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Être et Temps. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Être et Temps (en allemand : Sein und Zeit) est une œuvre du philosophe allemand Martin Heidegger publiée en 1927 dans les Annales de philosophie et de recherche phénoménologique éditées par Edmund Husserl. Bien qu'écrit rapidement, et jamais terminé, ce livre eu égard aux ambitions de son introduction, est le livre qui a le plus influencé la pensée du XXe siècle.

Il reste aussi l'ouvrage majeur parmi tous les ouvrages de ce philosophe (environ 110 dans l'édition intégrale). Cette influence s'est exercée dans des domaines très différents, qui débordent très largement du champ proprement philosophique : ainsi, avec l'existentialisme, la littérature et la sensibilité furent bouleversées, les sciences humaines, la psychiatrie, la théologie elle-même furent ébranlées ; l'herméneutique, la logique, le langage, la critique littéraire renouvelées et enfin la phénoménologie contrainte de revenir à son possible[1]. Sein-und-Zeit-Hauptbegriffe. Vanité. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Cet article a pour sujet un genre pictural. Pour une définition du mot « vanité », voir l’article vanité du Wiktionnaire. La Vanité est un genre particulier de nature morte, à implication philosophique. Les objets qui y sont représentés symbolisent les richesses de la nature, et des activités humaines, mises en regard d'éléments évoquant le triomphe de la Mort, le plus souvent : un crâne humain. Très répandues à l'époque baroque, particulièrement en Hollande où ce genre s'est développé dans un foyer culturel aux environs de 1620, la vanité s'étend à des représentations picturales comprenant aussi des personnages vivants comme Les Ambassadeurs d’Holbein.

Histoire[modifier | modifier le code] À partir du foyer intellectuel de Leyde, ce genre de nature morte s'est développé en Hollande vers 1620. Si les objets au Moyen Âge peuvent figurer dans la peinture traditionnelle (groupe, situation...), c’est parce qu’ils ont un sens. Topoï. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Topos.

Un topos littéraire : la rencontre du héros avec un animal sauvage le défiant (ici Dante rencontre le lion) Un Topos (τόπος : « lieu, endroit » en grec ; au pluriel : topoï ) désigne un arsenal de thèmes et d'arguments en rhétorique antique dans lequel puisait l'orateur afin d'emporter l'adhésion de ses auditeurs. Un topos devenu banal et répétitif devient un lieu commun, également appelé cliché littéraire, ou poncif. Dans l'Antiquité gréco-romaine, le topos désignent l'argument ou le thème qu'utilise le rhéteur pour construire son discours et persuader son auditoire. En littérature, le topos désigne un motif particulier qui se retrouve dans plusieurs œuvres. Exemples de topos majeurs : Le topos d'ouverture introduit le récit et sa narration. Arma virumque cano, inscription sur les murs de Pompéi Un topos typique du roman antique grec et latin est celui du double songe. Stylistique. Thétique.

Définition, traduction, prononciation, anagramme et synonyme sur le dictionnaire libre Wiktionnaire. Français[modifier | modifier le wikicode] Étymologie[modifier | modifier le wikicode] Du latin theticus (« propre à former, à créer »). Adjectif[modifier | modifier le wikicode] thétique /te.tik/ masculin et féminin identiques (Philosophie) Qui se rapporte à une thèse. Traductions[modifier | modifier le wikicode] Références[modifier | modifier le wikicode] Dictionnaire encyclopédique Quillet édition 1979. Anamnesis (philosophy) It is the idea that humans possess knowledge from past incarnations and that learning consists of rediscovering that knowledge within us.

In Meno, Plato's character (and old teacher) Socrates is challenged by Meno with what has become known as the sophistic paradox, or the paradox of knowledge: Meno: And how are you going to search for [the nature of virtue] when you don't know at all what it is, Socrates? Which of all the things you don't know will you set up as target for your search? And even if you actually come across it, how will you know that it is that thing which you don't know?

In other words, if you don't know any of the attributes, properties, and/or other descriptive markers of any kind that help signify what something is (physical or otherwise), you won't recognize it, even if you actually come across it. The theory is illustrated by Socrates asking a slave boy questions about geometry. Anamnèse.

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cette page d’homonymie répertorie les différents sujets et articles partageant un même nom. Sur les autres projets Wikimedia : anamnèse, sur le Wiktionnaire L'anamnèse (en grec « souvenir ») est le récit des antécédents. Il s'agit d'un substantif féminin. Etre et temps. Hippias d'Élis. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Hippias. Hippias d'Élis (Ἱππίας) est un homme public et un sophiste de la Grèce, du Ve siècle av. J. -C. Cet aristocrate éléate naquit vers 443 av. J. -C. et mourut entre[1] 396 et 390 av. Biographie[modifier | modifier le code] Par contre, il était très apprécié pour sa grande capacité de mémorisation dans la cité.

