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Juillet 2012

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L'Eurogroupe accorde un sursis à l'Espagne. Madrid s'inflige de nouvelles mesures d'austérité draconiennes. Rajoy Announces 65 Billion Euros of Cuts to Fight Crisis. Spanish Prime Minister Mariano Rajoy announced tax increases and spending cuts totaling 65 billion euros ($80 billion), risking a deepening recession to keep the euro financial crisis at bay.

Rajoy Announces 65 Billion Euros of Cuts to Fight Crisis

Rajoy’s fourth austerity package in seven months will raise the sales levy to 21 percent from 18 percent; scrap a tax rebate for home buyers; scale back unemployment benefits and study pension cuts; consolidate local governments and eliminate the year-end bonus for public workers. The budget measures, covering the next two-and-a-half years, are about double those previously announced. The prime minister addressed Parliament in Madrid today as European officials put the finishing touches to a 100 billion- euro bailout for Spain’s banks. Spain Bank Bailout Means Forcing Losses on Cooks, Pensioners. Maribel Martinez, 51, was counting on income from the 82,000 euros ($99,810) of savings she invested in Bankia preferred shares two years ago after losing her job cooking meals for nuns in a Barcelona convent.

Spain Bank Bailout Means Forcing Losses on Cooks, Pensioners

A 1,435-euro interest payment on the 7 percent securities failed to arrive in the family bank account on July 7, said her husband Paco Valiente. On June 1, the group suspended 52 million euros of payments to holders of 3 billion euros of preferred shares sold in 2009 by Caja Madrid, one of its founding savings banks, after the lender restated 2011 earnings to show a 3.3 billion-euro loss. Missed payments may be the least of Martinez’s problems as the practice of selling preferred stock through branch networks, after debt markets dried up in 2009, comes back to haunt banks and their customers.

Espagne: nouveau record en juin de la dette des banques envers la BCE. Espagne: nouveau record en juin de la dette des banques envers la BCE MADRID - La dette des banques espagnoles envers la Banque centrale européenne (BCE) a encore franchi un seuil historique en juin, atteignant 337,2 milliards d'euros, dopée notamment par les injections de liquidités de la BCE.

Espagne: nouveau record en juin de la dette des banques envers la BCE

Ce chiffre, qui est aussi un indice de la capacité ou non des banques espagnoles à recourir au marché, au lieu de la BCE, pour se financer, enchaîne les records historiques depuis janvier, selon les données de la banque d'Espagne publiées vendredi. Espagne: 56 mds EUR attendus du plan de rigueur, future taxe sur l'énergie. Pas de "sauvetage global" de l'Espagne, selon son ministre de l'économie. Il "n'y aura pas de sauvetage" global de l'Espagne après l'aide européenne aux banques pouvant aller jusqu'à 100 milliards d'euros, a de nouveau assuré son ministre de l'économie Luis de Guindos, dans un entretien publié mardi 17 juillet par le journal La Vanguardia. "L'Espagne est un pays solvable", a réaffirmé le ministre.

Résultat, l'Espagne empruntait mardi matin 3,562 milliards d'euros à court terme, à des taux en baisse, contrairement à la veille - sur le marché secondaire. Le responsable espagnol a dit lundi espérer que l'accord sur ce plan d'aide serait formellement signé vendredi par les ministres des finances de la zone euro. "Il y a eu un problème d'endettement excessif du secteur bancaire et une bulle immobilière. Le corriger est extrêmement compliqué. VIDEO. L'Espagne s’embrase contre la rigueur. La colère gronde en Espagne après l'annonce du nouveau plan de rigueur qui prévoit une hausse de la TVA et des coupes budgétaires drastiques touchant fonctionnaires et chômeurs.

Les syndicats avaient appelé à manifester dans la soirée du vendredi 19 juillet dans 80 villes, sous le mot d'ordre : "Ils veulent ruiner le pays. Il faut les empêcher". "Non" à la rigueur : une énorme marée humaine à Madrid Le centre de Madrid a été envahi jeudi soir par plusieurs milliers de manifestants bien décidés à faire entendre leur mécontentement. La zone euro approuve l'aide aux banques espagnoles. Spain discusses state bailout; ECB seen writing off Greek debt. BRUSSELS (Reuters) - Spain has at last conceded it may need a state bailout and policymakers are considering writing down Greek debt to their central banks, European officials said on Friday, as markets anticipated radical new action to pull the continent out of its debt maelstrom.

Spain discusses state bailout; ECB seen writing off Greek debt

En Espagne, la récession s'aggrave : le PIB recule de 0,4% au deuxième trimestre. La récession s'aggrave en Espagne.

En Espagne, la récession s'aggrave : le PIB recule de 0,4% au deuxième trimestre

De 0,3% au premier trimestre, le recul du produit intérieur brut atteint 0,4%, selon les statistiques officielles publiées ce lundi par l'Institut national de la statistique (INE). En cause notamment: "une baisse de la demande sur le marché intérieur, compensée partiellement par une contribution positive de la demande extérieure", explique l'INE dans un communiqué.

Le secteur de la construction, l'un des piliers de l'économie du pays souffre depuis 2008, et le nombre de personne sans emploi ne cesse d'augmenter. Le taux de chômage atteint désormais 24,63% de la population active. Et plus de un jeune sur deux est au chômage. Pas de croissance avant 2014. L'Espagne ne fera pas appel au FESF pour qu'il achète sa dette.

Les taux des obligations espagnoles ont continué à reculer lundi 30 juillet, les investisseurs espérant l'annonce prochaine par la Banque centrale européenne (BCE) de mesures destinées à soulager le marché de la dette, mais les rendements italiens se sont quant à eux légèrement tendus malgré une émission obligataire réussie.

L'Espagne ne fera pas appel au FESF pour qu'il achète sa dette

Vers 17H45 (15H45 GMT), le rendement à 10 ans de l'Espagne, qui évolue en sens inverse du prix, reculait à 6,618% contre 6,744% vendredi 27 juillet. Deux jours avant, ce rendement avait franchi un record à plus de 7,75%. "Cette nouvelle détente est encore imputable aux propos de Mario Draghi et aux multiples déclarations de dirigeants européens qui ont suivi", souligne René Defossez, stratégiste obligataire chez Natixis. Des déclarations rassurantes.