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Traffic d'influence et corruption

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Le jury américain commence ses délibérations dans le procès pour corruption de 1MDB de l'ex-banquier de Goldman. Les procureurs affirment que Roger Ng, l'ancien principal banquier d'affaires de Goldman pour la Malaisie, a aidé son ancien patron Tim Leissner à détourner de l'argent de 1MDB, à blanchir les produits et à corrompre des fonctionnaires pour obtenir des contrats pour Goldman. Le fonds malaisien avait été fondé pour réaliser des projets de développement dans ce pays d'Asie du Sud-Est. Ng, 49 ans, a plaidé non coupable de conspiration pour blanchir de l'argent et de violation d'une loi anti-corruption. Ses avocats ont déclaré que Leissner, qui a plaidé coupable à des accusations similaires en 2018 et a accepté de coopérer avec les procureurs, a faussement impliqué Ng dans l'espoir de recevoir une peine plus clémente.

Les accusations découlent de l'un des plus grands scandales financiers de l'histoire. Leissner a déclaré que les hommes avaient convenu de raconter aux banques une "histoire de couverture" selon laquelle l'argent provenait d'une entreprise commerciale légitime entre leurs épouses. Trump nomme un ex-Goldman Sachs comme dir com' Exit Sean Spicer, Anthony Scaramucci entre en scène. Donald Trump a annoncé ce vendredi la nomination de cet homme d'affaires et ancien banquier de 53 ans, très présent sur les plateaux de télévision pour défendre le président américain, au poste de directeur de la communication de la Maison blanche.

Il remplacera Michael Dubke, qui a démissionné en mai dernier. Dans la foulée, le porte-parole de la présidence, Sean Spicer, en désaccord avec cette nomination, a annoncé sa démission. Issu d'une famille d'origine italienne de la classe moyenne, Anthony Scaramucci, diplômé de Harvard, a commencé sa carrière chez Goldman Sachs, dont il se fait licencier puis réembaucher.

Il y restera sept ans, dans la vente d'actions, de dérivés, ou la gestion de fortune. Platine et palladium: Goldman Sachs, HSBC, BASF accusés de manipuler les prix | Automobile. Les banques américaine Goldman Sachs, britannique HSBC et sud-africaine Standard Bank, ainsi que le groupe de chimie allemand BASF, sont visés par une plainte aux Etats-Unis pour manipulation sur les prix du platine et du palladium. La plainte, consultée mercredi par l'AFP, a été déposée devant un tribunal de Manhattan par le cabinet d'avocats Labaton Sucharow au nom de Modern Settings LLC, une société américaine spécialisée dans les montures de bijoux. Si elle est validée par un juge, elle a vocation à devenir "le premier recours national en nom collectif" contre ces négociants des deux métaux, utilisés en joaillerie ou dans l'industrie automobile par exemple, a précisé le cabinet d'avocats dans un communiqué. Goldman Sachs, HSBC, Standard Bank et BASF Metals, la branche de courtage de métaux de BASF, organisent actuellement deux fois par jour une téléconférence pour fixer le prix de référence ("fixing") du platine et du palladium.

Les révélations chocs sur les liens entre la Fed et Wall Street - Les Echos. Economie - Alcool, femmes et nuits de fête : comment Goldman Sachs aurait séduit la Libye. Goldman Sachs: les incroyables enregistrements d'une employée de la Fed - Finance. Elle s'appelle Carmen Segarra. C'est une ancienne juriste de banque qui a été engagée par la Réserve fédérale de New York en 2011. A été licenciée sept mois plus tard. Aujourd'hui, ses révélations mettent le monde bancaire américain en ébullition. Cette jeune femme était en une des inspectrices en charge de Goldman Sachs. Elle avait été engagée lorsqu'en 2011, un rapport secret avait enjoint la Fed, le gendarme des banques américaines, d'engager des francs-tireurs.

Pour effectuer un contrôle véritable sur les géants de Wall Street, il fallait des fortes personnalités, des gens qui gagnaient peut-être 150.000 dollars par an, mais qui n'avaient pas peur de dire leur quatre vérités à des managers gagnant dix, vingt ou trente fois plus. Carmen Segarra, donc, rejoint le Fed de New York fin 2011. Les indulgences de la Fed La Fed de New York, sans pitié pour BNP Paribas ou Bank of America, est d'une indulgence étonnante pour Goldman Sachs.