Hippias est aussi un géomètre ; et peut-être un astronome, comme le laisse entendre Platon dans l’Hippias majeur, lorsqu'il écrit : « c'est ce que tu connais le mieux, les astres et les phénomènes célestes ». Il a écrit un recueil de citations des philosophes présocratiques, notamment cité par Clément d'Alexandrie. Bibliographie[modifier | modifier le code] Hippias majeur. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Hippias.

L’Hippias majeur (en grec ancien Ἱππίας μειζών ; sous-titré Sur le Beau ; genre anatreptique) est un dialogue de Platon, dans lequel Socrate dispute avec le sophiste Hippias d'Élis de la définition du mot grec Καλόν (kalon), que traduit de manière imprécise[1] le mot français beau, et qui se dit de « toutes les réalités dont on estime la valeur et l'excellence. »[2] L'œuvre fait partie du genre des dialogues socratiques de Platon, appelés aussi parfois dialogues de jeunesse.

La date exacte de sa rédaction reste cependant incertaine. Présentation de l'Hippias majeur[modifier | modifier le code] Les deux Hippias sont nommés de manière évidente d'après l'unique interlocuteur de Socrate. Date de l'entretien[modifier | modifier le code] Le texte de l’Hippias majeur donne peu de détail chronologique, et il est impossible de fixer une date précise du déroulement de ce dialogue entre Socrate et Hippias.

Dialectique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La dialectique (appelée aussi méthode ou art dialectique) est une méthode de discussion, de raisonnement, de questionnement et d'interprétation qui occupe depuis l'Antiquité une place importante dans les philosophies occidentales et orientales. Le mot « dialectique » trouve son origine dans le monde grec antique (le mot vient du grec dialegesthai : « converser », et dialegein : « trier, distinguer », legein signifiant « parler »). Elle aurait été inventée par le penseur présocratique Zénon d'Élée[1], mais c'est surtout son emploi systématique dans les dialogues de Platon qui a popularisé l'usage du terme. La dialectique s'enracine dans la pratique ordinaire du dialogue entre deux interlocuteurs ayant des idées différentes et cherchant à se convaincre mutuellement.

Histoire[modifier | modifier le code] La dialectique dans l'Antiquité[modifier | modifier le code] Chez les présocratiques[modifier | modifier le code] Joseph Schumpeter. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Joseph Schumpeter Il est l'auteur d'une Histoire de l'analyse économique, parue en 1954 et qui fait encore référence. Ni keynésien, ni néoclassique, on le rapproche souvent de l'École autrichienne d'économie. Il est considéré comme l'économiste de l'effervescence et on le qualifie d’économiste hétérodoxe pour ses théories sur l’évolution du capitalisme dans la démocratie, qu'il estime voué à disparaître pour des raisons sociales et politiques.

Biographie[modifier | modifier le code] En 1908, il publie son premier ouvrage, devenu très vite un classique de la statistique économique, Nature et essence de l'économie théorique, ce qui lui permet d'obtenir en 1909 un poste de professeur associé en économie politique à l'université de Czernowitz. En 1913-1914, il est professeur invité à l'université Columbia de New York. En 1925, il devient professeur de finances publiques à l'université de Bonn et se remarie avec Anna Reisinger. Théorie de l'évolution économique. Recherche sur le profit, le crédit, l'intérêt et le cycle de la conjoncture. (1911) Voir le numéro 46 de l'excellente revue québécoise INTERVENTIONS ÉCONOMIQUE / PAPERS IN POLITICAL ECONOMY, entièrement consacré à l'oeuvre de Schumpeter, intitulé: “Innovation et développement chez Schumpeter.”

