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Un an après

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On a retrouv? le corium de Fukushima - AgoraVox le m?dia citoyen. On le sait, depuis le premier jour de la catastrophe de Fukushima, les trois cœurs des réacteurs ont fondu, formant le corium, agglomérat de combustible nucléaire, et d’éléments d’assemblage. On sait qu’il atteint de très hautes températures ( 3000 °C) et peut faire fondre la plupart des matériaux. lien On sait aussi que les cuves des réacteurs sont devenues des passoires, et que le corium s’est déjà attaqué à l’épaisse dalle de béton de 8 mètres d’épaisseur. Logiquement cela ne devrait pas empêcher sa progression en direction du sol, une fois passé l’obstacle du béton, et le faire rencontrer à un moment à un autre, la nappe phréatique. A ce moment, il y aura une explosion chimique avec un important dégagement de matières radioactives dans l’atmosphère.

Dans cette vidéo, on peut découvrir le processus de la formation du corium. Selon Hiroaki Koide de l’Université de Kyoto « la situation de la centrale de Fukushima est désespérée (…) il y a à peu près cent tonnes de corium. Rama C. Réponse : Panne de courant à la centrale de Fukushima. L'opérateur de la centrale nucléaire japonaise Fukushima Daiichi a partiellement rétabli mardi après-midi le système de refroidissement des piscines de stockage du combustible, arrêté depuis une panne de courant la veille au soir.

L'électricité a été coupée lundi pour une raison inconnue à 18 h 57, heure locale, a expliqué mardi matin à l'AFP un porte-parole de Tokyo Electric Power (Tepco), Kenichi Tanabe. Il a ajouté que cette panne de courant avait entraîné l'arrêt des systèmes de refroidissement des piscines de stockage du combustible usagé des réacteurs 1, 3 et 4. "Aucun changement important des niveaux de radioactivité" Le rétablissement partiel du courant a ensuite permis de relancer le système de refroidissement de la piscine du réacteur 1 à 14 h 20, a précisé Tepco un peu plus tard dans un communiqué.

"Éviter que la situation ne dégénère" Masayuki Ono a souligné que la température des deux autres piscines était plus basse. Actualité. Le Japon un an après  Tohoku Earthquake and Tsunami: Looking Back from Space : Feature Articles. Situated along the coast of northeastern Japan, the town of Rikuzentakata once had a seemingly peaceful seascape, including pine trees and white-sand beaches. But on March 11, 2011, a tsunami wave traveling up Hirota Bay reduced the town of 23,000 residents to rubble. This natural-color image from the WorldView-2 satellite shows Rikuzentakata three days later, on March 14. In the wake of the tsunami, several large buildings stood out from a landscape of debris. Both the town and the nearby bay appear in shades of tan; farmland south of the town hall is inundated, while sediment colors the water off the coast.

More than two centuries ago, settlers planted more than 60,000 trees along the beach to protect inland fields from salt and sand. According to a news report from December 2011, the estimated damage to Rikuzentakata totaled $1.5 billion. ReferencesBlake, L. (2011, December 12). L'an I de l'aire Fukushima : une catastrophe à plusieurs échelles - Globe. Un an après que le séisme et le tsunami eurent frappé le Japon, le 11 mars 2011, Globe vous propose de poser un regard multiscalaire sur la catastrophe. C'est en glissant d'une échelle à l'autre, méthode chère aux géographes, qu'on peut au mieux dresser un bilan de la catastrophe : celle-ci est à la fois l'événement le plus meurtrier au Japon depuis la Seconde guerre mondiale, et l'accident nucléaire le plus grave au monde depuis Tchernobyl (1986). Le bilan se saisit tant, à grande échelle, dans les mutations du territoire nippon qu'à petite échelle dans l'espace mondial.

