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Juillet 2009

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[video] TF1 coupe la réaction de Sarkozy et de Magali Drouet. Ne pas oublier Karachi. L'attentat de Karachi en 2002, 11 victimes françaises, est du à. Les commissions, et leurs destinataires, versées lors de la vente en 1994 de trois sous-marins au Pakistan n’ont pas intéressé que la justice, les médias et les barbouzes françaises. Selon les informations glanées par Bakchich, le ministère de la Défense pakistanais s’est, dès 1997, fendu d’une drôle de démarche. Saisir le ministère de la Justice française pour connaître les ayant-droit des commissions de ce marché de 826 millions d’euros. Une étrange demande d’entraide judiciaire puisqu’à l’époque aucune enquête de la justice pakistanaise ne portait sur ledit contrat. Mieux, la demande, émanant de généraux, avait « tout d’une demande de renseignement et ne ressemblait absolument pas à une commission rogatoire internationale », décrit un magistrat en poste à l’époque des faits.

D’où un rejet en bonne et dûe forme de la demande. Une péripétie qui éclaire les dissensions au sein de l’Etat et de l’armée pakistanaise autour de ce contrat avec la DCN. Les gars de la Marine © Pakman. INFO LEPOINT.FR - ATTENTAT DE KARACHI : Les juges demandent la l. [video] Interview d'Olivier Morice sur BFM TV. De la "fable" de l'attentat de Karachi, par Eva Joly - LeMonde.f. L'ancienne juge d'instruction explique comment la suppression du juge d'instruction et l'extension du secret-défense, deux textes défendus par le gouvernement, pourraient entraver toute enquête dans cette affaire.

Une bombe explosait à Karachi, le 8 mai 2002, tuant quatorze personnes, dont onze Français. Toutes travaillaient, pour la direction des constructions navales, à l'exécution d'un contrat de près d'un milliard de dollars signé en 1994 avec la France pour la fourniture au Pakistan de trois sous-marins. Dès l'origine, les autorités françaises ont suspecté Al-Qaida d'être responsable de cet acte de terrorisme. Or, les juges d'instruction auraient émis récemment, devant les familles des victimes, une autre hypothèse : cet attentat aurait été un avertissement sanglant de certains éléments de l'armée pakistanaise, après l'interruption du versement de commissions à des intermédiaires. Nous nous garderons bien de prétendre démêler le vrai du faux dans cette affaire. Affaire Karachi: Edouard Balladur est directement impliqué | Med.

Le roman d’espionnage qui éclabousse Sarkozy. Attentat de Karachi : la piste Edouard Balladur - Monde - Nouvel. Attentat de Karachi : le rôle d'Edouard Balladur en question - L. Attentat de Karachi: nous a-t-on caché une affaire d'État? - bir. Karachigate. Parole contre parole dans l'affaire du Karachigate ? Karachigate et moi, et vous, et eux... et lui. Petit à petit, des éléments sur "l'affaire Karachi" (ou "Karachigate", puisque ainsi qu'il faut l'écrire désormais) sortent. Sortent, oui, mais sortent où ? Pas au grand jour médiatique et télévisuel, bien sûr. La presse dite écrite se contente de commenter l'enquête menée par les magistrats et par Mediapart.

Le dernier papier du Monde, par exemple, est truffé de ces "Selon le site Internet Mediapart" et "Mediapart appuie sa révélation sur le témoignage d'un ancien agent de la Direction de la surveillance du territoire (DST), Claude Thévenet" sans qu'il y ait le moindre mot qui puisse mouiller l'ancien journal de référence. On informe sur ceux qui font du journalisme, mais pas plus. Ou encore, il faut parler pour soi, comme l'a fait Eva Joly dans une très bonne Opinion pour plaider contre la suppression des juges d'instruction et une redéfinition du "secret défense" qui pourraient, ensemble, rendre les Karachigates de l'avenir totalement opaque à la justice, à la presse, aux citoyens. France-Pakistan : Affaires sous marines. par COMAGUER. Tibéhirine est, de fait, le contrefeux de Karachi: Y'a t'il eu c.

