background preloader

Internet

Facebook Twitter

Réseaux sociaux

Anonymous. Open Data. HADOPI. Sarkozy : internet civilisé ou cyberdissidents, il avait choisi ActuaLitté. Sarkozy expulse les libertés de son “internet civilisé” - BUG BROTHER - Blog LeMonde.fr. Bernard Kouchner, ministre des affaires étrangères, voulait faire de la défense d'Internet et des cyberdissidents "l'apogée de sa carrière", et axer la politique diplomatique de la France sur la démocratisation et la défense de la cyberdissidence.

Il avait même prévu d'organiser une conférence mondiale consacrée à la liberté d’expression sur Internet, prémices de ce que sera l'eG8 qui s'ouvrira la semaine prochaine à Paris. Des documents confidentiels que Frédéric Martel, de Marianne, a pu consulter, révélent aujourd'hui que Nicolas Sarkozy s'y était prestement opposé… deux mois avant que les Tunisiens ne commencent à s'organiser sur Facebook, et que le Printemps arabe ne démontre l'importance du Net, et des "cyberdissidents", dans les processus de démocratisation des dictatures. Et qu'il a depuis retiré de l'e-G8 tout ce qui avait trait à la défense des libertés. La liberté d’expression est “la base de toutes les autres libertés” Quand Sarkozy choisit un Internet fermé. Une députée pro-Internet civilisé veut sanctionner plus sévèrement les attaques informatiques.

LOPPSI: Le Conseil Constitutionnel valide la censure du Net. Paris, 10 mars 2011 – Le Conseil constitutionnel a rendu sa décision1 relative à la loi LOPPSI. Les sages ont estimé que l'article 4 de la loi, qui met en place la censure administrative du Net au prétexte de lutte contre la pédopornographie, n'était pas contraire à la Constitution. Le Conseil constitutionnel n'a pas su protéger les libertés fondamentales sur Internet, au premier rang desquelles la liberté d'expression. L'espoir réside désormais dans les instances européennes, seules à même d'interdire ou à défaut d'encadrer la censure administrative du Net et ses risques de dangereuses dérives. La LOPPSI empilait des mesures liberticides portant sur les sujets les plus divers.

Le Conseil constitutionnel s'est trouvé pris au piège de cette stratégie : il a certes censuré des dispositions à peine imaginables tant elles portaient atteinte aux droits directs des individus. . « Cette décision sur l'article 4 est une grande déception. Exclusif: Internet a créé 25% des emplois en France depuis 1995 » Article » OWNI, Digital Journalism. Que représente Internet dans l’économie française ? Un rapport du cabinet McKinsey, qu'OWNI révèle en exclusivité, estime qu'Internet est devenu le premier moteur de croissance économique en France. Que représente le secteur Internet dans l’économie française ? Comment évaluer la contribution réelle d’un secteur qui n’est pas défini comme tel dans les statistiques nationales ?

Pour répondre à ces questions, le cabinet américain McKinsey & Company a réalisé, avec le soutien de Google, un rapport sur l’“Impact d’Internet sur l’économie française”, sous-titré “Comment Internet transforme notre pays“. Contacté par OWNI, McKinsey nous a répondu que le rapport devait être rendu public, sur internet-impact.fr, ce mercredi 9 mars à minuit. Internet a permis la création d’1,15 millions d’emplois Au delà de cette contribution directe, Internet est responsable d’un quart de la croissance française entre 2004 et 2009.

Internet aurait ainsi : Internet pourrait représenter ¼ de la progression du PIB. Nous avons besoin d’une critique sérieuse de l’activisme sur le Net. Le journaliste, auteur de SF et blogueur, Cory Doctorow (Wikipédia) a rédigé un long, mais passionnant article dans Le Guardian qui prend appui sur une lecture (très) critique du récent mais déjà fort commenté livre The Net Delusion: The Dark Side of Internet Freedom de Evgeny Morozov. C’est cette vibrante défense d’internet, récemment traduite par le Framablog, que nous souhaitons vous donner à lire aujourd’hui. Nous avons besoin d’une critique sérieuse de l’activisme sur le Net Net Delusion (NdT : que l’on pourrait traduire par Les mirages du Net ou Internet, la désillusion) avance la thèse que la technologie ne profite pas nécessairement à la liberté, mais par quel autre moyen les opprimés se feront-ils entendre ?

