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Nietzche - Appolon et Dionysos

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Le blog de Philippe Silberzahn | Innovation, entrepreneuriat, surprises stratégiques et ruptures: L'incertitude nous rend libres. Le blog de Philippe Silberzahn | Innovation, entrepreneuriat, surprises stratégiques et ruptures: L'incertitude nous rend libres. "Ne déjeunez jamais seul" et autres slogans stupides qui tuent l’innovation. Je suis récemment tombé sur l’article d’un consultant en gestion de carrière intitulé "Ne déjeunez jamais seul". Bon avis en effet: pourquoi perdre du temps à déjeuner seul alors que le déjeuner offre une opportunité de nouer des contacts utiles à sa carrière?

Et l’auteur d’ajouter qu’il faut surtout éviter les déjeuners gastronomiques: un sandwich rapidement enfilé, de l’eau, et hop, on networke! Et de préciser que si on enlève les vacances, cela fait tout de même 250 opportunités de rencontrer des gens. 250 personnes nouvelles par an, imaginez! Ce type d’article est fréquent dans la littérature du management. L’idée sous-jacente est que tout ce qui n’est pas action est inutile. Déjeuner seul est une perte de temps parce quand on est seul, on ne fait rien. En outre, l’auteur de l’article ne nous dit pas comment ce networkeur fait pour rencontrer des gens, et encore moins comment il sait qui est utile à rencontrer et qui ne l’est pas.

Like this: J'aime chargement… Nietzsche et l'Art. Nietzsche et la créativité artistique : Nietzsche a beaucoup théorisé sur l’Art dans la mesure où il est lui-même un artiste. En témoignent son goût pour la musique (et la critique musicale) mais aussi sa prose, qui comportent beaucoup d’ornements poétiques. Avant de présenter et d’analyser la théorie nietzschéenne de l’art, donnons quelques éléments de contexte. Pour Nietzsche, l’homme est la source à laquelle prend racine l’univers. L’homme façonne l’univers grâce au langage et aux idées.

L’homme est la source du beau. . « Rien n’est beau, il n’y a que l’homme qui soit beau : sur cette naïveté repose toute esthétique, c’est sa première vérité. En référence à l’homme, Nietzsche écrit: « Son sentiment de puissance, son courage, sa fierté – tombent tous avec la laideur et la montée du beau ». Selon Nietzsche, la création artistique suppose un état physiologique particulier. L’art : entre Dionysos et Apollon Pour aller plus loin sur Nietzsche : La Naissance de la tragédie. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La Naissance de la tragédie à partir de l’esprit de la musique (Die Geburt der Tragödie aus dem Geiste der Musik) est une œuvre du philosophe allemand Friedrich Nietzsche, qu’il publia en 1872 à l’âge de 28 ans. Elle fut rééditée en 1886, sous le titre de La Naissance de la tragédie, ou Hellénisme et Pessimisme (Die Geburt der Tragödie, Oder: Griechentum und Pessimismus). Ce texte, hybride de philologie et de philosophie, que l’on peut, pour cette raison, qualifier de « centaure »[1], traite de la naissance de la tragédie attique, des motifs esthétiques qui l’ont inspirée et des causes de sa disparition.

Projet du livre[modifier | modifier le code] Genèse et composition[modifier | modifier le code] La Naissance de la tragédie faisait partie d’un projet plus vaste, débuté vers mars 1870, projet d’une enquête sur la civilisation grecque, considérée, à la suite de Frédéric Schlegel, comme un tout[3]. Principaux thèmes[modifier | modifier le code] Dionysos. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Dans la mythologie grecque, Dionysos (en grec ancien Διώνυσος / Diốnusos ou Διόνυσος / Diónusos) est le dieu de la vigne, du vin et de ses excès, de la folie et la démesure, ainsi que du théâtre et de la tragédie. Il est le fils de Zeus et de la mortelle Sémélé. Il ne vit pas sur le mont Olympe : c'est essentiellement un dieu errant.

Il a été adopté par la Rome antique sous le nom de Bacchus (du grec ancien Βάκχος / Bákkhos, un de ses autres noms[1]), assimilé au dieu italique Liber Pater. Le mythe Naissance Jeunesse et exploits Dionysos installe son culte en Lydie, en Phrygie, en Perse et en Asie, et ne vient en Grèce qu'ensuite[7]. Désireux d'aller visiter sa mère aux Enfers, Dionysos demande l'aide d'un guide, Prosymnos, qui accepte de lui montrer le chemin en plongeant avec lui dans le lac de Lerne, qui communique avec le royaume d'Hadès.

Revenu des Enfers, Dionysos avait également arraché Sémélé au royaume des Ombres. Ses amours Fonctions. La Naissance de la tragédie. La démesure chez Nietzsche. Angèle Kremer Marietti (Une première forme de cet article a paru dans la Revue Internationale de Philosophie Pénale et de Criminologie de l’Acte, N° 5-6 – 1994, pp. 69-84.) 1. L’opposition Apollon-Dionysos dans la Naissance de la tragédie Nous posons pour acquis dès le départ de la symbolique nietzschéenne le symbole de la démesure avec Dionysos et le symbole de la mesure avec Apollon. Rappelons qu'Apollon, le dieu de la justice, de l'ordre, de la beauté, de la musique et de tous les arts, le maître de la lyre, est aussi le maître des oracles, le dieu de Delphes où il a son sanctuaire.

Ainsi que l'a établi la Naissance de la tragédie, première oeuvre publiée par Nietzsche - fin 1871, avec le millésime 1872 - l'antithèse mesure/démesure nous renvoie à l'antithèse Apollon/Dionysos. En termes de métaphore, Dionysos est le torrent endigué par Apollon, "sublime" étant la maîtrise artistique de l'horrible (selon la section 7 de la Naissance de la tragédie ). 2. Livre quatrième : Le marteau. 3. Friedrich Nietzsche. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Friedrich Wilhelm Nietzsche Philosophe allemand Époque contemporaine Friedrich Wilhelm Nietzsche (prononcé en allemand [ˈfʁiːdʁɪç ˈvɪlhɛlm ˈniːt͡sʃə], souvent francisé en [nit͡ʃ]) est un philologue, philosophe et poète allemand né le à Röcken, en Saxe-Anhalt, et mort le à Weimar, en Allemagne. Peu reconnu de son vivant, son influence a été et demeure importante sur la philosophie contemporaine de tendance continentale, notamment l'existentialisme et la philosophie postmoderne ; mais Nietzsche a également suscité ces dernières années l'intérêt de philosophes analytiques, ou de langue anglaise, qui en soutiennent une lecture naturaliste remettant en cause une appropriation par la philosophie continentale jugée problématique[1].

Biographie[modifier | modifier le code] Professeur de philologie à l'université de Bâle dès l'âge de 24 ans, il obtient un congé en 1879 pour raison de santé. Présentation générale de son œuvre[modifier | modifier le code]