Le Figaro est un journal d'opinion proche du président, très proche du président. Trop proche du président ? Aujourd'hui, Le Figaro relance l'affaire des moines de Tibéhirine assassinés en 1996 en Algérie. le post est diffusé à 10h38 sur la version électronique du quotidien. Un général Français serait donc allé voir un juge pour lui signifier que l'armée Algérienne serait peut être à l'origine de cet assassinat. Nicolas Sarkozy s'exprime sur ce même sujet à 16h10, le ton respire l'empathie et le dossier bien huilé. Cette "révélation" a très certainement été orchestrée En effet dès 2002, de nombreux articles impliquant l'armée Algérienne dans l'affaire des moines de Tibéhirine ont été diffusés sur le web, sur Libération.

Une fois ces informations replacées dans leur contexte, l'exclusivité du Figaro sent davantage le réchauffé. Alors pourquoi cette information vient maintenant ? A affaire d'état: demi affaire d'état Toutes ces hypothèses ne sont l'oeuvre que de mon imagination. Affaire Karachi: «Je suis pris dans une affaire d'Etat», nous dé. Tibérihine, Karachi, et les espions. Attentat de Karachi : la levée du secret-défense ? - Société - N. Levée secret-défense : Tibehirine oui, Karach. Nicolas Sarkozy "veut la vérité" sur l'affaire de la mort des moines de Tibehirine, en Algérie, et a assuré qu'il lèverait le secret-défense sur "tout document [demandé par] la justice" à ce sujet.

En revanche, il ne s'est pas prononcé sur la levée du secret-défense, également demandée par la Justice, dans l'affaire de l'attentat de Karachi. L'enquête sur la mort de sept moines français de Tibehirine, enlevés en mars 1996 en Algérie, a été relancée cette semaine par le témoignage d'un ancien attaché militaire de l'ambassade de France à Alger, qui affirme que les religieux ont été tués par une "bavure" de l'armée algérienne, et non pas par le GIA (groupe islamiste armé), comme l'avançait la version officielle.

Toujours selon ce témoignage, les autorités françaises de l'époque – le premier ministre de Jacques Chirac était alors Alain Juppé –, informées de cette version "officieuse", se seraient tues volontairement. Abonnez-vous ! Tibehirine, Karachi, la vérité et le dos des islamistes. "Je veux la vérité", a déclaré mardi Nicolas Sarkozy devant la presse, en se disant "vraiment déterminé à ce que la lumière soit faite". Selon lui, "il n'y a rien à cacher". "Naturellement, je lèverai le secret défense sur tout document que nous demandera la justice", a promis le président de la République. "Il n'y a pas d'autre façon de faire la vérité", a-t-il souligné. "Les relations entre les grands pays, elles s'établissent sur la vérité, pas sur le mensonge", a considéré le chef de l'Etat. Sarkozy faisait allusion à l'affaire du massacre des moines de Tibehirine au mois de mars 1996, en Algérie.

Sept morts attribués aux islamistes et que les révélations d'un ancien militaire attribue à l'armée algérienne. Voilà qui n'est pas sans rappeler l'affaire du massacre des employés de la DCN à Karachi au mois de mai 2002, au Pakistan. C'est aussi ce que remarque Jean-Marcel Bouguereau sur son blog. Tibéhirine, Karachi, Taïwan... La levée du secret-défense est sé. Array. Array. Tibéhirine, Karachi, Taïwan... La levée du secret-défense est sélective ! - LMOUS Haro sur le secret-défense. En France, la levée du secret-défense est soumise à la Commission consultative du secret de la défense nationale (CCSDN), une autorité administrative indépendante que l'Etat doit saisir pour avis consultatif. "La vérité", si je mens... Suite à la révélation (un peu réchauffée) du témoignage pour le moins gênant d'un général de l'armée française, qui estime que l'assassinat des moines de Tibéhirine est du à une bavure de l'armée algérienne, l'affaire prend une tournure politique.

Quid de l'attentat de Karachi ou des frégates de Taïwan ? A croire que, dorénavant, le secret-défense ne doit plus se dresser devant la justice ? "On croit que les rêves, c'est fait pour se réaliser. Spéciale dédicace... (Article publié sur le site "Les mots ont un sens") Karachi, Tibéhirine : Deux affaires troubles ou Allah a bon dos. Moines tués : pas de secret-défense, assure Sarkozy - Monde - No. Tibéhirine - Karachi : le retour de la guerre Chirac - Sarkozy ? Sur le site de Courrier International, un article du quotidien algérien Liberté titré "Et si c'était Chirac qui était visé ?