L'ancienne employée ne se décourage pas. Révélations à Wall Street : les enregistrements secrets qui font trembler Goldman Sachs et la Fed (ou quand les pires fantasmes se concrétisent) Des documents audio gardés secrets ont été dévoilés ce vendredi aux Etats-Unis lors de l'émission de radio "This American Life". Ils avaient été recueillis un an plus tôt par le site de journalisme d'investigation "ProPublica".

Ces enregistrements mettent au grand jour les possibles connivences entre la New York Federal Reserve Bank, la Fed, et les institutions financières qu'elle est censée surveiller et contrôler. "Si ces documents étaient authentifiés, cela voudrait dire que le contrôleur était complaisant avec les contrôlés. En clair que la Fed ne faisait pas le travail qui lui était assigné en manifestant une trop grande complaisance envers les organismes qu'elle est censée contrôler" explique Antoine Brunet, économiste et président de la société d'analyse de la conjoncture et des marchés AB Marchés. Michael Lewis, journaliste américain spécialiste de la finance, qualifie ces enregistrements "d'extraordinaires" dans un article publié sur le site Bloomberg View.

Et c'est peu dire. Enquête ouverte sur les liens entre Goldman Sachs et le régime de Kadhafi. Amende pour Goldman Sachs et Bain Capital. Goldman Sachs sous le coup de nouvelles enquêtes aux Etats-Unis, Actualités. La CE va sanctionner Goldman Sachs, Prysmian et Nexans-sources. Goldman Sachs aussi a blousé Kadhafi… La liste des bénéficiaires des largesses et de la naïveté auto-proclamée des dirigeants libyens s’allonge de jours en jours. Tout comme se multiplient de la part du nouveau pouvoir, les invitations à rendre le flouze… Alors que se fait plus vraisemblable le financement de la campagne électorale de 2007 du Petit Nicolas par une puissance étrangère pas franchement amie, ce qui ne manquera pas de soulever de douloureuses et inédites questions de morale et de droit sur cette rive-ci de la méditerranée, le nouveau pouvoir libyen semble vouloir régler ses comptes avec ceux, et ils sont nombreux, qui se sont goinfrés sur le dos de l’ancien.

Rétrospectivement, il faut admettre que c’était tentant ; notamment pour les banksters qui bavaient comme des épileptiques devant la grosse soixantaine de milliards de dollars d’actifs du fonds souverain libyen dénommé Libyan Investment Authority (LIA) dont la mission consiste à faire fructifier le produit des exportations de pétrole et de gaz du pays. Les dessous de l'écotaxe : quand Benetton et Goldman Sachs collectent l'impôt français. Après six ans de reports et d’atermoiements, l’écotaxe poids lourds est devenue un sujet explosif.

Et le gouvernement n’en finit plus de s’empêtrer dans des reculades qui le décrédibilisent. Les critiques se focalisent sur le coût de la taxe pour les transporteurs et les agriculteurs. Pourtant, l’essentiel est ailleurs : pour la première fois, la collecte d’un impôt est confiée à des entreprises privées. L’État a fait le choix de déléguer le recouvrement de l’écotaxe à un prestataire, par le biais d’un contrat de partenariat public-privé. Le produit de la perception de la taxe, estimée à 1 200 millions d’euros par an, sera reversé à l’administration des douanes. . « Un retour à la Ferme Générale de l’Ancien Régime ! Benetton, Goldman Sachs, Thales et SFR, collecteurs d’impôt « Le coût global du contrat de partenariat, bien qu’élevé, ne semble pas surestimé », conclut Marie-Hélène Des Esgaulx devant la commission des Finances. Les rentrées fiscales passeront-elles par les paradis fiscaux ? La justice s'intéresse aux liens entre Goldman Sachs et la Fed.

Une ex-inspectrice de la Fed accuse ses supérieurs et la banque centrale elle-même de l'avoir licenciée en raison de ses opinions trop sévères envers Goldman Sachs, la plus puissante et controversée banque de Wall Street. C'est l'histoire d'une ancienne salariée de la Réserve fédérale de New-York, qui refuse de se laisser marcher sur les pieds. Carmen Segarra, ex-inspectrice de la maison, poursuit en justice l'institution qui l'a employée d'octobre 2011 à mai 2012. Elle accuse ses supérieurs et la banque centrale elle-même de l'avoir licenciée en raison de ses opinions trop sévères envers Goldman Sachs, la plus puissante et controversée banque de Wall Street. Carmen Segarra espère profiter de son procès pour mettre en lumière les liens très étroits qui uniraient les fonctionnaires de la Réserve fédérale avec les champions bancaires.

