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TF1 - Les OGM sur la table des ministres européens - Sciences. Obs - La France et l'Italie plaident pour une... La France et l'Italie se sont déclarées opposées, lundi 27 septembre, à une proposition de la Commission européenne visant à laisser aux Etats de l'UE la décision de permettre ou non la culture de plantes génétiquement modifiées sur leur territoire. "Non, l'Italie ne soutient pas la proposition de la Commission (...) Le chacun pour soi mine les fondements de la Politique agricole commune", a affirmé le ministre de l'Agriculture italien Giancarlo Galan à son arrivée à Bruxelles pour une réunion avec ses homologues de l'UE, consacrée aux OGM.

Son homologue français Bruno Le Maire a fait preuve de la même fermeté. "La France souhaite que la décision (sur cette question en Europe) reste commune. Aller vers des décisions nationales sur ces sujets serait un mauvais signal adressé aux citoyens européens et un mauvais signal pour la Politique agricole commune", a-t-il déclaré. La liberté d'interdire les cultures OGM (Nouvelobs.com) METRO - OGM : ça chauffe à Bruxelles. Les OGM n'en finissent pas d'alimenter les polémiques à Bruxelles. La dernière bataille tourne autour d'une proposition de la Commission, qui suggère de laisser aux Etats la décision de permettre ou non la culture de plantes OGM sur leur territoire.

En contrepartie, elle souhaite que les autorisations de culture et de commercialisation dans les pays qui le souhaitent soient facilitées. John Dalli, Commissaire européen chargé du dossier, vise à sortir de l'impasse et des désaccords récurrents entre Etats dès qu'il s'agit d'autoriser ou d'interdire la culture d'une plante OGM. Ministres réticents Réunis ce lundi, les ministres de l'Agriculture ne l'entendent cependant pas de cette oreille. La décision finale reviendra aux ministres de l'Environnement, a priori encore plus réticents que leurs "collègues" de l'Agriculture. Conflits à la chaîne Levée de boucliers. EXPRESS - OGM: la France et l'Italie refusent le "chacun pour soi" de Bruxelles.

USHUAIA - Cultiver ou non des OGM: c'est l'UE qui décide ! La TRIBUNE - Les membres de l'Union européenne ne pourront pas décider seuls de cultiver des OGM. La proposition de la Commission européenne de laisser les Etats membres décider s'ils veulent cultiver ou non des OGM sur leur territoire a reçu un coup fatal lundi. Les grandes nations agricoles de l'Union ont effet opposé une fin de non-recevoir à ce projet. A l'occasion du premier débat officiel sur cette initiative, publiée par la Commission en juillet, les ministres français, allemand, espagnol et italien de l'Agriculture ont dit vouloir que les décisions continuent de se prendre au niveau communautaire.

Ces quatre pays disposent à eux seuls des voix suffisantes pour bloquer la proposition, qui doit recevoir l'approbation des Etats et du Parlement européen pour obtenir force de loi. "Ce n'est pas, me semble-t-il, dans un mois ou dans deux mois qu'on pourrait avoir un consensus ou un compromis sur ces propositions. Cela va demander encore beaucoup de travail d'approfondissement", a dit la ministre belge de l'Agriculture, Sabine Laruelle, dont le pays préside l'Union ce semestre. MAXISCIENCES - OGM : désaccord des différents Etats membres sur la proposition de la Commission européenne.

BIOADDICT - Culture d'OGM dans l'Union Européenne : non au chacun pour soi. Contrairement au souhait de la Commission Européenne, les décisions concernant la culture d'OGM devront continuer à être prises au niveau communautaire. Les Ministres de l'Agriculture français, allemand, italien, et espagnol, viennent de refuser la proposition de la Commission Européenne qui visait à permettre à chacun des membres de l'UE de décider seul de la culture des OGM sur leur territoire. Disposant d'un nombre de voix suffisantes, ils ont réussi à bloquer la proposition. Pour Bruno Le Maire, Ministre de l'Agriculture, " aller vers des décisions nationales c'était ouvrir une brèche dangereuse à la fois pour des raisons économiques, sanitaires, politiques et sociales ". En outre, alors que la construction de l'Union Européenne est loin d'être terminée, il eut été pour le moins malvenu que la Commission Européenne recule sur ses responsabilités pour les transférer aux Etats membres.

