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Cronos. Zeus. Jupiter (XVIe) Benvenuto Cellini Museo Nazionale del Bargello, Florence Zeus, (Ζευς) dieu suprême des Grecs, est le fils de Cronos et de Rhéa, et l'époux d'Héra; il hérita lors du partage du monde entre ses frères Poséidon et Hadès, de la souveraineté sur les airs et les terres émergées. A l'origine, personnification du ciel clair et des phénomènes célestes, Zeus devint le dieu souverain des dieux et des hommes, ordonnateur du monde et garant de ses lois. Selon Homère, Zeus habite l'Ether c'est-à-dire la région calme et magnifique qui s'étend au-dessus de l'atmosphère terrestre, bien au delà des nuages et des tempêtes.

Les montagnes, dont les sommets, baignés de lumière et d'air pur, semblent s'élever jusqu'à l'Ether, sont ses trônes et il n'est guère en Grèce de lieux en hauteur sur lesquels Zeus n’ait été adoré. Mais sa résidence la plus connue se situe sur l'Olympe où se trouve son magnifique palais construit par Héphaïstos au milieu des palais des autres Olympiens. Héra. Le char de Junon par TIEPOLO (détail) Fille des titans Cronos et de Rhéa, Héra (Ηρα) était la reine du ciel et de l'Olympe.

Elle avait été avalée dès sa naissance par son père mais son frère Zeus avait su la rendre à la vie. Epouse et sœur aînée (selon Homère) de Zeus, elle partageait avec lui la souveraineté sur le ciel et la terre. Héra était primitivement la souveraine du ciel, la vierge céleste (d'où son surnom de Parthénia), tout à fait indépendante de Zeus. Son mariage avec celui-ci fut imaginé plus tard, pour expliquer la fusion de deux cultes d'abord distincts. Son nom semble être une survivance d'un nom pré-grec d'une grande déesse, sans doute une des puissantes divinités du panthéon des Minoens, ou des Pélasgiens non identifiée.

Ses temples d'Argolide et de Samos datent du VIII ième siècle avant notre ère et comptent parmi les toutes premières constructions élevées en Grèce. Elle fut identifiée de bonne heure à Junon par les Romains. Le paon d'Héra Héra Mariage. Hermès. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Dans la mythologie grecque, Hermès (Ἑρμῆς / Hermễs en grec, Ἑρμᾶς / Hermãs en dorien) est une des divinités de l'Olympe. Il est le messager des dieux, donneur de la chance, l'inventeur des poids et des mesures, le gardien des routes et des carrefours, des voyageurs et du commerce. Il guide les héros et conduit leurs âmes aux Enfers. Il est également le maître des voleurs. Hermès dans l'Antiquité[modifier | modifier le code] Mythe antique[modifier | modifier le code] Jeunesse[modifier | modifier le code] Poursuivant son premier dessein, il gagne le soir même la Piérie où paissent les troupeaux divins[9].

Quand Apollon découvre son voleur, Hermès commence par prétendre être un nouveau-né sans malice, proposant même de jurer de son innocence sur la tête de Zeus[14]. Amours et descendance[modifier | modifier le code] Parmi ses autres enfants, on compte notamment : Fonctions[modifier | modifier le code] Les trois Hermès[modifier | modifier le code] Athéna aux yeux pers - Vie des Mots. Pandore. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Dans la mythologie grecque, Pandore (en grec ancien Πανδώρα / Pandṓra, « le présent de tous ») est la première femme.

Elle est associée à la légende de la « boîte de Pandore » (en fait, une jarre). Elle est parfois appelée Anésidora, « celle qui fait sortir les présents des profondeurs », en fait « la Déesse de la terre qui préside à la fécondité ». Mythe[modifier | modifier le code] — Hésiode, Les Travaux et les Jours « Après avoir achevé cette attrayante et pernicieuse merveille, Jupiter ordonna à l'illustre meurtrier d'Argus, au rapide messager des dieux, de la conduire vers Épiméthée. Une fois installée comme épouse, Pandore céda à la curiosité qu'Hermès lui avait donnée et ouvrit la boîte, libérant ainsi les maux qui y étaient contenus. Interprétation[modifier | modifier le code] — Hésiode, La Théogonie Dans Les Travaux et les Jours, Hésiode décrit Pandore comme un « si beau mal » (καλὸν κακὸν / kalòn kakòn)[2]. Prométhée. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Généalogie[modifier | modifier le code] Mythe de Prométhée[modifier | modifier le code] D'après le pseudo-Apollodore, Prométhée aurait créé les hommes à partir d'eau et de terre[5].