Carmen Segarra se présente devant les juges comme une nouvelle Antigone, unique personnalité intègre dans un environnement acquis à la cause bancaire. Goldman Sachs: Robert Zoellick engagé pour du lobbying ? Le recrutement de Robert Zoellick, ex-président de la Banque mondiale (2007-2012), qui s'apprête à rejoindre la banque d'investissement Goldman Sachs, fait parler. Attendu pour occuper le poste de président de l'organe de conseil international - qui est chargé d'identifier des opportunités d'investissement à l'étranger pour les clients de la banque -, Zoellick n'en est pas à son coup d'essai. Avant de diriger la Banque mondiale de 2007 à 2012, Zoellick avait déjà travaillé pour Goldman Sachs en tant que vice-président de l'établissement, chargé de l'international.

Une banque tentaculaire qui recherche des passe-droits ? Sa présence est un bonus non négligeable pour obtenir encore plus d'influence selon Lloyd Blankfein, PDG de Goldman Sachs. "Zoellick a une connaissance extraordinaire de l'économie mondiale et s'est consacré à aider les économies émergentes à atteindre leur plein potentiel", a-t-il déclaré dans un communiqué de presse de la banque d'investissement. Luigi Lattuca (st.) Sarkozy invité de marque de Goldman Sachs à Londres. Nicolas Sarkozy poursuit sa lucrative tournée mondiale. L’ancien chef de l’Etat français est ce lundi 3 juin le convive de la banque d'affaires américaine Goldman Sachs à Londres, où il doit tenir cette après-midi une conférence sur la politique européenne à l'hôtel Intercontinental. Depuis qu'il a quitté l'Elysée, l’ex-président multiplie les conférences privées dans le monde, notamment auprès de banques.

L'occasion d'encaisser quelques généreux chèques pour chaque intervention et de cultiver son réseau dans les milieux économiques internationaux. Si l'ancien chef de l'Etat aime à entretenir le mystère sur ses rétributions de conférencier, Mediapart a calculé que, pour s'assurer la présence de l'invité de marque, Goldman Sachs aurait déboursé au minimum 76.587 euros, soit plus de 100.000 dollars - du moins si l'on en juge par les tarifs appliqués aux autres invités de même rang. "Connivences" Et d'ajouter : "C’est pas de la corruption, c’est un homme qui travaille pour Goldman Sachs.

Nicolas Sarkozy, conférencier pour Goldman Sachs - Page 3. Pour 100 000 dollars, Sarkozy se fait conférencier à Goldman Sachs. Dimanche 21 avril 2013 7 21 /04 /Avr /2013 12:02 Sarkozy le mafieux chez son parrain Goldman Sachs Nicolas Sarkozy va participer à une conférence à Londres, organisée par Goldman Sachs, le 3 juin prochain. Selon le site d'informations Mediapart, la banque d'affaires aurait même déboursé plus de 100.000 dollars pour s'assurer la présence de l'ancien chef de l'Etat. Sur le site web de la banque, le nom de l'ancien chef de l'Etat est effectivement mentionné. Depuis qu'il a quitté l'Elysée sans toutefois renoncer clairement à la politique, il a participé à diverses conférences. Il sera d'ailleurs le 25 avril prochain au Canada, invité par la Chambre de commerce du Montréal métropolitain pour évoquer "l'état de l'économie mondiale, des perspectives pour l'Europe, des nouveaux équilibres qui caractérisent la gouvernance mondiale", indique le site de la CCMM.

Source Partager l'article ! InShare Par wikistrike.com - Publié dans : Politique intérieure 0. Wall Street veut faire barrage à Obama. Les huit plus grands contributeurs financiers à la campagne de Mitt Romney sont des groupes de banquiers employés par les huit plus grandes institutions de Wall Street. Le total de leurs dons dépasse 4,7 millions de dollars. Manifestement, cette année, chez Goldman Sachs, Bank of America ou JPMorgan Chase, les énergies et les carnets de chèques se mobilisent pour faire perdre Barack Obama. C’est un revirement par rapport à 2008.

