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1957-1980 Opérations homo. Une opération Homo est une opération d'élimination de personnes (assassinats ciblés), menée par le service Action des services spéciaux du renseignement extérieur de la France (SDECE puis DGSE).

1957-1980 Opérations homo

Selon l'ancien directeur de la DGSE Claude Silberzahn, les opérations homo, qui existent bel et bien, sont un « élément de stabilité dans le monde », mais la DGSE n'y a recours qu'avec « une extrême parcimonie et dans des conditions très précises »[1]. Guy Mollet donne son feu vert à plusieurs opérations homo en 1957[3]. Selon Vincent Nouzille, le directeur du SDECE, Paul Grossin, aurait accepté d'exécuter les opérations homo, à la condition qu'elles soient décidées par le pouvoir politique, qu'elles ne soient pas menées en temps de paix, qu'elles ne touchent jamais des citoyens français, et qu'elles n'aient jamais lieu sur le territoire français.

Grossin quitte ses fonctions en 1962[4]. Présidence de Charles de Gaulle[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code] 1980 cellules Alpha : « Les tueurs de la République » LLe permis de tuer n’est pas une lubie de scénariste des films d’espionnage.

1980 cellules Alpha : « Les tueurs de la République »

Au nom de la République, sur ordre de ses plus hauts dirigeants, des tueurs sont disponibles pour « neutraliser », c’est le terme consacré, les ennemis de la France. Mais aussi conduire des guerres secrètes et venger ses morts. Vincent Nouzille (lire par ailleurs), vient de publier « Les Tueurs de la République ». Une enquête solidement étayée qui retrace l’histoire de ce continent enfoui que sont les opérations spéciales, menées avec plus ou moins de vigueur par les gouvernements de la Ve République. Les Soldats de l'ombre Reportage. DGSE en Somalie. Le ministre français de la Défense, Jean-Yves Le Drian, pouvait bien indiquer ce soir, sur le journal de France 2, que ce n’était pas « un échec, mais nous n’avons pas réussi » (sic), l’opération de la DGSE (service de renseignement extérieur de la France) en Somalie qui visait à libérer leur collègue Denis Allex – un pseudonyme – retenu otage depuis le 14 juillet 2009, est bel et bien un fiasco.

Non seulement la DGSE n’a pas été en mesure de libérer Denis Allex, mais au moins deux autres agents seraient décédés lors de l’opération. Selon le ministre de la Défense, « tout donne à penser que Denis Allex a été abattu par ses geôliers ». Une version contredite par le communiqué de l’organisation islamiste Harakat ash-Shabâb Al Mujahidîn, publié sur ses canaux habituels ce samedi 12 janvier. Selon nos informations, l’organisation islamiste devrait diffuser un nouveau document vidéo dans les prochaines heures. Mecanopolis. Denis Allex agent trahi. L’organisation islamiste Harakat Al-Shabaab Al-Mujahideen a publié aujourd’hui sur ses canaux habituels un long communiqué daté du 15 janvier, où ses dirigeants indiquent avoir « pris la décision unanime d’exécuter l’officier du renseignement français Denis Allex ».

Le document se compose en quatre parties, que nous plaçons dans son intégralité, hormis quelques éléments relatifs à Denis Allex. Bulo-Marer 15/01/2013 Bismi Allāhi Ar-Raĥmāni Ar-Raĥīm I. Cela en valait-il la peine ? Comme nous l’indiquions samedi , l’opération de la DGSE en Somalie s’est soldée par un échec monumental : non seulement l’otage, Denis Allex (un pseudo) se trouvait dans une autre localité que celle où les forces françaises sont intervenues mais, de surcroit, deux militaires ont perdu la vie, cinq autres ont été blessés, dont un serait détenu par l’organisation Harakat ash-Shabâb Al Mujahidîn. Concernant la publication d’un photographie par ash-Shabâb d’un militaire ayant perdu la vie, le premier ministre Jean-Marc Ayrault dénonçait ce soir une « mise en scène macabre ». Une victimisation qui confine au pathétique ! Ce ne sont pas les Somaliens qui sont intervenus en France, mais la France qui se permet de s’ingérer et d’intriguer les affaires somaliennes, non sans arrières pensées.

Cela en valait-il la peine, Monsieur Hollande ? Mecanopolis Par respect envers la victime et sa famille, Mecanopolis a fait le choix de pixéliser le visage du défunt. "Sportifs de l’extrême" Campagne bulgare. Dans la nuit du 15 au 16 octobre dernier, cinq militaires français de la DGSE, ont eu des problèmes lors d’un entraînement clandestin en Bulgarie près du village de Pleven.

"Sportifs de l’extrême" Campagne bulgare

Deux des agents avaient sauté en parachute tandem en Roumanie pour ensuite passé la frontière de la Bulgarie. Les 3 autres agents ont loué une jeep et les ont rejoints de manière normale avec un point de rendez-vous qui se situait dans les près du village de Pleven. Pas de chance, des villageois armés les avaient repérés et une bagarre a éclaté entre les villageois et les agents. Résultat: 2 français ont été blessés aux membres inférieur par balles et un a eu le nez cassé. Les deux autres agents ont pris la fuite à pied. 3 ordinateurs portables,Appareils photos,Matériel de plongée,Matériel d’escaladeDes parachutes pour sauter en tandem Ils ont prétendu être des sportifs de l’extrême et qu’ils se sont perdus par erreur en Bulgarie….

Like this: J'aime chargement… Tueurs d'État. Ancien du 3e RPIMa de Carcassonne et de la DGSE, Pierre Martinet lève le voile dans un roman sur un tabou de la République : l’élimination physique de terroristes.

Tueurs d'État

Pourquoi ce roman consacré aux agents de la DGSE ? Aujourd’hui en France, il n’y a personne qui vienne de la DGSE ou des Forces spéciales et qui ose faire des romans. Je suis resté vingt ans dans l’armée, sous le béret rouge, dans des unités un peu spéciales, et cinq ans au service action de la DGSE. Cela m’influence.