Pausanias place la scène à Panopée en Phocide[6]. (Athéna, née en jaillissant de la tête de Zeus, introduit le souffle de la vie dans ces corps d'argile). Suivant les versions : Épiméthée[7] ne sachant que faire pour les Hommes, appelle à l'aide son frère qui imagine un plan pour favoriser l'humanité. Prométhée fait en sorte que l'Homme puisse tenir debout sur ses deux jambes, il lui donne un corps plus grand, distingué et proche de celui des dieux. Ayant découvert sa ruse, Zeus le punit pour avoir volé les Dieux. Il est puni, non pas pour avoir donné le Savoir aux Hommes mais pour avoir volé les Dieux: Épiméthée ayant failli, le don du "Feu" corrige son erreur. Interprétations[modifier | modifier le code] Le Prométhée platonicien[modifier | modifier le code] Chiron (mythologie) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Chiron.

Le nom de Chiron est issu du grec ancien Χείρων / Kheírôn), dérivé du mot grec Kheir qui signifie main[1], il peut être mis en relation avec les Dactyles, (doigts), anciens maîtres de l'art de la métallurgie et des guérisons magiques dans la mythologie grecque. Cette racine étymologique évoque aussi l'habileté avec les mains, et pourrait être liée aux compétences de Chiron en chirurgie[2].

Comme la plupart des mythes grec, l'histoire de Chiron est racontée par fragments par plusieurs poètes. — Apollonios de Rhodes, Argonautiques (2. 1231) De là vient le fait que Chiron soit mi-homme, mi-cheval, et ait l'apparence d'un centaure[2]. Il est considéré comme une divinité mineure car il s'était vu offrir l'immortalité[2]. Un vase représentant Chiron et Achille.

Énée est un guerrier valeureux qui affronta les Grecs pendant la guerre de Troie. Médos est l'homme qui a donné son nom au pays de Médie. Artemis. Artémis (Gr. 'Aρτεμις; Lat. Artemis) était une des grandes divinités du panthéon grec, qui sera identifiée plus tard à Diane des Romains. Fille de Zeus et de Léto, elle était la sœur jumelle d'Apollon et souvent associé à ses exploits.

Elle fait partie des douze Olympiens. En réalité, il y eut sous ce nom plusieurs divinités très différentes: l'Artémis hellénique, déesse lunaire, est bien différente de l'Artémis sanguinaire de Tauride Diane de Versailles ©Musée du Louvre Belle et grande jeune femme aux boucles d'or (Hippolyte, Euripide, 73 sqq.) qui dépassait d'une tête toutes ses suivantes, Artémis se plaisait dans les champs, dans les bois et près des sources ; elle aimait la chasse, et poursuivait les bêtes fauves.

C'est la déesse des femmes, surtout des jeunes filles vierges. Ses attributs sont l'arc d'or, les flèches, le carquois ou encore la torche (statues du Vatican) et le croissant de lune qui ornait son front. Diane VOUET en 1637 © Hampton Court. EURYDICE et ORPHEE - Société psychanalytique du champ freudien. Eurydice ET Orphée AS COHEN Raconter des histoires reste une occupation délicieuse dont les êtres humains raffolent. Elles traversent plusieurs disciplines : Les médias, la littérature, le théâtre, la danse, l’histoire etc… Les psychanalystes, avec et après FREUD, n’ont cessé de relater quelques histoires de cas.

Certains cas sont devenus célèbres et ont reçu comme patronymes le signifiant de leur symptôme : « l’homme aux rats », l’homme aux loups… le cas Dora… joyce le Sinthôme. Raconter l’histoire d’un cas en psychanalyse et les problèmes que ça pose, est une façon pour l’analyste de poser son savoir de psychanalyste : C’est une illustration littéraire de l’espace psychanalytique, c’est à dire du transfert : Comment se passe la rencontre ? Comment s’établit le contact dans le dicible et l’indicible de cet espace ? Comment se manifestent le symptôme et les symptômes ? Voilà une belle histoire d’amour qui a fait couler beaucoup d’encre, et même des opéras. La solution ? Ah !