakistan (voir LLB du 20/6). Selon les familles des victimes de cet attentat ainsi que leurs avocats, la piste terroriste islamiste d’al Qaeda ne serait plus privilégiée par les enquêteurs mais une autre piste, explosive. Ainsi, un exemplaire du contrat de vente transmis dès 2002 à Jean-Louis Bruguière, alors juge antiterroriste (étiqueté UMP), confirmerait le paiement de commissions dans le cadre de cette vente.

Exclusif : la note oubliée sur l'attentat de Karachi Internation. Karachigate: On nous prend pour des cons - Intox2007.info. Karachi: les révélations de l'homme qui a bloqué les commissions. Le document Nautilus - Intox2007.info. Hashtable. Attentat de Karachi & affaire d’Etat : le feuilleton de l’été 20. Karachi, ce que Nicolas Sarkozy savait. Karachigate, exigeons la vérité - Le blog de Rébus. Le mystère Marin du panier de crabes. Attentat de Karachi : Villepin n'a pas eu d'"alertes spécifiques. Karachi, et maintenant? Dépêches. [audio] Interview d'Edouard Balladur sur le financement de sa ca. DCN : Jean-Marie Boivin mis en examen pour espionnage et corrupt. L'affaire du Karachigate suite ... - djeje94 sur LePost.fr.