Enluminures. Jean II le Bon, roi de France (1319 - 1364) – Paris - milieu du XIVe siècle – Peintures | Musée du Louvre. Allez au contenu Allez au menu principal Allez à la recherche Change language Accessibilité Soutenez le Louvre Accueil>Œuvres & Palais>Les incontournables Les incontournables Vous venez au musée du Louvre et ne souhaitez pas passer à côté de ses chefs-d'oeuvre ?
Rechercher une sélection Réinitialiser la recherche Sélections Louvre 29 sélections trouvées Nb par page : 9 - 15 - 30 Tri : Date de publication - Titre Informations pratiques Visites & Activités Expositions & Actualités Œuvres & Palais Arts & éducation Soutenez le Louvre Missions et fonctionnement Le Louvre dans le monde Les bases de données Presse Editions et Productions audiovisuelles Média en ligne Rubriques transverses Espace personnel S’inscrire Haut de page. Peintures murales - www.abbaye-saint-savin.fr. Haque partie de l’église a conservé l’essentiel de son programme pictural. On appréciera les différents cycles qui s'interpellent et dialoguent entre eux sur les murs et les voûtes des différents espaces de l’église.
Au porche d’entrée consacré au cycle de l’Apocalypse, il faut ajouter le programme dédié à la Passion et à la Résurrection du Christ, qui orne les parois et la voûte de la tribune haute. Toutes ces peintures de la tour porche se voient complétées, sur le berceau de la nef, par une cinquantaine d’épisodes de l’Ancien Testament, dont les thèmes ont été empruntés aux livres de la Genèse et de l’Exode. La voûte de la nef représente à elle seule une superficie de quelques 460m² ; le montage bout à bout des scènes qui la décorent formerait une bande de 168m de long sur plus de 2,5m de haut.
Transversales - Le musée imaginaire - Les oeuvres. Transversales - Le musée imaginaire - Les oeuvres. Bartolo di Fredi (vers 1330- Sienne 1410) Le retable de la trinité ( 4 panneaux ), 1397 Tempera sur bois Saint Christophe. Hauteur : 1,56 m. ; Largeur : 0,56 m. Saint Dominique. Hauteur : 1,56 m. ; Largeur : 0,49 m. La Visitation. Présentation de l’artiste : La carrière de cet artiste est relativement bien connue. Mouvement : L’école Siennoise de peinture en Italie s’étend du XIVe au XVe siècle et se développe parallèlement à l’art pictural de l’école Florentine, par un goût raffiné de la couleur, hérité de Byzance et par un souci précoce d’assimiler des modes d’expressions gothiques, ce qui la distingue des principes que l’on attribue traditionnellement à la Renaissance italienne.
Sujet : Quatre œuvres forment les éléments d’un retable que l’on nomme retable de la Trinité. Commentaire : La trinité : elle apparaît comme un grand panneau cintré représentant au centre Dieu le père assis sur un trône soutenant les bras de la croix où son fils est crucifié. Pistes pédagogiques : Transversales - Le musée imaginaire - Les oeuvres. Transversales - Le musée imaginaire - Les oeuvres. Domenico di Michelino (Florence 1417-Florence 1491) Triptyque de la Passion, vers 1440 Peinture sur bois.
Panneau central : Hauteur. 0,43 cm ; Largeur. 0,297 cm Panneaux latéraux : Hauteur. 0,43 cm ; Largeur. 0,15 cm Legs du Baron Hector Garriod 1883 Historique : Legs du Baron Hector Garriod en 1883. En 1932, Berenson attribue ce triptyque à Domenico Di Michelino, peintre fortement inspiré par Fra Angelico et Francesco Pesellino. Ainsi s’explique l’attribution initiale à Pesellino faite par Longhi en 1927, et reprise par Van Marle en 1928 et par M. Laclotte en 1956. Présentation de l’artiste : Domenico di Michelino naît à Florence en 1417 et meurt dans cette même ville en 1491.
Mouvement : L’école florentine est une des écoles italiennes de peinture qui se développe du XIIIe au XVIe Siècle ; on lui attribue traditionnellement les principes mêmes de la Renaissance italienne, rompant avec le goût byzantin régnant dans toute l’Europe. Sujet : Description et commentaire : Pistes pédagogiques : Transversales - Le musée imaginaire - Les oeuvres. Anonyme Retable de la Vierge, autour de 1470 ou 1480 Peinture à l’huile sur bois Hauteur : 120,5 cm, Largeur : 175,5 cm Historique : Ce retable est d’origine inconnue.
Il s’agit d’une œuvre confisquée dans la région par les autorités révolutionnaires en 1792. Elle n’est pas réclamée lors de la restitution des biens à leurs propriétaires. La face arrière des panneaux représentant St François et St Louis de Toulouse, élevé par les franciscains, nous indique qu’il devait appartenir à un couvent franciscain masculin, peut-être le musée aujourd’hui. Ou à un couvent franciscain féminin comme les Clarisses hors la ville, fondée à Chambéry en 1230. Restauration : A faire Présentation de l’artiste et contexte historique : Ce panneau provient d’un atelier local aujourd’hui inconnu. Mouvement : Ce panneau se rattache au gothique international. Sujets et commentaires : Ce panneau recto-verso fait partie d’un polyptyque consacré au cycle de la vie de la vierge. Saint François et Saint Michel. Transversales - Le musée imaginaire - Les oeuvres.
Lorenzo Di Credi ( école de ) (Florence 1456 ou 1459-60-Florence 1537) Le Christ au jardin des oliviers Huile sur toile Hauteur : 55 cm.; Largeur : 41,1 cm Legs du baron Hector Garriod, 1883 Historique : Cette attribution à l’école de Lorenzo di Credi date de 1975, mais qui sera remise en question en 1977 par Everett Fahy qui voit en cette œuvre « un travail anonyme toscan autour de 1500 ». Elle proviendrait de la collection Albergotti qui se trouvait à Arezzo. Présentation de l’artiste : Credi Lorenzo di, de son vrai nom : Lorenzo d’Oderigo, appelé aussi Barducci et Sciarpelloni par Vasari, est né en 1459( ?) Mouvement : L’école florentine est une des écoles italiennes de peinture qui se développe du XIIIe au XVIe Siècle ; on lui attribue traditionnellement les principes mêmes de la Renaissance italienne, rompant avec le goût byzantin régnant dans toute l’europe.
Sujet : Commentaire : Pistes pédagogiques :