" (*) me fait rebondir sur ces présomptions. Résumant l'affaire : "un général français, en poste à Alger à l’époque des faits, témoignant que les moines de Tibéhirine auraient été tués par des tirs de militaires algériens, puis Nicolas Sarkozy demandant la levée du secret-défense, cela signifie tout simplement qu’Alger ou Paris, peut-être même Alger et Paris d’un commun accord, auraient alors étouffé l’affaire", le journaliste Saïd Chekri affirme ensuite : "il est vrai que pour Morin lui-même comme pour l’actuel patron de l’Elysée, il n’y a pas de quoi perdre le sommeil. Cela n’est pas le cas pour les responsables français qui ont eu, sous Chirac, à officier dans le domaine de la diplomatie et de la sécurité. Nombre de ceux-là, Chirac en premier, seraient plus ou moins éclaboussés si la levée du secret-défense confirmait le témoignage du général français".

Karachi et Tibéhirine : deux aff. ( 12 juillet, 2009 ) Dans la nuit du 26 au 27 mars 1996, sept moines français du monastère cistercien de Tibéhirine, situé à une centaine de kilomètres au sud d’Alger, sont enlevés par une vingtaine d’hommes armés. Le Groupe Islamique Armé annonce deux mois plus tard leur exécution. Or le 25 juin 2009, le général François Buchwalter, attaché militaire à l’ambassade de France en Algérie en 1996, a déclaré à un juge que, selon ses informations, les moines de Tibéhirine n’avaient pas été tués par des islamistes mais par l’armée algérienne. Le 8 mai 2002, juste après la réélection de Jacques Chirac, quatorze personne dont onze français employés par la Direction des constructions navales (DCN) trouvent la mort à Karachi suite à un attentat. La nébuleuse Al-Qaïda est immédiatement accusée du crime.

Le drame de Tibéhirine ressort opportunément des oubliettes de l’histoire juste après la révélation du Karachigate. Dans les deux cas de figure, les crimes ont été imputés aux islamistes. Le point sur l’affaire de Karachi. Depuis les révélations faites il y a plus de deux semaines sur les dessous de l’attentat de Karachi, dans lequel 11 employés avaient trouvé la mort et 14 autres avaient été blessés par l’explosion d’une voiture piégée au passage de leur bus, Zone Militaire propose de faire le point.

Un ancien de la DST controversé L’enquête concernant l’attentat de Karachi a pris un tour nouveau après la saisie du rapport Nautilus, lors d’une perquisition dans des locaux de DCNS (ex DCN). Transmis en octobre 2008 par le Parquet de Paris au juge Trevidic, en charge de l’affaire, le document indique que le motif de l’attentat est à chercher dans le non versement de commissions à des militaires pakistanais dans le cadre d’un contrat de vente de trois sous-marins Agosta 90-B vendus par la France en septembre 1994. En bref, il s’agirait d’une vengeance de responsables militaires pakistanais à l’égard de la France.

L’identité de l’auteur du rapport Nautilus a été révélée par le site Mediapart. Karachi : l'ex-juge Bruguière doit-il rendre des comptes ? - Ago. En exclusivité pour Mediapart, l’un des hommes-clés de « l’affaire de Karachi » s’exprime pour la première fois. Ancien agent de la DST, Claude Thévenet est l’auteur des fameux rapports « Nautilus » révélant que l’attentat de mai 2002 contre des employés de la Direction des constructions navales (DCN) à Karachi, qui coûta la vie à onze Français, pourrait avoir eu pour cause le blocage de commissions, sur fond de guerre Chirac/Balladur. Quel a été votre parcours au sein des services de renseignements français ? Mon premier contact avec ce monde date de mon service national, comme officier de renseignement de l’Escadron de chasse 2/30 Normandie-Niemen.

