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FM2028 The Art of screenwriting

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Library Catalog - Holdings Information. Etudes sur Paris de André Sauvage (1928. Artisan du cinéma, comme il se dénommait lui-même, né en 1891 à Bordeaux, André Sauvage est arrivé à Paris juste avant la Première Guerre mondiale pour embrasser une carrière de poète. Touche-à-tout aux talents fous, il se faisait une haute idée de la place de l'artiste dans la société et de ses possibilités d'expression, toutes formes confondues. Si « Choisir c'est vieillir » comme l'affirmait Philippe Soupault dans Les Dernières nuits de Paris, André Sauvage est resté jeune longtemps en dépit de l'ombre qui recouvre son oeuvre cinématographique et littéraire... Avant l'aventure cinématographique, Sauvage employa tous les moyens dont il disposait et ils étaient nombreux.

Musicien, il a commencé par gagner sa vie dans quelques cabarets bordelais. Avant d'être reconnu comme cinéaste et pionnier du documentaire, André Sauvage est pris par l'effervescence du milieu artistique et cinématographique des années 20. André Goerg à Cély et La Traversée du Grépon Distributeur : CARLOTTA. Cinéma, expositions et musée - La Cinémathèque française. Forum des images. La presse cinématographique sous l'occupation. La défaite française et l’Occupation allemande entraînent des changements radicaux pour la presse. La presse cinématographique, quant à elle, enregistre de nombreuses disparitions de titres et on assiste à une régression tant qualitative que quantitative.

En effet, des 78 titres répertoriés en 1939 dans l’annuaire Tout cinéma (51 à Paris, 27 en province), seuls 17 (4 à Paris, 13 en province) continuent à paraître après l’armistice de juin 1940. La grande variété qui faisait la richesse de la presse de cinéma d’avant-guerre va pâtir d’un recul manifeste du courant critique, né dans les années 1920, représenté entre autres par La Gazette des sept arts de Riciotto Canudo, Cinéa de Louis Delluc, ou Photo-ciné et Cinégraphie de Jean Dréville. Ce courant, qui a donné au 7ème art une légitimité artistique, a fait découvrir aux lecteurs français des cinématographies étrangères et a promu un cinéma d’avant-garde (Dulac, Epstein…) s’efface au profit d’une presse beaucoup plus populaire.

"Ma Samaritaine 2013" Carte blanche à 11 jeunes photographes. La Samaritaine se prépare à renaître, transformée en un grand quartier de vie contemporain, abritant un Grand Magasin, un Palace, des bureaux, une crèche et des logements sociaux. Entièrement décloisonnée, ne gardant visible que sa structure de verre et d’acier et son décor d’origine, elle s’offre au regard, dans cet état transitoire. Dans le cadre de la constitution d’une image globale du projet, avec l’envie forte d’ancrer le projet dans l’actualité de la création et de l’expression, onze jeunes photographes se sont vus confier par l’équipe de la Samaritaine une carte blanche. Ils ont dû, après repérage, réaliser entre 5 et 25 photographies, qu’ils ont organisées à leur guise pour, à l’aune de leur regard et de leur sensibilité, s’exprimer et dire ce que le lieu faisait naître en eux. Au résultat, onze regards différents, parfaitement différents, qui réinventent le lieu, le prennent pour prétexte à retrouver leur univers singulier.

Les Photographes.