Net Delusion est le premier livre de l’écrivain et blogueur d’origine biélorusse Evgeny Morozov, dont le thème de prédilection est la politique étrangère. Au cœur du livre, on trouve des remarques extrêmement judicieuses. Le rôle de Twitter Technologie et révolution. Pourquoi la littérature ne parle-t-elle pas d’internet. La lecture de la semaine, il s’agit d’un article paru dans le quotidien britannique The Guardian le 15 janvier dernier. On le doit à Laura Miller, il est intitulé “Comment le roman en est venu à parler de l’internet”. Laura Miller commence par un constat : comme David Foster Wallace (Wikipédia) l’avait fait dans les années 90 à propos de la télévision, elle s’étonne que très peu d’écrivains américains ne relèvent le défi d’intégrer Internet dans leurs textes.

Et Laura Miller d’observer qu’il y a plusieurs stratégies à l’oeuvre. Ecrire un roman historique est la manière la plus simple d’éviter de se confronter à Internet, il suffit pour cela de faire remonter son histoire à une décennie ou au deux. Autre stratégie, les auteurs peuvent utiliser des populations qui sont à l’écart de la modernité pour des raisons culturelles, comme les immigrés récents et leurs familles – un choix très courant dans la fiction contemporaine, note Laura Miller. La situation commence à changer. Couper l'Internet d'un pays comme l'Egypte prend 2 minutes. UPDATE - Le fournisseur d'accès à Internet français FDN a mis en place une connexion de secours à bas débit à destination des Egyptiens qui disposent d'un modem 28K ou 56K.

Les internautes égyptiens peuvent utiliser la ligne +33 1 72 89 01 50 et se connecter avec l'identifiant et le mot de passe "toto" pour accéder à une connexion de secours à bas débit. Les Egyptiens sont privés d’Internet depuis jeudi soir. Ainsi «environ 88 % du réseau internet n'est plus disponible en Égypte, c'est une première dans l'histoire d'Internet», a déclaré Rik Ferguson, expert sécurité pour Trend Micro, troisième éditeur de solutions de sécurité mondial, à l’AFP. «Les réseaux les plus importants du pays sont coupés, mais il reste encore quelques réseaux minoritaires qui répondent toujours, comme Noor Data Networks», précise-t-il.

Une coupure à grande échelle à l’impact immédiat qui soulève une question: comment peut-on couper l’accès à l’Internet de tout un pays? Et peut-on vraiment éteindre l’Internet? À quoi ça sert de s'activer sur Internet ? La réponse de Cory Doctorow. Cory Doctorow est souvent traduit sur ce blog car c’est l’une des rares personnalités qui pense l’Internet et agit en conséquence pour qu’il conserve ses promesses initiales d’ouverture et de partage. Il a rédigé un long mais passionnant article dans The Guardian qui prend appui sur un lecture (très) critique du récent mais déjà fort commenté livre The Net Delusion: The Dark Side of Internet Freedom de Evgeny Morozov.

Chercheur biélorusse à l’université de Georgetown et chroniqueur dans plusieurs journaux, Morozov remet radicalement en question, dans son ouvrage, le pouvoir libérateur d’Internet. On peut le voir exposer son point de vue dans cette courte conférence au format TED : Comment Internet aide les dictatures, qui constitue un excellent préambule à ce qui va suivre.

On comprendra dès lors aisément que le « net-activiste » Cory Doctorow ait pris sa plume pour répondre dans le détail à l’argumentaire de Morozov. Internet n’est certainement pas synonyme de libération. Hadopi muette : Sarkozy, un web civilisé ou colonisé ? ActuaLitté. D’un côté, le budget de la Culture qui ne subira pas le gel imposé pour d’autres pans de la politique... De l’autre, la volonté de mener à bien une sorte de G20 des droits d’auteur, qui devrait se tenir durant Cannes, les 3 et 4 novembre prochain... Et entre les deux, un grand absent : Hadopi. Certes, le ministre de la Culture, Frédéric Mitterrand l’a assuré : il faudra encore six mois à Hadopi pour parvenir à proposer aux créateurs une véritable solution pertinente. « Hadopi n'a pas obtenu toute sa puissance de croisière », considèrait le ministre. Mais le président, durant ses voeux, a allégrement oublié d’évoquer, justement, la fameuse Haute autorité.