Je souhaitais intégrer l’armée de l’air comme pilote. A la suite d’un accident, j’ai été jugé inapte « chasse » et j’ai opté pour une carrière à la Direction de la surveillance du territoire, où un ancien camarade de faculté m’avait dit pouvoir me coopter. Pourquoi avez-vous quitté la DST en 1991 ? Pour des raisons personnelles. Non. Comme Marc Trévidic, les juges d'instruction refusent de mourir. Par Thierry Lévêque PARIS (Reuters) - Le magistrat Marc Trévidic a marqué le refus des juges d'instruction français d'accepter la suppression de leur fonction en relançant des affaires comme celles des moines de Tibéhirine ou de l'attentat de Karachi. Ce magistrat de 42 ans a ouvert dans ces dossiers des pistes embarrassantes pour l'Etat français, soupçonné d'avoir connu des suspects ou les scénarios d'attentats, sans les rendre publics pour protéger ses liens diplomatiques ou ses intérêts.

Nicolas Sarkozy a annoncé en janvier dernier la suppression de la fonction de juge d'instruction, magistrat indépendant par son statut. Il doit être remplacé pour toutes les enquêtes par les procureurs, nommés sur décret du président de la République. Le juge Marc Trévidic s'oppose publiquement à cette réforme. "Ces affaires montrent que le juge d'instruction est indispensable. Secret défense, interdit de savoir.

Pour progresser, l’affaire de Karachi n’échappera pas à la règle qui prévaut pour tout dossier sensible : obtenir le feu vert pour la déclassification de documents secret défense. Ce sésame ne peut être levé que par le gouvernement sur avis de la Commission consultative du secret de la défense nationale (CCSDN), une structure indépendante - du moins staturairement - composée de trois magistrats (Conseil d’Etat, Cour de cassation, Cour des comptes) et de deux parlementaires (un député, un sénateur). Ces cinq membres peuvent être saisis par un ministre à la demande d’un magistrat. Querelle politique. Depuis sa création en 1998, la CCSDN a rendu 134 avis (54 favorables à une déclassification, 48 pour une déclassification partielle, 31 défavorables, un refus d’avis) suivis dans la quasi-totalité des cas par les ministres concernés.

De Djibouti à Taiwan. Fabrice TASSEL. Karachi, Taiwan: le dessous des dessous de table. Commissions, retrocommissions, corruption… Les affaires tournant autour de l’industrie d’armement n’en finissent pas de polluer l’atmosphère. Revue de détails. Pourquoi des commissions? Pour l’essentiel, elles servent à arroser des «décideurs» en vue de décrocher des contrats. S’agissant de marchés d’armement, le plus haut niveau politique est visé.

En Arabie Saoudite, le contrat Mouette, portant sur la rénovation de la flotte de guerre saoudienne, entre 1994 et 2004, a permis d’arroser la famille royale : 240 millions de francs pour le prince Sultan, 150 millions pour le prince Fahd, 210 millions pour les autres princes. Les marchands de canons bichonnent également les petites mains. Des commissions nécessaires ? Les pragmatiques estimeront que la corruption est un passage obligé pour l’obtention de grands contrats. Avec le Moyen-Orient, pas de problème : les pétromonarques sont bon payeurs, les contrats saoudiens couvrent amplement les frais annexes. Des rétrocommissions? Le secret défense sera levé pour Tibéhirine et Karachi, actualit. Le coupe-feu de Sarkozy.

L'accusation de «mensonge» formulée par le président français, Nicolas Sarkozy, à l'encontre des autorités algériennes après les «révélations» du général à la retraite François Buchwalter sur l'assassinat des moines de Tibehirine en 1996, a pour résultat de replonger les relations algéro-françaises dans une nouvelle spirale de turbulence, avec très certainement à la clef l'annulation de la visite d'Etat que le président Bouteflika doit effectuer à Paris dans les mois prochains en principe. Le président français ne pouvait ignorer qu'en reprenant à son compte les «révélations» du général à la retraite, il allait susciter la tempête en Algérie, et cela à un moment où les autorités de ce pays ont émis le signal qu'elles mettaient en sourdine la guerre mémorielle qu'elles ont menée pour obtenir de la France la repentance sur les crimes dont elle s'est rendue coupable durant la période coloniale. Karachi, le mail du lendemain – 10 Juillet 2009 | VERITE-ATTENTA.

[video] Karachi : ventes d'armes et secret d'Etat... Karachigate: ce que l'on sait, et ce que l'on aimerait savoir. L'effet Karachigate à l'épreuve des vacances [update] Karachigate : l'élection présidentielle de 1995 ne connaît aucun. [réaction] Qu'est ce que la CCSDN ?