À l’époque, le jeune sénateur comptait beaucoup d’amis à Wall Street. Les cadres de Goldman Sachs avaient même donné à eux seuls plus d’un million de dollars au candidat démocrate. Ce ne sont pas les banques elles-mêmes qui financent les candidats. Une loi «idiote» Jamie Dimon, surnommé «le roi de Wall Street», patron de la plus grande banque des États-Unis, JPMorgan Chase, est un démocrate depuis toujours. Au moins trois dispositions de cette législation, baptisée «Dodd-Frank», du nom de ses auteurs au Congrès, mettent Wall Street colère.

Crise : les vrais responsables courent toujours. Wall Street : un ex-ponte de Goldman Sachs condamné à la prison. «Dalli Gate»: Le scandale qui empoisonne la Commission européenne. «Un vrai roman policier». La formule lâchée cette semaine par le député européen Daniel Cohn-Bendit résume à elle seule l’affaire qui secoue Bruxelles. Le 16 octobre, le commissaire européen en charge de la Consommation et de la Santé, le Maltais John Dalli, a démissionné de ses fonctions suite à sa mise en cause dans une enquête de l'Office européen de lutte antifraude (Olaf). L'Olaf a agi à la suite d'une plainte d'une entreprise suédoise, Swedish Match, qui dénonçait le fait qu'un entrepreneur maltais l'avait approchée en faisant valoir ses contacts avec le commissaire pour influencer une proposition de loi sur les produits du tabac.

Il s'agissait de lever l'interdiction de vente dans l'Union européenne du snus, une poudre de tabac humide à mâcher, fabriquée notamment par Swedish Match et dont la vente n'est autorisée qu'en Suède et en Norvège. Un sentiment de déjà vu Eviter une nouvelle humiliation pour la Commission M.B. avec AFP. NEW YORK • Comment Goldman Sachs a lâché Obama. Lorsque Barack Obama s’est lancé dans la course à la présidence en 2008, aucune grande société américaine n’a davantage contribué au financement de sa campagne que Goldman Sachs. Cette année, aucune n’a fait davantage pour contribuer à sa défaite. Révulsés par ce qu’ils considèrent comme des attaques contre leur activité et leur réputation, cadres et employés de Goldman Sachs ont en majotité abandonné M. Obama et constituent aujourd’hui les principaux soutiens financiers du candidat républicain Mitt Romney et du parti conservateur. Les employés de Goldman Sachs ont donné plus de 1 million de dollars à Obama en 2008.

Pour cette élection, ils n'ont versé que 136 000 dollars pour la campagne du président – soit moins que ce que Obama a collecté auprès des employés du département d’Etat. Preuve de caractère radical de ce revirement, cela faisait vingt-trois ans que la banque d'affaires new-yorkaise était le premier bailleur de fonds des démocrates. En mars, le PDG de la société, Lloyd C. M. Un ancien de Goldman Sachs condamné pour délit d'initié. L’AFFAIRE GOLDMAN SACHS : UNE JUSTICE CORROMPUE OU UN SECTEUR FINANCIER DEVENU INTOUCHABLE ? La première hypothèse qui vient à l’esprit devant la décision du Département de la Justice américain, vendredi, de ne pas poursuivre la banque Goldman Sachs pour les faits qui lui sont reprochés dans la crise des , est bien entendu celle de la corruption au sein de ce ministère. Les faits sont en effet connus et éminemment condamnables : ventes jouant sur la confiance de produits dépréciés aux meilleurs clients de la firme, organisation par celle-ci de paris et participation active de sa part à ces paris sur des titres adossés à des prêts hypothécaires, alors que ces titres ont été manipulés pour être de la pire qualité possible.

La question qui se pose alors est celle-ci : « Est-il envisageable qu’il ne s’agisse pas ici d’un cas de corruption ? ». Évoquer une « application trop faible des lois », c’est affirmer que le ministère de la justice est complice. Alors accusation de corruption de la part de M. Levin ? Goldman Sachs paie 12 millions de dollars pour clore des poursuites de la SEC - Flash actualité - Economie - 27/09. Argent de l'UMP : la liste secrète révélée ! BELLACIAO. Traffic d'influence, corruption. Pour son retour, Sarkozy choisit le « Goldman Sachs des tropiques » | Rue89 Politique.