URL. Tous les textes sont en accès libre et en texte intégral. Christian Deblock, Présentation du dossier: Innovation et développement chez Schumpeter [Texte intégral]; Henri Denis, La pensée de Schumpeter face à celles de Marx et de Walras [Texte intégral]; Sophie Boutillier et Dimitri Uzunidis, Schumpeter, Marx et Walras. Theorie-de-l-evolution-economique-partie-1. Phidias. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Phidias, en grec ancien Φειδίας / Pheidias (Athènes, v. 490 – Olympie, av. 430), est un sculpteur du premier classicisme grec. Biographie[modifier | modifier le code] Œuvres[modifier | modifier le code] Ses bas-reliefs sont remarquables par la rigueur de leur composition, et leur souci de rythme : se détachant du statisme des grandes frises orientales, Phidias introduit dans les scènes des contrepoints (personnages retournés, à contre-courant) et joue sur les lignes courbes, divergentes et convergentes. On lui prête également une légende : Phidias participait à un concours de sculpture d'une statue d'Athéna qui serait disposée à Athènes, à quatre mètres du sol. Dans la culture contemporaine[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code] Bibliographie[modifier | modifier le code] Source primaire[modifier | modifier le code] Autres sources[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code]

Phidias. On connaît mal ses premières oeuvres. Périclès lui confiera la supervision de la construction de l'Acropole d'Athènes, édifiée entre 447 et 432 avant Jésus-Christ grâce au butin de la bataille de Marathon. Phidias sculptera personnellement l'Athéna Promachos (statue d'environ dix mètres de hauteur, est aujourd'hui détruite), et la statue chryséléphantine d'Athéna Parthénos (d'une hauteur de quinze mètres) couverte d'or et d'ivoire et qui prendra place à l'intérieur du temple.

Les barbares feront main basse sur l'oeuvre, dont on ne connaît que de vagues copies, pour s'emparer de l'ivoire, des bois plaqués d'or et des ornements précieux. Les sculptures du Parthénon, en particulier les frises représentant les combats des Centaures et des Lapithes et la frise intérieure des Panathénées comptent parmi les chefs d'oeuvre du sculpteur athénien. Vers la fin de sa vie, Phidias réalisera pour Olympie, une statue chryséléphantine de Zeus largement décrite par Pausanias. Phidias. -432 avant J. -C. Athénien de naissance, fils de Charmidès, il fut l'élève d'Hégias ou Hégésias, sculpteur dont le style traditionnel, rude et sévère, rappelait l'art étrusque. Il se rendit ensuite à Argos, où se trouvait alors une des écoles les plus florissantes de sculpture; il y apprit entre autres, auprès de l'illustre Ageladas, la technique du bronze.

Il revint dans sa ville natale, alors gouvernée par Cimon, et y exécuta un groupe de bronze consacré à Delphes en mémoire de la bataille de Marathon, une Athéna en bois doré et en marbre blanc, de même que la célèbre Athéna Promachos en bronze qui fut placée sur l'Acropole (456) et dont les navigateurs pouvaient voir la lance et l'aigrette depuis le Pirée. Les frises du ParthénonLa renommée de Phidias était bien établie lorsque Périclès prit le pouvoir en 449 et entreprit des grands travaux d'embellissement d'Athènes. Ses élèves les plus connus furent Alcamènes de Lemnos, Agoracrite de Paras ainsi que Colotès. Elpis (mythologie) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Elpis. Dans la mythologie grecque, Elpis (en grec ancien ἐλπίς / elpís) est la personnification de l'espoir.

Elle est dépeinte comme une jeune femme portant généralement des fleurs ou une corne d'abondance dans ses mains. Dans Les Travaux et les jours d'Hésiode, Pandore laisse s'échapper tous les maux de la jarre d'où ils étaient enfermés; seule Elpis reste seule au fond, Pandore ayant replacé le couvercle par la volonté de Zeus[1]. Pour d'autres encore, le fait qu'Elpis reste enfermée dans la jarre signifie que la condition humaine est sans espoir, désespérée. On a suggéré qu'« elpis » ne devait pas être traduit par « espoir », mais par « attente », au sens d'attendre ce qui va advenir.

Dans La Cuisine et le sacrifice en pays grec[8], Jean-Pierre Vernant livre une riche et complexe interprétation de Elpis: de son point de vue, elle n'est ni bonne, ni mauvaise, mais ambiguë : Son équivalent romain est Spes. Hermès. Gorgias. Prométhée. Stasis. Jean-Pierre Vernant. Marcel Detienne. Dieux et demi-dieux, vidéo Dieux et demi-dieux, vidéo - Archives vidéos. Conférence Marcel DETIENNE. Marcel Detienne – 1. Comment être français (Mediapart) - une vidéo Actu et Politique. Marcel Detienne – 2. Sur l'identité nationale (Mediapart) - une vidéo Actu et Politique. Marcel Detienne – 3. Sur Claude Lévi-Strauss (Mediapart) - une vidéo Actu et Politique. Éris. Emmanuel Kant.

Ménon. Queneau Raymond. Roland Barthes. Essais critiques.