Pour autant, il n’en oubliera pas la nécessité d’une communication basée sur la pédagogie. Pedagogue de gré ou de force « Nous allons mettre sur la table une question centrale, celle de l'internet civilisé. Le tout dans une belle perspective de partage et d’échange, évidemment. Les jolies colonies de la France... Sources : , , , “L’Internet civilisé”, histoire d’un concept à géométrie variable. Les-dangers-d-internet-pour-les-enfants-largement-relativises_1464824_651865.

Contre-histoire de l’Internet: FreePress on OWNI » Article » OWNI, Digital Journalism. [liveblogging] Ambiance FreePress et PopularGeeks à la soucoupe : OWNI leake 11 ebooks composés avec amour et logiciels libres, publiés gratuitement sous licence Creative Commons. Onzième et dernier opus en ligne : l'open data /-) C’est un pari un peu fou comme on les aime à la Soucoupe : publier à l’arrache en cette semaine de trêve des confiseurs 11 livres en 24 heures (merci Ophelia de cette pirouette). 10 + 1. 11 livres gratuits, 11 sélections d’articles parus cette année sur OWNI, mis en forme par notre maitre ès design Loguy (qui lui aussi a failli être en vacances) afin de vous délivrer, pour vos iPads, liseuses, smartphones et autres imprimantes de quoi bouquiner pendant les fêtes.

Ambiance FreePress et PopularGeeks donc, avec ce premier ebook “Contre-histoire de l’Internet” [pdf]. Une sélection opérée par Jean-Marc Manach, à échanger et dévorer sans modération. Cet article sera actualisé tout au long de la journée afin de lister ici les publications des 10 autres cahiers d’OWNI. Chaos Computer Club: Revendications pour un Net viable » Article » OWNI, Digital Journalism. Rappelant que l’accès à Internet pour tous est une des conditions favorisant la participation à la vie politique et culturelle, ce texte offre un condensé des positions du Chaos Computer Club, qui tient en ce moment son congrès annuel.

Traduction : À l’occasion du Chaos Computer Congress 27c3, congrès organisé par le Chaos Computer Club à Berlin du 27 au 29 décembre, voici notre traduction en français des revendications du CCC pour un Net viable. La version originale (en allemand donc) se trouve ici. Rappelant que l’accès à Internet pour tous est une des conditions favorisant la participation à la vie politique et culturelle, ce texte offre un condensé des positions du CCC sur des questions telles que la protection des données personnelles, la neutralité du Net, le droit d’auteur, la transparence des données publiques, ou bien encore sur l’instauration d’un droit à l’anonymat sur le net. Revendications pour un Net viable Principes pour la politique du Net 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10. 11.

La sérendipité est-elle un mythe. La lecture de la semaine, il s’agit d’un article paru le 27 novembre dernier dans TechCrunch, sous la plume de Henry Nothaft, qui est le co-fondateur d’une entreprise qui développe un assistant personnel virtuel pour les contenus Web. Ce papier s’intitule « Le mythe de la sérendipité ». Selon l’auteur, un des concepts les plus intéressants ayant émergé ces derniers temps dans les médias et les nouvelles technologies est celui de sérendipité. Voici comment il définit le terme de sérendipité : « le fait de montrer aux gens ce qu’ils n’étaient pas conscients de chercher ».

Je me permets juste une incise : cette définition de la sérendipité est assez étrange. On aurait plutôt tendance à considérer la sérendipité comme un effet du hasard : je cherche quelque chose et, par hasard, je tombe sur autre chose qui m’intéresse aussi (Wikipédia). Or pour l’auteur, la sérendipité est quelque chose de provoqué, d’organisé. Je trouve ce texte assez incroyable. Xavier de la Porte. Nicolas Sarkozy ressort du tiroir la création du Conseil du numérique. Loppsi 2 : le gouvernement en mesure de filtrer internet sans juge ActuaLitté. Tandis qu'au Parlement, le Sénat adoptait la loi de Finances, l'Assemblée nationale, quasi vide, votait hier soir l'application de l'article 4 de la loi Loppsi 2, dans l'indifférence la plus générale.

