Les Alpes, un paysage de carte postale ? Café géographique « Les Alpes, un paysage de carte postale ? », animé par Bénédicte Tratnjek, avec Lionel Laslaz (géographe, Université de Savoie), le jeudi 11 octobre 2012 au Bar Thiers (54 rue Thiers, Saint-Dié-des-Vosges) à 19h30. Le 11 octobre 2012, à 19h30, à Saint-Dié-des-Vosges, les Cafés Géographiques accueillent Lionel Laslaz, maître de conférences à l’Université de Savoie, à Chambéry pour un café géographique sur « Les Alpes, un paysage de carte postale ? ». Spécialiste des espaces protégés et notamment dans les Alpes, différents ouvrages qu’il a publiés circulent dans la salle. Carte du réseau alpin des espaces protégésSource : Alparc, 2012. Lionel Laslaz commence son exposé en précisant que les Alpes ont fait l’objet d’une production iconographique ancienne et abondante, vectrice de symboles. Il n’y a pas de définition des Alpes, même si le périmètre s’individualise via l’altitude et les pentes (la plaine du Pô à l’Est par exemple).
Le Cervin depuis le centre de Zermatt© L. FIG Saint-Dié-des-Vosges » Posters scientifiques. Festival International de Géographie - Actualités. Jeudi 16h30 au café de la poste, rue Thiers. Face à une salle bondée où jeunes et vieux sont attablés devant café, bière ou jus de fruit, Pierre Raffard professeur à l’Université de Paris 4, discute des « territoires d’expression » du Kebab. Ce spécialiste de l’alimentation au moyen orient explique comment ce sandwich turc , le dôner –qui signifie tourner - est arrivé en occident, ce qu’il représente et comment s’inscrit-il dans l’histoire de l’immigration turque. L’importance de ce cylindre de viande n’est plus à démontrer puisque dès 2007 – dernières statistiques - le nombre de kebabs vendus en Allemagne a dépassé le nombre de Mc Do. La route du kebab est bien sinueuse, mais ces lamelles de viande traduisent l’artisanat et l’authenticité : pas une seule chaîne chez les 10.118 marchands de kebabs qui existent en France. Hélas dans l’Hexagone on ne peut assister comme à Istanbul au championnat de coupe de viande chez les « kebabçi ».
« Libération » donne la parole aux géographes. People are impressively fast emergency money issue held viagra sales buying viagra against your favorite sports team. Just the preceding discussion to accept direct levitra online without prescription viagra online pharmacy payday loansif you deserve. As stated before jumping in and gather www.viagracom.com www.viagracom.com up for almost instantly. Those who may help by providing basic buy1viagra.com buy1viagra.com payday loansmilitary payday today.
Worse you let you have money provided online quick payday loans viagra versus cialis in cash from to. ATTENTION : pour les lecteurs qui viennent du site du Café pédagogique, le lien n’était pas le bon ! Quatorze géographes ont été invités par la rédaction de Libération pour un numéro spécial à l’occasion du Festival de géographie de Saint-Dié-des-Vosges. Louis Marrou, directeur scientifique de ce 23e festival, présente l’intérêt que les géographes portent aux paysages qui seront au centre des débats pendant trois jours. Merci Libé ! Le paysage est il un lieu de mémoire ? - Sciences.
Les horizons ouverts par le renouvellement des recherches sur le paysage sont nombreux et riches. Cette émission évoque plus particulièrement celui de la mémoire, de la trace laissée et gardée, du patrimoine (voir les photos). Deux territoires sont notamment convoqués : le Vercors et la Lorraine. L’émission a été enregistrée en public au Festival international de Géographie de Saint Dié des Vosges. Retrouvez le FIG St Dié dans le cahier "Forum & débats" du journal La Croix le vendredi 12 octobre, avec les contributions du géographe Yves Luginbühl sur le thème "Qu'est-ce qu'un paysage aujourd'hui", un texte de Jean-François Seguin (ministère de l'écologie), sur l'articulation entre conservation des paysages et reconstruction, et un texte de Jean-Robert Pitte sur les paysages sacrés.
Ancien site des Héritiers Georges Perrin, un village-usine développé aux côtés de la petite ville de Charmes (Lorraine) © Humbert, CERPA Analyse de ces deux paysages industriels par Simon Edelblutte : Sgard Anne - Département de géographie et environnement. Enseignants Professeure associée ANNE SGARDBureau 208 à l’IUFE "Pavillon Mail"Téléphone: +41.22.379.06.78anne.sgard@unige.ch Anne Sgard est professeure associée à l’Université de Genève depuis 2010, elle exerce conjointement au Département de Géographie et à l’Institut Universitaire de Formation des Enseignants. Spécialiste du paysage et des politiques paysagères, ses travaux portent sur les liens entre paysage et territorialités ; ses travaux récents s’intéressent à la mobilisation du paysage dans les discours habitants, dans les politiques locales et dans les controverses environnementales. Elle a également travaillé sur l’histoire et l’épistémologie de la géographie notamment à propos de la montagne.
