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Euthanasie

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Soins palliatifs: un juge ordonne au CHU le maintien en vie. Euthanasie : comment le PS a converti son candidat. Droits des patients en fin de vie : La loi leonetti, faisons le point... Introduction « Ne sais-tu pas que la source de toutes les misères pour l’homme ce n’est pas la mort, mais la crainte de la mort ?

Droits des patients en fin de vie : La loi leonetti, faisons le point...

» Epictète (50 – 125 après J. C.) Entretiens La réflexion contemporaine conduit fréquemment sur l’antagonisme entre le désir individuel de liberté admis comme légitime et les exigences de la collectivité. Il est tout de même incroyable que toutes les fois où un fait de société similaire se présente le débat se limite à une question binaire, « Oui ou non pour la légalisation de l’euthanasie ? Ce débat pour le moins stérile occulte complètement l’ensemble des travaux et rapports d’une grande qualité et richesse remis au ministère au cours des années 2004 à 2005 : Rapport de Marie de Hennezel « Fin de vie et accompagnement » Octobre 2003 ; La Conférences de consensus « L’accompagnement des personnes en fin de vie et de leurs proches » ; janvier 2004 ; Rapport Léonetti « L’accompagnement en fin de vie » Tome I et II juin 2004.

Les droits des patients renforcés M. Droits des malades et fin de vie. Objet du texte Intervenant sur un sujet sensible, notamment du fait de l'évolution des moeurs, le projet de loi apporte plusieurs modifications au droit des malades.D'abord, pour tous les malades, y compris ceux qui ne sont pas en fin de vie, la proposition de loi affirme pour la première fois l'interdiction de l'obstination déraisonnable.

Droits des malades et fin de vie

L'objectif est d'autoriser la suspension d'un traitement ou de ne pas l'entreprendre, si ses résultats escomptés sont inopportuns, c'est-à-dire inutiles, disproportionnés ou se limitant à permettre la survie artificielle du malade. Deux articles - les articles 4 et 5 - concernent précisément le cas du malade qui n'est pas en fin de vie. S'il est conscient, il pourra demander la limitation ou l'interruption de tout traitement. Euthanasie. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Euthanasie

À l'origine, l'euthanasie (grec ancien : ευθανασία : ευ, « bonne », θανατος, « mort ») désigne le fait d'avoir une mort douce, que cette mort soit naturelle ou provoquée[1]. Dans une acception plus contemporaine et plus restreinte[2], l'euthanasie est décrite comme une pratique (action ou omission) visant à provoquer — particulièrement par un médecin ou sous son contrôle[3] — le décès d'un individu atteint d'une maladie incurable qui lui inflige des souffrances morales et/ou physiques intolérables.

Sa pratique relevant à la fois des domaines philosophiques, éthiques et légaux, son contenu exact et son acceptation sont générateurs de puissantes controverses, divisions et débats d'idées. Définitions actuelles[modifier | modifier le code] Accompagnement et accélération de la fin de vie[modifier | modifier le code] Suivant les pays, certaines pratiques sont acceptées par la législation, d'autres non. Typologie[modifier | modifier le code]