Loin d'un clivage droite-gauche, la loi fait plutôt l'effet d'un grand n'importe quoi. Et pour cause... Car désormais le gouvernement vient de se voir attribuer le pouvoir de fliquer le net, avec un système de filtrage digne des plus mauvais scénarios. Car le pouvoir judiciaire n'aura absolument pas à intervenir dans cette mesure. Pour le gouvernement, qui s'était fait avoir sur Hadopi, la raison d'État - ou presque - implique de permettre, pour une lutte efficace contre les sites de pédophilie et de cybercriminalité, la mise en place d'un filtre idoine. Mais cités par nos confrères du Point, deux députés qui ont eu leur mot à dire dans le monde du livre, la mesure est complètement vaine.

Et de pointer les sites miroirs hébergeant WIkileaks... Piloté par Brice Hortefeux. On est mal... Gawker Media (Kotaku, Gizmodo, etc.) victime d'un piratage massif. Taxer internet, le marronnier de Marini. Alors que le projet de loi de finances pour 2011 doit être discuté à partir du 18 novembre au Sénat, le rapporteur général du budget, Philippe Marini (UMP), a fait adopter le 10 novembre en commission des Finances deux amendements proposant d’instaurer une taxe sur les acheteurs de publicité en ligne ainsi que sur les ventes en ligne lorsqu’elles impliquent des professionnels. Une fois de plus, alors que les responsables politiques français devraient tout mettre en œuvre pour favoriser l’innovation et le développement des nouvelles technologies de l’information, certains s’apprêtent à fragiliser l’essor du commerce électronique et à réduire d’autant le potentiel, pourtant considérable, de croissance, et donc de création d’emplois induits, que ce secteur d’activité représente. publicité Pas seulement une source de recettes fiscales En France, ces initiatives nous semblent hélas loin.

Débat-clé sur le commerce numérique Partager les responsabilités Une gestion collective plus efficace. Comment Internet change notre façon de penser - Emmanuel Sander, article Psychologie. Dématérialisant les supports de connaissance, s’affranchissant de l’espace et du temps, Internet offre de nouvelles manières d’organiser les connaissances. Une révolution cognitive ? L’univers d’Internet est paradoxal. D’un côté, les expressions de « révolution de l’information » ou « d’ère informationnelle » ne sont pas qu’emphatiques ; Internet a pris une telle place en quelques années que certains redoutent plus une coupure de réseau que d’eau ou d’électricité.

Les prospectivistes d’antan n’ont pas, loin s’en faut, imaginé ce qu’offre la Toile : les possibilités d’accès, de diffusion, et d’échange d’information mettent le monde à portée de souris, dissolvent les distances et font de l’instantanéité la règle. Dématérialisations en cascade De l’autre, et là pointe le paradoxe, Internet bouleverse le monde avec des « mots pour le dire » qui ne dépayseraient pas nos aïeux.

Quelle frontière entre réel et virtuel ? Si la Toile a ébranlé « l’avoir », « l’être » n’est pas en reste. Dominique Cardon : Pourquoi l’internet n’a-t-il pas changé la politique. On ne présente plus Dominique Cardon, sociologue au laboratoire des usages SENSE d’Orange Labs. Il publie au Seuil, dans la collection « la République des Idées », un petit livre synthétique, stimulant, lucide et informé sur La Démocratie internet. Un ouvrage où il tente de nous expliquer pourquoi le grand soir électronique n’a pas eu lieu. Pourquoi l’internet n’a-t-il pas changé la politique ?

Peut-être parce que la politique sur internet n’est pas là où, par habitude, on va la chercher, suggère-t-il. Voire même parce que les formes représentatives traditionnelles ne sont pas nécessairement solubles dans l’internet. Et que l’internet nourrit peut-être un autre espace démocratique que celui de la compétition pour la représentation politique InternetActu.net : Depuis l’origine de l’internet, on a beaucoup fantasmé sur la démocratie électronique et son avènement.

Dominique Cardon : Elle vient tout droit de son histoire. C’est aussi une période d’apprentissage qui s’ouvre. Internet, un tournant ? Database Error. Droit de surfer, permis de publier | Les parenthèses de L'Atelier. Faut-il enterrer le Web ?

Filtrage

Astroturfing. Vie privée. Neutralité du net.