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Les villes au coeur de l'économie de demain, verte et durable : vers la Ville Positive. Cette année, le sujet s’est porté naturellement sur la ville, car depuis 2008 plus de la moitié de la population mondiale est urbanisée et cela ne cesse d’augmenter. Cette urbanisation a des impacts sur le capital humain et naturel. Les questions de consommation et de production d’énergie, de mobilité, d’alimentation, de traitement de l’eau et des déchets sont autant de challenges à relever pour des villes de plus en plus étendues et denses. Cette conférence se veut être en rupture totale avec le discours actuel sur la ville durable. La ville durable, telle que définie aujourd’hui, s’efforce de limiter ses impacts sur l’environnement mais ne les supprime pas : réduction de la consommation d’énergie fossile, mais consommation tout de même, faibles émissions de carbone, mais émissions, réduction de la consommation d’eau, mais qui existe toujours.

Comment réduire la consommation d’énergie de la ville positive ? ­ Les émissions de CO2 pourraient augmenter de 20 % d'ici à 2035. Alors que l'enjeu climatique a largement régressé dans un agenda international accaparé par la crise économique, l'Agence internationale de l'énergie (AIE) publie un rapport annuel des plus alarmistes pour le changement climatique, mercredi 9 novembre. L'agence, bras énergétique de l'Organisation de coopération et de développement économique (OCDE), qui réunit 28 pays parmi les plus riches, s'attend ainsi à une hausse de 20 % des émissions de dioxyde de carbone (CO2) d'ici à 2035, portant l'augmentation de la température de la planète sur une trajectoire de plus de 3,5 degrés Celsius.

"La porte des deux degrés" de hausse de la température dans le monde, qui est l'objectif de la communauté internationale, "est fermée" si les gouvernements n'engagent pas de nouvelles actions d'ici à 2017, prévient l'AIE. L'AIE invite donc les Etats à investir "sans tarder" pour réduire la facture. Edgar Morin : « Nous avançons comme des somnambules vers la catastrophe » Pourquoi la vitesse est-elle à ce point ancrée dans le fonctionnement de notre société ? La vitesse fait partie du grand mythe du progrès, qui anime la civilisation occidentale depuis le XVIIIe et le XIXe siècle. L’idée sous-jacente, c’est que nous allons grâce à lui vers un avenir toujours meilleur. Plus vite nous allons vers cet avenir meilleur, et mieux c’est, naturellement. C’est dans cette optique que se sont multipliées les communications, aussi bien économiques que sociales, et toutes sortes de techniques qui ont permis de créer des transports rapides.

Je pense notamment à la machine à vapeur, qui n’a pas été inventée pour des motivations de vitesse mais pour servir l’industrie des chemins de fer, lesquels sont eux-mêmes devenus de plus en plus rapides. Tout cela est corrélatif par le fait de la multiplication des activités et rend les gens de plus en plus pressés. Nous sommes dans une époque où la chronologie s’est imposée. Cela est-il donc si nouveau ? En quelque sorte si. Oui ! Environnement | Développement durable et écologie sur Futura-Environnement. Les tablettes sont désormais éco-responsables. Contrairement aux écrans, PC (fixes et portables), vidéo projecteurs et autres casques, les tablettes tactiles échappaient jusqu’alors à la labélisation éco-responsable. Une situation désormais révolue. TCO Development, organisme de promotion de l’éco-responsabilité dans la conception des produits électroniques, vient d’étendre sa certification aux tablettes tactiles.

Première élue, la Slate PC Series 7 de Samsung se voit attribuer un label témoin du respect de standards d’efficience énergétique. Fort de ce certificat vers, les constructeurs de terminaux en accord avec les normes de TCO Development bénéficieront d’un droit d’apposition du logo distinctif élaboré à cet effet, dénommé Certified Tablets et représentatif d’un engagement en faveur du Green IT. Un référentiel de mesure des impacts sur l’environnement Présentée en septembre dernier à l’occasion du salon IFA de Berlin, la Slate PC Series 7 a l’honneur d’inaugurer les débats. 450. L'état réel des eaux en France : une vérité qui dérange. Pour Hélène Roche, présidente du Comité Scientifique du WWF France, spécialiste au CNRS de l’évaluation des effets des substances chimiques dans les écosystèmes aquatiques, "on va ainsi pouvoir officiellement déclarer que certaines rivières sont « en bon état chimique » alors qu’elles sont contaminées par des substances dont les protocoles de mesures sont mal codifiés ou par des molécules qui ne sont tout simplement pas prises en compte – les PCB par exemple.

Les rivières seraient donc officiellement en bon état alors qu’une contamination importante menace les espèces aquatiques et la biodiversité. Avec une telle sous-évaluation de la situation, on ne s’étonnera pas qu’un certain nombre d’espèces très sensibles aux polluants chimiques, comme les batraciens, figurent parmi les espèces aquatiques les plus menacées".