Le combat contre les OGM, on le voit, est encore loin d'être gagné. Hervé de Malières. DEVELOPPEMENT DURABLE le journal : La... EUROPE ECOLOGIE - J.BOVé - Liaisons dangereuses : EFSA sous contrôle de l'agro-industrie - José Bové. LE MONDE - La présidente de l'Autorité européenne de... LE MONDE | • Mis à jour le | Par Hervé Kempf La présidente du conseil d'administration de l'Autorité européenne de sécurité des aliments (AESA) est aussi membre du conseil d'administration d'une association regroupant les plus grandes entreprises de l'agro-industrie.

Telle est la révélation faite par José Bové, député européen (Europe Ecologie), lors d'une conférence de presse, à Bruxelles, mercredi 29 septembre. Les documents présentés font apparaître que Diana Banati, la présidente du conseil d'administration de l'AESA, a dissimulé qu'elle appartenait aussi au conseil d'aministration d'ILSI Europe (International Life Science Institute), instance dans laquelle elle côtoie des représentants de dix grandes entreprises comme Kraft Foods, Nestlé ou Danone.

L'Agence joue le rôle d'expertise scientifique pour les décisions de la Commission européenne en matière de produits alimentaires, notamment les OGM (organismes génétiquement modifiés). M. Bové demande la démission de Mme Banati. LE MONDE - OGM : La fronde contre le système à la carte... ACTU ENVIRONNEMENT - L'indépendance de l'EFSA à nouveau mise en cause. Diana Banati, présidente depuis 2008 du conseil d'administration de l'Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) est également membre du conseil d'administration de l'International Life Sciences Institute (ILSI), une association regroupant 400 industriels de l'agroalimentaire (Monsanto, Syngenta, Dupont, Nestlé et Kraft Foods).

C'est José Bové, député européen (Europe Ecologie), qui a révélé cette information ce mercredi 29 septembre dans un communiqué. Selon l'eurodéputé, ''pour parvenir'' au poste de Présidente du Conseil d'Administration de l'EFSA , Diana Banati aurait ''menti'' en juillet 2008 ''dans sa déclaration d'intérêt en ne se reconnaissant qu'un rôle mineur au sein de l'ILSI'', estime José Bové qui voit une ''omission grave''. ''Elle est en fait Membre du Conseil des Directeurs de ce lobby agro-industriel''. La déclaration d'intérêt de Diana Banati, publié sur le site de l'EFSA, mentionne pourtant ces activités. LIBERATION - Europe : le lobby OGM infiltré à la tête de la... La Commission européenne a toujours été l’amie des OGM, comme en témoignent les 125 autorisations d’importation accordées depuis 1998.

Mis à part les six dossiers retirés par les industriels eux-mêmes, on ne compte absolument aucun refus en douze ans ! Les instances communautaires écartent systématiquement les objections avancées tant par les scientifiques que les autorités sanitaires nationales ou les associations de défense de l’environnement. La création, en 2002, de l’Agence européenne de sécurité alimentaire (AESA), au lendemain du scandale de la vache folle, n’a strictement rien changé à ce biais favorable aux champions des biotechnologies.

Et pour cause : la Commission a peuplé l’AESA de personnalités acquises à la cause des OGM quand elles ne sont pas directement issues de l’industrie elle-même. Dangers. «Un conflit d’intérêts scandaleux», s’emporte José Bové, qui exige sa «démission immédiate». Positifs. LIBERATION BLOG - Le lobby pro-OGM infiltre l'Agence... La Commission européenne a toujours été l’amie des OGM, comme en témoignent les 125 autorisations d’importation accordées depuis 1998. Mis à part les six dossiers retirés par les industriels eux-mêmes, on ne compte absolument aucun refus en douze ans !