Globe tente de répondre à des questions simples en apparence. Où habitent les Japonais aujourd'hui ? Où sont passées les grandes rizières de la région de Fukushima ? Quelles sont les nouvelles stratégies des entreprises automobiles high-tech ? Globe espère que vous trouverez dans les lignes qui suivent quelques éléments de réponse. Le Japon face à la catastrophe : le recours aux échelles géographiques 8 avril 2011. Higashimatsushima se rêve en ville modèle des énergies renouvelables. Le Monde | | Par Ph. Me. - Higashimatsushima Envoyé spécial Higashimatsushima, ville de 43 000 habitants de la préfecture de Miyagi, était connue pour sa base aérienne, ses traces d'occupation humaine de la période Jomon (14000-300 avant J.

-C.) et sa culture ostréicole. Elle pourrait bientôt s'afficher comme une municipalité à la pointe des technologies environnementales. Telle est en tout cas son ambition, d'autant que le gouvernement l'a sélectionnée comme l'une des six "villes du futur" de son projet de reconstruction post-tsunami. Dans cette municipalité bordant le littoral Pacifique, avec, au sud, l'île de Miyato qui dessine la partie orientale de la baie de Matsushima, l'un des trois plus beaux paysages du Japon, le tsunami a détruit ou endommagé 14 000 maisons et fait plus de 1 000 morts.

Aujourd'hui, la ville veut établir une zone tampon entre l'océan et les premières habitations avec une triple protection sur plusieurs centaines de mètres. Fukushima a révélé l’absurdité du pouvoir» Fukushima: les chiffres-clés du désastre. Voici les chiffres-clés de cette triple catastrophe Le séisme, le tsunami et la catastrophe nucléaire de Fukushima survenus le 11 mars 2011, ont fait des milliers de morts et blessés et causé des dégâts colossaux, mobilisant des moyens exceptionnels pour circonscrire la crise.

Voici les chiffres-clés de cette triple catastrophe. Vendredi 11 mars 2011, 14H46 heure locale (05H46 GMT) Magnitude 9,0, épicentre 38 degrés nord, 142,9 degrés est, dans l'océan Pacifique, à une profondeur terrestre sous-marine de 24 km Alerte au tsunami lancée 3 minutes plus tard. Hauteur de vague mesurée: plus de 15 mètres en plusieurs endroits (Ishinomaki, Soma, Ofuna, etc.) 15.846 morts confirmés (au 7 février 2012) 3.317 personnes encore portées disparues. 6.011 blessés 341.411 personnes réparties dans tout le pays 52.882 logements provisoires construits 128.558 bâtiments totalement détruits 916.883 bâtiments en partie détruits 163 pays ont apporté leur aide (dons, envois d'équipes et matériels de secours) au Japon.

Dito: Temps mort à Fukushima. Un an après le désastre, les plaies sont toujours à vif au Japon. Les ravages causés par le séisme et le tsunami qui l’a suivi mettront encore des années avant de s’effacer, mais le processus de reconstruction - long, lourd, douloureux - est enclenché. Les conséquences de la catastrophe nucléaire, si elles n’ont officiellement jusqu’ici fait aucune victime, laisseront, pour leur part, des traces bien plus profondes encore.

L’espoir de retrouver une vie normale dans les zones contaminées, ne fût-ce qu’en raison de l’impact psychologique, n’est en effet envisageable au mieux qu’à l’horizon de plusieurs générations. Le temps semble s’y être suspendu. La rupture de confiance entre le peuple nippon et son élite politique, économique et technocratique laissera elle aussi des traces durables. Plus largement, l’impression qui domine bien au-delà des frontières japonaises est que les leçons de Fukushima n’ont pas fondamentalement été tirées. Side-by-Side Look at Destruction and Renewal in Japan - Interactive Feature. Japan tsunami: the recovery, one year on | World news. Crise nucléaire au Japon - L'actualité des sciences. Au Japon, 3 des 11 communes de la zone interdite autour de Fukushima ont rouvert dans l’indifférence générale.

