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Psychologie

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Polices d’écriture et dyslexie | Contre l'Éducation. Tout contre. | Scoop.it. Divers, EnseignementMarie8 novembre 2011, 2:01 La lecture est un exercice particulièrement éprouvant pour les personnes dyslexiques ; il est possible de leur faciliter (un peu) la vie, en utilisant des polices d’écritures spécialement conçues pour eux. A l’occasion de la sortie de la police d’écriture « Dyslexie« , j’ai pris le temps de faire un peu le point sur le sujet, et j’ai synthétisé tout cela sous la forme d’une carte Xmind (un clic permet d’accéder au fichier zippé de la carte, qui contient tous les liens vers les polices concernées) : Plusieurs de ces polices sont gratuites, alors pourquoi ne pas franchir le pas et les utiliser dans les documents (mind maps et autres !)

Que l’on distribue à nos élèves ? Tags : dyslexie Laisser un commentaire. Nos vies numériques : dossier du magazine Sciences Humaines (août-septembre 2011) Le mensuel papier Sciences Humaines consacre un dossier « Nos vies numériques » dans son édition d’août-septembre 2011 avec 12 articles thématiques. Ce magazine propose un large tour d’horizon des pratiques technologiques contemporaines en explorant des tendances Web (Facebook, Twitter, blog…), l’univers des jeux vidéo ou encore les modes collaboratifs en ligne (Wikipédia, hackers…). Certains articles du dossier « Nos vies numériques » de Sciences Humaines sont disponibles sur Internet ; à consulter sur le portail du magazine : Nos vies numériques : Affectives, ludiques, participatives, culturelles, politiques : nous vivons des vies intenses sur le Web. Des vies qu’il serait trompeur de qualifier de virtuelles. Qu’est en effet le numérique, si ce n’est la poursuite de la vie par d’autres moyens ? Trois idées reçues sur Internet (accès libre) : Les internautes forcenés n’ont pas de relations sociales.

Facebook à Trinidad : Comment vit-on Facebook à Trinidad ? Licence : Petit traité de manipulation à l'usage des professeurs et des formateurs - Yves Guégan, article Éducation. Comment contourner la résistance des élèves à se mettre au travail et à respecter les règles ? Pour cela, les enseignants emploient souvent des ruses éducatives qui, lorsqu’elles sont bienveillantes, permettent de désamorcer les conflits et de susciter la motivation. Immorale la ruse ? Oui quand elle est synonyme d’escroquerie, d’imposture, de perfidie. Non quand il s’agit de contourner habilement les caprices d’un jeune enfant, en le priant par exemple de s’asseoir sur « la chaise qui rend gentil ». La ruse présente l’avantage de déverrouiller des situations conflictuelles sans utiliser l’autorité.

Pour de nombreux enseignants cependant, la ruse est indigne parce que perçue comme déloyale et sournoise. Fondées sur l’usage de l’intelligence, le sens de l’opportunité, l’inventivité, les ruses éducatives se forgent bien souvent par la réflexion et l’expérience. Ruse n°1 : Instaurer des règles d'or Ruse n°2 : Octroyer des jokers Ruse n°3 : Jouer le maître ignorant Yves Guégan. Cartes des 10 lois de la simplicité de Maeda. Commentgerer. Cet article passe en revue l’utilisation et la possibilité de recourir à des tactiques et des moyens mnémotechniques pour augmenter et améliorer les capacités de mémorisation et améliorer la mémoire en générale.

Dans de nombreuses études, il a été montré que les mnémoniques ont trois principes fondamentaux qui sous-tendent à l’utilisation des moyens mnémotechniques. Ces trois principes sont : l’associationl’imaginationl’emplacement En utilisant les mnémoniques, vous avez de bonnes chances d’améliorer votre mémoire. Ces trois fondamentaux réunis - l’association, l’imagination et l’emplacement – peuvent être amenés à travailler ensemble. J’espère que lorsque vous aurez absorbé et appliqué ces techniques, vous comprendrez la façon de concevoir et d’adapter ces principes dans votre propre domaine d’application pour concevoir vos propres systèmes de rappels puissants et sophistiqués. Commençons à découvrir ces trois principes : Association Imagination Emplacement Pour aller plus loin : Patrice Huerre : " La peur de l'échec n'est pas le motif principal du stress" Par François Jarraud Pédopsychiatre, auteur d'un ouvrage important sur l'absentéisme scolaire et plus récemment sur le stress en prépa, Patrice Huerre nous donne quelques conseils pour faire face à l'examen.

Est-il courant de voir des candidats noués par le stress le jour du bac, perdant une partie de leurs moyens. Comment expliquer qu'un examen affecte autant un jeune ? C'était effectivement courant d'être stressé au moment du passage d'un examen. Même si c'est inégalement réparti. Ceci se manifeste habituellement par un malaise qui laisse penser que l'on a oublié tout ce que l'on a appris, avec parfois des manifestations corporelles (sensation de vertige, sueur, tremblement des membres, sensation de boule dans la gorge et de difficultés respiratoires...).

