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Les données. Facebook: la mémoire cachée. L'appétit vorace de Facebook pour les données personnelles n'est un secret pour personne. Régulièrement, son estomac numérique gargouille auprès de ses membres pour réclamer son dû. «Donnez-moi votre numéro de mobile, que je puisse renvoyer votre mot de passe en cas d'oubli !» «Expliquez-moi vos opinions politiques, que je puisse mieux cibler mes publicités !» «Dites-moi ce que vous lisez, ce que vous écoutez, ce que vous regardez, ce que vous cuisinez, que vos amis puissent en profiter !» Et la plupart des 800 millions d'inscrits, dociles, jettent leurs gros steaks de vie privée dans la gueule béante du réseau social.

Ce que personne ne semble savoir, en revanche, c'est que le monstre est dépourvu de système digestif. Les découvertes du jeune Max Schrems sont effarantes. «Statut : effacé» «Je ne cherche aucun gain financier ou personnel. . - Facebook connaît bien sûr la liste d'amis liée à un profil, mais conserve également le nom de tous les prétendants refusés. «Shadow profiles» Facebook : comment Graph Search va affecter votre profil. Voir aussi : Facebook : "Graph Search" expliqué en patates Depuis début juillet, Facebook a commencé le déploiement d'un nouveau moteur de recherche sur son site : "Graph Search", ou "recherche dans le graphe" en français. Pour le moment, seuls les utilisateurs du site en langue anglaise (américaine) doivent avoir accès à cet outil. Mais si vous avez un profil Facebook en français, et que vous vous êtes connecté il y a peu, vous avez sans doute remarqué une notification indiquant qu'il est "maintenant plus facile pour les utilisateurs de trouver des photos et autres contenus que vous avez partagés avec eux".

Elle s'accompagne d'une invitation à aller vérifier ses paramètres de confidentialité, afin de pouvoir définir ce que l'on souhaite, ou non, voir apparaître de son profil personnel dans les résultats générés par "Graph Search". Son déploiement est donc l'occasion d'aller faire un tour dans tout ce qui peut apparaître publiquement sur votre profil.

Votre identité sur Facebook. LinkedIn Intro, une trouvaille technique qui pose des questions de sécurité. 01net. le 27/10/13 à 21h45 Annoncé en milieu de semaine dernière, LinkedIn Intro se présente comme un petit tour de force technologique qui permet au réseau social professionnel de s’immiscer très intelligemment, sur iOS, dans les boîtes aux lettres des utilisateurs qui le souhaitent. L’objectif étant de leur permettre de savoir instantanément qui sont les personnes qui leur envoient des mails. Malin comme Rapportive Dans les faits, une petite barre d’information se glisse entre le sujet du mail et son début. Elle contient une photo du destinataire – celle qui figure sur le profil LinkedIn de l’expéditeur -, son titre et un court résumé de ses postes passés. LinkedIn Intro, le service qui enrichit Mail mais pose des questions de sécurité. Comme une attaque Pour réussir à glisser le pied et la tête dans la porte de l’application Mail, d’iOS, il a fallu faire preuve de finesse et d’intelligence.

Contournez les restrictions de Mail Simplifier la configuration Passif et question de sécurité. L’emploi à l’épreuve des algorithmes. L’analyse des grandes quantités de données – le Big Data – est appelée à révolutionner bien des domaines. L’emploi et les ressources humaines pourraient même devenir l’un de ses premiers terrains d’application. Bien sûr, rappelle Steve Lohr dans Bits, le blog techno du New York Times, « la science de la force de travail » – comme on commence à l’appeler – n’est pas nouvelle.

Le management « scientifique » et la mesure statistique de l’efficacité du travail ou du recrutement ont déjà connu bien des méthodes… (et pas que des succès) : « Ce qui est différent aujourd’hui », explique Mitchell Hoffman, économiste et chercheur à l’école de Management de Yale, « est le montant et le détail des données sur les travailleurs qui sont recueillies ». Vers la science de la force de travail Tim Geisert, directeur du marketing pour Kenexa, a observé qu’une personnalité extravertie a toujours été supposée être le trait marquant du succès des vendeurs. Demain, votre score d’employabilité Hubert Guillaud.