Les instances communautaires écartent systématiquement les objections avancées tant par les scientifiques que les autorités sanitaires nationales ou les associations de défense de l’environnement. La création, en 2002, de l’Agence européenne de sécurité alimentaire (AESA), au lendemain du scandale de la vache folle, n’a strictement rien changé à ce biais favorable aux champions des biotechnologies. Et pour cause : la Commission a peuplé l’AESA de personnalités acquises à la cause des OGM quand elles ne sont pas directement issues de l’industrie elle-même.

«Un conflit d’intérêts scandaleux», s’emporte José Bové, qui exige sa «démission immédiate». La composition de l’AESA explique sans aucun doute cette coupable inclination. ZeGREENweb - OGM : Tous contre le chacun pour soi. GREENPEACE - Culture d'OGM en Europe : les états... Interpellé sur le sujet des OGM, le ministre de l’environnement, JL Borloo, a déclaré à l’occasion du forum Libération (à Lyon), que la France, “très agacée par ce qu’il se passait en Europe”, s’est associée au “contentieux mené par les hongrois sur la pomme de terre Amflora“, rappelant également son engagement et celui du gouvernement français sur le dossier OGM (voir la vidéo – débat Borloo – Hollande – 17mn) Le 10 septembre dernier le gouvernement luxembourgeois avait lui aussi décidé de se joindre, aux côtés de l’Autriche, au recours introduit à la Cour de Justice Européenne par la Hongrie contre l’autorisation par la Commission européenne de la pomme de terre génétiquement modifiée Amflora.

Greenpeace se réjouit de la position portée par Jean Louis Borloo lors de ce débat, mais celle ci doit être confirmée, assumée, revendiquée clairement par le gouvernement français ! Les ministres de l’Agriculture européens font front face à la Commission Partagez cet article : EXPRESS - Bové dénonce un conflit d'intérêt européen... Noyautée. José Bové a dénoncé ce mercredi un conflit d'interêt au sein de l'Autorité Européenne chargée des avis scientifiques sur les OGM. Le député européen réclame une réforme "en profondeur" de cet organisme. Le vice-président de la commission agriculture du Parlement européen demande la démission de Diane Banati, présidente du Conseil d'administration de l'Autorité européenne de la sécurité alimentaire (EFSA). Il accuse cette dernière d'avoir caché être membre du conseil d'administration de l'International Life Science Institute (Ilsi) Europe, une organisation regroupant la plupart des groupes agrochimiques actifs dans les OGM.

"Ommission grave" Dans sa déclaration d'intérêt, publiée sur le site de l'EFSA, Diane Banati "minore son implication au sein de l'Ilsi", estime José Bové qui voit là une "omission grave". José Bové précise avoir informé le commissaire à la Santé John Dalli de ce problème. Avec. Le JDD.fr - Conflit d'intérêts autour des OGM? -... Une nouvelle fois, l'indépendance des instances européennes quant aux OGM est mise en cause.

Mercredi, c'est José Bové qui a tiré la sonnette d'alarme. Le faucheur volontaire et député européen, par ailleurs vice-président de la commission agriculture du Parlement, dénonce sur son blog"des liaisons dangereuses" au sein de l'Autorité Européenne de la sécurité alimentaire (Efsa), instance chargée de donnée un avis scientifique sur les OGM, avant la décision de la Commission.

Précisément, il accuse l'une des ses membres, la Hongroise Diana Barati, d'avoir caché son appartenance à une organisation proche des acteurs de la filière OGM: l'International Life Science Institute (Ilsi) Europ. L'Institut, qui se présente comme une organisation scientifique, regroupe 400 multinationales dont Monsanto, BASF, Bayer ou Syngenta. Pour sa défense, l'Efsa a fait valoir que Diani Barati n'a aucune compétence sur les avis scientifiques rendus par l'autorité sanitaire européenne.