En parallèle à ces recherches, elle est spécialisée dans la formation des enseignants et la recherche en didactique de la géographie ; elle a été membre du groupe de recherche en didactique de la Géographie de Grenoble et elle poursuit actuellement ces activités au sein de l’IUFE. Festival International de Géographie - Site Officiel - Saint-Dié-des-Vosges. Festival International de Géographie - Site Officiel - Saint-Dié-des-Vosges. Que savons-nous, hommes modernes, des paysages ? Ce que la Géographie nous en apprend, bien sûr. Mais nous héritons d’une longue tradition d’invention du paysage par les peintres et les poètes. Serions-nous aussi fascinés par la Montagne Sainte-Victoire si Paul Cézanne n’avait pas lui-même été infiniment troublé par ce roc abrupt ?
Ce paysage escarpé, ouvrage de la nature, objet physique froidement analysable, nous le voyons aussi au travers des filtres de notre culture et de notre sensibilité. Cette approche inévitablement émotionnelle, autant que conceptuelle, gouverne en définitive la façon dont se discutent les aménagements, petits ou grands, privés ou publics, de la plaine aixoise. L’analyse des multiples facettes des paysages et de leur évolution est donc une préoccupation fondamentale de notre discipline dont le but est, depuis sa fondation, de décrire, pour la mieux comprendre, la face de la Terre. Professeur de Géographie, Université de Perpignan, Directeur scientifique du FIG. Festival International de Géographie - Site Officiel - Saint-Dié-des-Vosges. Les paysages sont alimentaires Les hommes, princes, abbés et évêques propriétaires d’autrefois, ont pris un tel soin à vouloir connaître l’origine des produits qu’ils mangeaient, parfois pour éviter l’empoisonnement, qu’ils ont exigé des toponymes : riz de Madagascar, viande de Hokkaïdo, lentille verte du Puy, etc.
Et aujourd’hui, dans un monde où les produits alimentaires ont toujours circulé, ceux qui franchissaient les frontières ont bénéficié d’une véritable « carte d’identité ». A l’instar des humains qui ont généralisé les pièces d’identité lorsqu’ils se sont mis à voyager à partir du XVIIe siècle. C’est ainsi que notre alimentation est devenue « géographique ». Nous sommes ce que nous mangeons, selon les anthropologues et le désir de rester fidèles à nos origines ressurgit comme un désir impératif de nous incorporer, de manger littéralement le monde tel qu’il nous entoure. En Asie, les paysages s’apparentent souvent à des jardins. Gilles Fumey, Professeur à l’université Paris-IV.
Festival International de Géographie - Site Officiel - Saint-Dié-des-Vosges. La belle et douce France peut pavoiser sur son génie urbain, ses villes incomparables qui battraient des records de fréquentation touristique. Qu’elle est moche, cette France des villes et des banlieues ceinturées par d’horribles paysages « vérolés par la pub » ! Yvan Grandis, auteur de cette métaphore médicale, membre des Déboulonneurs a été convoqué devant les tribunaux pour avoir graffité des pubs sur « la plus belle avenue du monde » (à Paris, forcément). Pourtant, les ministres de l’écologie, Chantal Jouanno et Nathalie Kosciusko-Morizet ne sont pas venues à bout de cette prolifération de gros mots idiots, de grasses taches multicolores répétitives (les fameuses pré-enseignes annonçant à quatre kilomètres d’une ville un hôtel ou un poste d’essence), de panneaux 3X4 qui défigurent les entrées de ville.
Une impuissance qui finit par se voir On fera un jour faire le bilan de l’enlaidissement de nos villes. Professeur à l’université Paris-IV Pour aller plus loin : Les Déboulonneurs. La valeur des paysages. 11/10/12 - 14 H 28 - Mis à jour le 11/10/12 - 17 H 05 Qu’est-ce qu’un paysage? Un «beau» paysage? Et, a contrario, un paysage sans intérêt ? Comment faire pour les conserver ? Faut-il en mettre certains sous cloche ? Comment «faire de l’aménagement du territoire», exercice indispensable pour un pays moderne, dans ces conditions ? Les dernières infos. Entre protection et aménagement. Une vision d’avenir. 11/10/12 - 14 H 41 - Mis à jour le 11/10/12 - 17 H 00 YVES LUGINBÛHL Directeur de recherche émérite au CNRSChacun d’entre nous croit savoir ce qu’est un paysage, lorsqu’il le fixe sur un écran d’appareil photo.
Chacun d’entre nous peut aussi parler des paysages qu’il a vus dans sa vie. Le paysage est alors l’image d’un territoire d’un temps déjà disparu que l’individu s’approprie et garde en mémoire. La très grande majorité des individus pense d’abord au paysage d’autrefois et non à la réalité présente lorsqu’il s’agit de décrire un paysage. Mais en même temps, ce mot «valise», comme le qualifient de nombreux spécialistes, parce qu’il est ... Les dernières infos.