Facebook - politique d'utilisation des données. Facebook : données c’est donner. L’écriture de cet article a nécessité quelques vérifications préalables sur Facebook. Rien de bien sorcier : on a jeté un œil aux conditions d’utilisation du site -- c’était l’histoire de cinq minutes. Ironiquement, en ce laps de temps, le réseau social tout bleu a eu l’occasion de rassembler beaucoup plus d’informations sur nous que nous sur lui... Il sait par exemple qu’on a utilisé un PC tournant sous Windows Seven, connecté à Internet via le navigateur Firefox avec l’adresse IP 82.138.108.81, et que cette machine est sans doute celle d’une entreprise car elle a déjà été utilisée par une dizaine d’autres membres de Facebook, dont une majorité indique travailler ou avoir travaillé à Libération.

Il sait également que ce même jour, on a lu trois articles sur Techcrunch.com, un sur l’Express et un dernier sur Numerama, site également fréquenté et apprécié par l’une des personnes ayant utilisé le PC précité. Pfiou ! Des techniques de Sioux Et demain ? Amis ou ennemis ? Et demain ? Etude : l'évolution du partage des données personnelles sur Facebook. Sur Internet, le constat est clair : les données personnelles constituent un véritable produit de plus en plus partagé par les internautes. Il est aujourd’hui devenu impossible de naviguer sur le web sans laisser de trace. De nombreux services contraignent les utilisateurs à partager leurs données pour monétiser leur outil : c’est le principe de certains réseaux sociaux notamment, Facebook en tête. Et si les internautes sont de plus en plus conscients de ces pratiques et soignent de mieux en mieux leur identité numérique, le partage des données ne s’est jamais aussi bien porté.

C’est en tout cas le constat d’une vaste étude américaine, menée par l’université de Carnegie Mellon. Il s’agit là d’une véritable étude et non d’une simple enquête : les profils de plus de 5000 personnes ont été analysés entre 2005 et 2011. Une tendance à la privatisation des données personnelles… 2005 constitue la genèse du réseau social Facebook. . … jusqu’à ce que Facebook réussisse à inverser la tendance. Modèle économique. Twitter vend vos 140 caractères. Twitter permet la vente des messages partagés par ses utilisateurs. En autorisant des sociétés privées à les exploiter, l'entreprise pose la question du statut juridique de nos tweets.

Un imbroglio juridique éclairci ici. La semaine dernière, tombait cette nouvelle consternante que le chant des oiseaux pouvait être approprié par le biais du droit d’auteur… Hasard ou coïncidence, nous apprenions également que Twitter avait vendu pour plus de 250 millions de dollars nos “gazouillis”. Les messages échangés sur le réseau social ont en effet été cédés à deux compagnies anglaises, Gnip et Datasift, qui pourront exploiter les tweets archivés depuis deux ans.

En vertu de cet accord, ces sociétés pourront accéder non seulement aux textes des tweets, mais également aux autres données liées aux micromessages, afin de produire des analyses poussées. Map of a Twitter Status Object. Par Raffi Krikorian. Petite archéologie des CGU de Twitter Copyright (Ce qui est Vôtre est Vôtre)1. 7. Quand vous ne voyez pas le service, c’est que vous êtes le produit ! La lecture de la semaine, il s’agit d’un article de l’hebdomadaire américain The Nation, il est signé par Ari Melber, journaliste et spécialiste des réseaux sociaux, il s’intitule “Le secret de la valorisation de Facebook”. L’occasion de revenir sur un événement largement commenté et dont nous avions dit quelques mots ici même. “Une chose manque dans tous les commentaires au sujet de la valorisation boursière de Facebook”, commence Ari Balmer. “Tout le monde sait à quel point l’entreprise est populaire, avec ses 845 millions d’utilisateurs, et à quel point elle marche bien, avec une valorisation potentielle à 100 milliards de dollars (soit 5 fois celle de Google quand il fut introduit en Bourse en 2004).

Mais qu’est-ce qui fait vraiment de Facebook une entreprise aussi rentable ?” Demande Ari Melber. C’est vous, répond-il. Image : Mark Zuckerberg nous dit merci ! Le mot “volontaire” est, selon Melber, une façon plutôt gentille de voir les choses. Xavier de la Porte. Capital M6 - Quand votre vie privée vaut de l'or.