Une surveillance biaisée Le WWF France soulève trois problèmes majeurs à l’origine d’une surveillance biaisée des eaux superficielles et souterraines : Comment nourrir 9 milliards d’humains sans détruire la planète. La démographie sera assurément l’un des enjeux majeurs de notre siècle. Alors qu’un milliard d’êtres humains souffrent déjà de malnutrition, la population mondiale ne cesse de croître, pour atteindre sept milliards à la fin octobre, et plus de neuf milliards d’ici 2050. Dans le même temps, l’agriculture, qui ne parvient plus à nourrir toutes ces bouches, pollue toujours plus la planète, en dégradant les sols, les nappes phréatiques, la biodiversité et en rejetant 20 % des émissions de gaz à effet de serre mondiales. Alors, comment concilier population grandissante et préservation de l’environnement et du climat ? C’est à cette question cruciale qu’a tenté de répondre une équipe internationale de chercheurs, canadiens, américains, suédois et allemands.

. « C’est la première fois qu’un tel éventail de données a été rassemblé au cours d’une même recherche. L’équipe a ainsi élaboré un plan en cinq points pour nourrir une population affamée sans détruire une planète menacée : Non aux fruits et légumes laissés pour compte ! Sus au gaspillage dans les jardins et vergers ! Fautes d'être récoltés, de nombreux fruits pourtant parfaitement consommables finissent leur vie ratatinés sur un trottoir ou rabougris dans un jardin abandonné. Plus grave : ils n'arrivent pas jusqu'aux personnes en difficulté financière, qui pourtant en auraient besoin. Las de ce constat, Thierry Deiller est parti en guerre contre ce gaspillage [...] Abonnez-vous pour avoir accès à cet article immédiatement ! Abonnez-vous à dijOnscOpe à partir de 5 €/mois.

Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout dijOnscOpe ! Je m'abonne En savoir plus ici (PDF) Déjà abonné ? Les Autolib’ paradent avant de débarquer à Paris. Notez cet article : le 01/10/2011 à 05:00 Vu 442 fois £ Les Bluecars, qui seront les véhicules électriques disponibles pour Autolib’, ont été présentées hier à Vaucresson, près de Paris. Les stations Autolib’ ont également été dévoilées. Photo AFP Le dispositif, encore en phase de tests, deviendra accessible au grand public le 5 décembre, avec au moins 250 véhicules. Philosophie du projet : inciter à renoncer à sa voiture en offrant l’usage ponctuel de véhicules, à la fois économiques et écologiques visant à réduire les nuisances sonores et olfactives en Ile-de-France. « Je suis convaincu que les riverains vont plébisciter ce système qui permettra aux villes d’entendre le bruit des oiseaux et de ne pas avoir plus d’odeur », a déclaré le P-dg du groupe diversifié Vincent Bolloré, qui fabrique la Bluecar en collaboration avec l’italien Pininfarina.

Un panel de transports plus étoffé Pour atteindre un seuil de rentabilité estimé par M. Le système « moins tu jettes, moins tu paies » au test. Notez cet article : le 03/10/2011 à 05:01 | thierry dromard Vu 1585 fois En 2012, Sennecey-le-Grand et St-Gengoux-le-Nal testent ensemble la facturation « à la levée », incitation à ne sortir son bac à ordures pour la benne que lorsqu’il est plein. Photo Gilles Dufour Depuis plusieurs années, les Saône-et-Loiriens sont invités à trier leurs déchets par le système du double bac ou des points d’apports volontaires des déchets recyclables.

Avec pour seule sanction de leur laxisme un refus de vider le bac non conforme (cas extrême) et une inflation collective de la taxe d’enlèvement de leurs ordures ménagères. Le test annoncé pour mai 2012 de la « redevance incitative » dans les communautés de communes « Entre Saône et Grosne » (Sennecey-le-Grand) et « Entre Grosne et Guye » (Saint-Gengoux-le-National) propulse la Saône-et-Loire dans une ère nouvelle. 160 % d’inflation « En 7 ans, notre taxe d’ordures ménagères a subi une inflation épouvantable, +160 %.

Bourgogne : L'université s'engage dans le plan vert national des universités. Écologie : ce qui a changé en 20 ans. Notez cet article : le 19/09/2011 à 05:00 Vu 207 fois Utiliser l’eau du robinet sans la gaspiller un geste devenu réflexe. Photo Gilles Dufour. La dernière étude du Credoc, publiée au mois d’août, passe à la loupe nos comportements environnementaux et note de réelles évolutions : Je coupe le robinet : C’est l’effort le plus notable dans nos comportements, 66 % des Français disent faire attention à ne pas gaspiller l’eau du robinet. La voiture au garage : L’automobile commence à perdre son statut de reine des centres-villes.