Dans certains secteurs la radioactivité est encore supérieure à la limite fixée pour l’évacuation ! Sciences et Avenir a suivi le retour hésitant des sinistrés de Fukushima dans les villes fantômes. L'accident de la centrale nucléaire de Fukushima, au Japon, est le résultat d'erreurs humaines graves, d'un manque de régulation et d'anticipation, conclut une enquête indépendante. Les premières estimations des doses de radiations reçues en un an par les Japonais suite à l'accident de Fukushima, sont sont plutôt rassurantes. Mais le travail de suivi et d’évaluation n’est pas terminé. Un an après l’accident nucléaire à la centrale de Fukushima, il reste difficile d’évaluer les doses de radioactivité reçue par les personnes exposées et les effets sur leur santé. A cela s'ajoutent les traumatismes psychologiques. [DOCU] Un an après, le Japon bouleversé. « Récits de Fukushima » : huit petits films, témoignages poignants | Rue89 Planète. Une websérie poétique et émouvante nous mène à la rencontre de ces Japonais vivant dans l’enfer de la radioactivité, ce poison invisible.

Angoissés, ils commencent tout juste à se révolter contre un gouvernement qui continue de leur jurer que tout va bien. Un an après l’accident à la centrale de Fukushima, la catastrophe « n’est pas finie, elle vient de commencer ». C’est le constat dressé par Alain de Halleux, réalisateur de la série de huit petits films qu’Arte nous autorise exceptionnellement à publier.

A la fin du premier épisode, les larmes d’Eiko nous font comprendre ce qui est dit explicitement dans le dernier des huit films : « Nous avons perdu le Japon que nous connaissons. » Rien ne sera plus jamais comme avant pour ceux qui refusent de croire le discours trop rassurant du gouvernement. Eiko vit à Tokyo, elle tient une crêperie avec son mari français et c’est pour ne pas jouer l’avenir de petite fille de quatre ans à la roulette russe qu’ils ont décidé de partir : Fukushima, un an après. Le 11 mars 2011, un tsunami provoqué par un séisme au large du Japon a touché la centrale de Fukushima, provoquant la plus grave crise nucléaire depuis l'accident de Tchernobyl. Un an après, le Japon se relève peu à peu malgré la contamination des eaux, des airs et des terres et la création d'une zone d'exclusion autour de la centrale. Dans la rubriqueActualité. Fukushima, un an après. Diaporama. 10. Le Japon commémore le premier anniversaire de la catastrophe du 11 mars.

Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Philippe Messmer C'est un Japon triste et recueilli qui a commémoré le premier anniversaire du tremblement de terre, du tsunami et de l'accident nucléaire du 11 mars 2011. Après une nuit ayant vu la tour de Tokyo afficher un message vantant la force du kizuna" — mot qui signifie "le lien" et qui fut choisit comme mot de l'année 2011 —, l'archipel a observé ce dimanche une minute de silence à la mémoire des 15 854 morts et 3 155 disparus de la catastrophe. A Tokyo, une cérémonie s'est déroulée en présence du premier ministre Yoshihiko Noda et de l'empereur Akihito, pourtant convalescent après une opération du cœur le 18 février. Sobre, elle n'a duré qu'une heure. Devant 1 200 personnes réunies pour l'occasion et après avoir présenté ses condoléances aux familles des victimes et fait part de son "profond chagrin" à la pensée des vies perdues et des existences brisées, M.

Le président de Tepco Toshio Nishizawa était ce 11 mars à la centrale endommagée. "A Kamaishi, vous trouvez tous les grands problèmes du Japon" Japan tsunami pictures: before and after. Japan's nuclear refugees. Photographer Phyllis B. Dooney is documenting the plight of Japan's evacuees who fled the nuclear disaster in Fukushima prefecture after the March 11, 2011 earthquake and tsunami. She writes,"In Fukushima Prefecture, the third and most permanent disaster in the series followed; a nuclear meltdown occurred at Tokyo Electric’s Fukushima Daiichi plant. Radiation poured into the atmosphere and environment. First it was a suggestion, but by mid-April the government was enforcing the mandate that the residents of Tomioka and Kawauchi, who hadn’t already left because of the earthquake and/or tsunami damage, leave indefinitely. Nearly one year later an estimated 80,000 nuclear refugees are living in government-issued temporary housing or elsewhere.

In the temporary housing, often just outside the evacuation zone, it is the elderly and mentally or physically disabled who comprise a large percentage of the residents. "