Pour certains, cela peut prendre encore plus d'ampleur avec une angoisse intense qui peut conduire à une sorte de paralysie de tous leurs moyens et à l'évitement de l'examen. Est-ce seulement la peur de l'échec qui explique le stress ? Une mémoire à toute épreuve. Idées reçues sur le monde de l'enfance - Jean-François Dortier, article Psychologie. Pour un enfant, le monde des adultes est mystérieux. Et pour les adultes le monde de l’enfance est redevenu étrange. Nous souvenons-nous encore de ce qui nous trottait dans la tête quand le bout de notre nez n’arrivait pas à la hauteur de la table ? Tout se passe comme si les enfants et adultes étaient des étrangers, vivant chacun sur sa planète. L’idée qu’il existe une distance infranchissable entre l’univers de l’enfant et celui de l’adulte a été renforcée par un siècle de psychologie. La pensée de l’enfant a été décrite tour à tour comme magique, égocentrique, naïve, irrationnelle.

L’apprentissage de la vie consisterait donc à sortir de cette bulle pour entrer dans le monde réel des adultes, supposé pragmatique, rationnel et réaliste. Ce clivage entre le monde de l’enfance et celui des adultes est trompeur. Idée reçue n° 1 : Le monde de l’enfant est irrationnel En refaisant les expériences de J. Prenons un autre exemple désormais bien étudié : celui du nombre (1). Dernièrement, P. J. Sociologie cognitive et explication fonctionnelle - IGITUR - Arguments philosophiques.

1 Introduction Dans son ouvrage portant sur les contradictions vécues par les enfants d’immigrés algériens en France, le sociologue Abdelmalek Sayad écrit : Comme dans l’ancien contexte colonial, nombre de traits culturels, tels, par exemple, certains détails vestimentaires (...), certaines conduites ou croyances, continuent à être investis d’une fonction supplémentaire, celle de signes distinctifs. Renoncer à ces signes ne manque pas d’être interprété comme une marque d’allégeance à l’autre et, corrélativement, comme un reniement ou un « retournement » de soi (Sayad, 2006, 167-168).

Nous pourrions résumer notre problème principal en partant d’une question simple à propos de cet extrait : que signifie le fait qu’une croyance puisse être investie « d’une fonction supplémentaire » ? Remarquons, tout d’abord, que cette manière de décrire et d’appréhender les croyances semble aisément compréhensible pour le lecteur. 2 Le modèle cognitiviste d’explication des croyances. Eduquer au XXIe siècle. Entre 1900 et 2011, tout a changé pour les écoliers qui vivent à présent dans le virtuel et dans une société multiculturelle, analyse Michel Serres.

Il faut aider l'école à prendre la mesure de cette nouvelle ère. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Michel Serres, de l'Académie française Avant d'enseigner quoi que ce soit à qui que ce soit, au moins faut-il le connaître. Qui se présente, aujourd'hui, à l'école, au collège, au lycée, à l'université ? Ce nouvel écolier, cette jeune étudiante n'a jamais vu veau, vache, cochon ni couvée. En 1900, la majorité des humains, sur la planète, travaillaient au labour et à la pâture ; en 2011, la France, comme les pays analogues, ne compte plus qu'un pour cent de paysans. Sans doute faut-il voir là une des plus fortes ruptures de l'histoire, depuis le néolithique.

. - Il habite la ville. . - Son espérance de vie va vers quatre-vingts ans. . - Alors que leurs parents furent conçus à l'aveuglette, leur naissance est programmée. Bilan temporaire. Je répète. Rencontre avec Antonio Damasio : La conscience est née des émotions - Propos recueillis par Jean-François Marmion, article Psychologie. Il a déjà montré que les émotions sont indispensables à la validité de nos raisonnements. Dans son dernier ouvrage, Antonio Damasio estime qu’elles pourraient être à l’origine de la conscience humaine et animale. Antonio Damasio se trouve à deux pas du Panthéon. Au sens propre : c’est là que nous avons rendez-vous, chez son éditrice française. Au sens figuré, ce n’est pas faux non plus : rarement les travaux d’un psychologue auront aussi rapidement bousculé ce que nous croyions savoir de l’être humain.

La théorie des marqueurs somatiques* a pris de court ses collègues, en démontrant que, contre toute attente, raison et émotion ne s’opposent pas. Sans émotion, nos raisonnements sont biaisés et nos choix les plus simples peuvent déboucher sur des décisions aberrantes. Votre hypothèse des marqueurs somatiques vous a valu plusieurs récompenses, dont à présent le Prix Honda. Je ne parlerais pas d’hostilité, mais de surprise.

En quoi consiste ce mécanisme de convergence/divergence ? Médiation interculturelle. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La médiation sociale est une approche relationnelle visant à privilégier l'entretien, le maintien et ou le rétablissement de lien de sociabilité entre des personnes demeurant dans un même environnement, notamment à destination de publics "empêchés". Elle fait partie de l'application de la médiation. La médiation sociale est citée dans le rapport de la commission pour la libération de la croissance française présidée par Jacques Attali (décision 161)[1]. La médiation interculturelle est le fait d'établir des liens de sociabilité entre des gens issus de cultures différentes et qui résident sur le même territoire frontalier.

La médiation transnationale revient à la même démarche, à la différence qu'il s'agit d'une approche prenant en compte le fait que les personnes ne résident pas sur le même territoire. La compétence interculturelle est définie par l’aptitude à pouvoir communiquer avec succès avec des gens d’autres cultures.