Recyclage mon amour : Le sac réutilisable est devenu la star de vos courses. J’achète responsable : Le bio fait son trou. 52 % des personnes disposant de moins de 900 euros par mois consomment du bio, contre seulement 20 % en 1995. La Saône-et-Loire a repeint son quotidien en vert. Tout le monde veut sauver la planète, mais personne ne veut descendre les poubelles », écrivait Jean Yanne il y a presque 20 ans.

Nous serions donc écologistes de cœur, mais d’incorrigibles pollueurs dans la réalité ? En fait, de moins en moins si l’on en croit la dernière étude du Credoc (lire ci-contre). Depuis une vingtaine d’années les Français commencent à passer des bonnes intentions aux bonnes pratiques. Nous trions mieux nos déchets, gaspillons moins l’eau et évitons de « chauffer la rue. » En Saône-et-Loire, les pistes cyclables continuent de se développer, le covoiturage a trouvé ses fidèles, tout comme les produits bio sur nos marchés. « On n’est pas encore dans une société écologique, mais on y va doucement.

Une politique offensive En Saône-et-Loire, le Conseil général compte déjà parmi les acteurs les plus investis dans l’écologie du quotidien. Quels gestes demain ? Et dans l’avenir quels seront nos nouveaux gestes écolos ? Ma vie sans carbone: à Paris, les mains dans le compost.

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Www.facebook.com/l.php?u=http%3A%2F%2Fwww.scoop.it%2Ft%2Fzazibao-reseaux-sociaux%2Fp%2F402921610%2Fusa-utiliser-les-reseaux-sociaux-pour-controler-les-maladies-contagieuses-green-et-vert&h=wAQC6a1z7AQAacs9u1IUvy5FMoW2WnFN61fB6Wl5Np4rTXg. 7 sites pour donner, louer ou recycler ce que vous n’utilisez plus. Il était une fois - Electrolux nettoie la mer. En jouant son rôle de société responsable, l’entreprise d’électroménager a réussi à impliquer plus de 175 millions de personnes dans son projet environnemental en faveur des océans tout en boostant les ventes de 300% de Green Range, son «aspirateur vert». De quoi décrocher un Lion d’Or en RP à Cannes! “Océans”, le film, de Jacques Perrin et Jacques Clouzaud, le montre sans concession, les ordures jonchent dramatiquement les mers.

Pourtant, cette pollution maritime n’est pas une cause perdue. Electrolux a décidé de le démontrer en créant Green Range, une nouvelle gamme d’aspirateurs fabriquée à 70% avec du plastique récupéré dans le fonds des océans puis recyclé. En effet, partant du constat qu’il manque sur terre le matériau pour créer du plastique recyclé, le groupe suédois a choisi d’aller le chercher dans les fonds marins, là où il est en quantité astronomique au point de représenter -s’il était réuni- deux fois la taille du Texas! Florence Berthier. Toulouse accueillera le 4 juin un GreenCamp dédié à l’éco-mobilité. Ecofrugal Project : Dépenser moins | Vivre mieux | Agir maintenant.

Ministère du Développement durable. Reverse Graffiti : le tag nettoyant | CitaZine. Vous souvenez-vous, en mai dernier, de l’étonnante campagne publicitaire de Mappy ? À l’occasion de la sortie de son application mobile des transports en commun, la marque a balisé l’ensemble de la capitale de son logo. 225 marquages au sol, à la sortie des stations de métros les plus fréquentées. Un instrument de marketing Cette prise d’assaut urbaine entre dans le domaine de la guérilla marketing.

Un terme un brin barbare qui définit des techniques de marketing non conventionnelles et surtout, à petit prix. But ultime ? Procédé utilisé ? Pour la campagne Mappy, il aura fallu une semaine d’interventions nocturnes, deux puis trois équipes de travail à pied d’œuvre. « Il fallait qu’on place les pochoirs dans des lieux de passages. Jean-Baptiste Amice est tout à fait confiant. Le green graffiti est bien sûr tout à fait légal, puisqu’il s’agit de nettoyer un patrimoine urbain noircit par la pollution. Une expression du Street Art Autre artiste urbain, Alexandre Orion. Pour une société du partage | Consommation Collaborative. Cet article est le premier d’une série d’articles qui seront publiés sur shareable.net en français.

Vous pouvez retrouver cet article sur Shareable. “Les consciences changent quand se produisent, conjointement, une révolution de la production d’énergie et une révolution des communications. Quand les deux se combinent, c’est bien tout notre rapport à l’espace et au temps qui change, notre modèle de civilisation. Et notre empathie qui s’élargit. . ” « Dans un monde de partage, des projets comme le partage de voitures, le troc de vêtements, les vélos en libre-service, les crèches parentales, l’habitat partagé rendent la vie moins chère à vivre, ravivent le lien social et diminuent notre empreinte écologique. Ce paragraphe, issu et traduit de shareable.net, nous invite à comprendre le phénomène du libre et du partage. L’évolution rapide des modes de vie a permis de vivre « plus » : plus libres, plus riches, plus rapides… Mais vivre plus n’est pas forcément vivre « mieux ». We are what we share.