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Quoi de neuf en Europe. Coulisses de Bruxelles, UE. Bruxelles2 Europe de la Défense. Britain and the EU summit: Europe's great divorce. Vote à haut risque pour Angela Merkel au Bundestag, Actualités. Crise et relance économique en Europe - Accueil. European Commission proposes to make 2013 the "European Year of Citizens" European Commission - Press release European Commission proposes to make 2013 the "European Year of Citizens" Brussels, 11 August 2011 – Union citizenship and the rights that go with it are one of the key pillars of the European Union. As we mark the 20 th anniversary of the establishment of Union citizenship under the Maastricht Treaty, on 1 November 1993, the European Commission has today proposed to designate 2013 as the "European Year of Citizens". 20 years after the creation of Union citizenship, tangible progress has been made that directly affects the lives of millions.

To take just one example: nowadays travelling abroad entails cheaper travel costs, hassle-free border crossings, package holiday guarantees, access to healthcare systems and cheaper calls when you phone home. These are just some of the benefits derived from EU citizenship. . “ Free movement is the most cherished right in the European Union. Background For more information. Left, right, left: the changing face of EU politics - interactive | World news. Les conditions du sursaut, Editoriaux. Zone euro : Ancien ou Nouveau Testament ? La crise de la zone euro est due à un déficit de gouvernance économique : une monnaie unique, dix-sept politiques économiques et budgétaires souveraines, cela ne peut pas marcher longtemps.

Les marchés l’ont compris avant les politiques : ils estiment que sans la création des « États-Unis d’Europe », il faudra en revenir aux monnaies nationales. Nicolas Sarkozy l’admet depuis plusieurs mois en privé : seul un saut fédéral permettra de sauver l’euro, même si sa réflexion sur le sujet n’est pas encore très élaborée (en particulier sur le plan institutionnel). Le « cercle des économistes », une association qui réunit une trentaine d’économistes français de haut niveau, a lancé, hier, un appel solennel en ce sens. « La crise de la dette souveraine que traverse l’Europe nécessite une réactivité totale. Cela n’est pas le cas aujourd’hui. L’Europe s’est certes montrée très engagée, mais sa capacité à réagir n’est ni assez rapide, ni assez efficace. Angela Merkel, « l’homme malade » de l'euro. « Si la chancelière allemande, Angela Merkel, avait proclamé en décembre 2009 sa solidarité avec la Grèce, cela aurait marqué la fin de la crise », a affirmé tout à l’heure, Jorgo Chatzimarkakis, à Bruxelles, lors d’une conférence de presse.

Pourtant, ce député européen allemand est membre du FDP, le parti libéral qui, en Allemagne, estime que Merkel est trop molle dans la crise grecque et qu’il y a longtemps qu’on aurait dû laisser Athènes faire faillite. Le fait que ce député critique ainsi ouvertement Angela Merkel, montre que le vent est peut-être en train de tourner à Berlin face à la désastreuse gestion de la crise par le gouvernement conservateur-libéral (CDU-CSU/FDP). Dans la plupart des pays de la zone euro, l’exaspération est déjà à son comble : « en instillant le doute sur l’appartenance de la Grèce à l’euro, on a créé la crise dans laquelle on est », a ainsi martelé Guy Verhofstadt, le président du groupe libéral et démocrate du Parlement européen.

Photos: Reuters. Der Spiegel enterre l'#Euro via @Pr. Der Spiegel enterre l'#Euro via @Pr. Requiem allemand pour la monnaie unique. Alors que Berlin hésite à venir de nouveau en aide de la Grèce, l'hebdomadaire Der Spiegel assure que non seulement l'euro tel que nous le connaissons ne peut être sauvé, mais qu'il menace l'avenir même de l'Europe. Extraits. Depuis quatorze mois, les dirigeants de la zone euro multiplient les plans de sauvetage, se retrouvent lors de sommets à haute tension, se bagarrent pour des compromis boiteux et aggravent considérablement les risques pour l’Union. Depuis quatorze mois, ils évitent aussi de se rendre à l’évidence : cela ne peut pas continuer ainsi. Tel qu’il a été conçu, l’euro n’existe plus, et l’union monétaire européenne ne fonctionne plus. Ce qu’il faut, c’est un plan B. Le manque de légitimité démocratique des "renfloueurs" est aujourd’hui devenu le premier handicap dans la gestion commune de la crise.

Le projet de paix pourrait bien finir en guerre économique Les citoyens s’en irritent. La réintroduction de la drachme de plus en plus envisagée Une union de transfert permanente. Quelle défense pour l’Europe et pour la France ? Longtemps, la France a cru pouvoir assurer seule sa défense dans le monde de l’après-guerre.

C’est pour cela qu’elle n’a pas hésité à saborder la Communauté européenne de défense (CED), en 1954, un projet d’armée européenne dont elle avait pourtant été l’initiatrice afin d’encadrer le réarmement allemand : mais les souverainistes de droite et de gauche n’ont pas supporté l’idée que la France perde son indépendance militaire. Deux ans plus tard, la désastreuse expédition franco-britannique de Suez lui a fait prendre conscience qu’elle n’était plus qu’une ancienne puissance. Londres en tira les leçons en abandonnant toute politique étrangère indépendante et en devenant ainsi de facto le 51ème État des États-Unis d’Amérique.

La France, elle, opta pour la construction communautaire, l’Europe devenant un moyen d’amplifier sa voix désormais inaudible (le traité de Rome date de 1957). Mais l’illusion de la grandeur s’est néanmoins prolongée en matière de défense. Photos: Reuters. La zone euro fait sa révolution. Berlin et Paris semblent avoir trouvé la martingale susceptible de rassurer les marchés financiers et donc d’en finir avec la crise de la dette publique qui ravage la zone euro depuis plus d’un an maintenant : solidarité financière d’une part, harmonisation des politiques économiques et budgétaires de l’autre, une formule qui devrait être rendu publique à l’issue du Conseil européen des chefs d’État et de gouvernement qui a lieu aujourd’hui à Bruxelles. Comme l’a expliqué la chancelière allemande Angela Merkel vendredi dernier lors du forum de Davos, « vous ne pouvez avoir une monnaie unique et des systèmes sociaux complètement divergents ». « Nous avons un problème de crédibilité vis-à-vis des marchés, car la zone euro n’est pas perçue comme suffisamment unie », reconnaît-on à l’Élysée.

Le Sommet européen n’avait pourtant pas pour objet principal la crise de la dette souveraine, mais l’énergie et l’innovation. Comparatif : La fiscalité en Europe. Les systèmes fiscaux dans l'Union européenne diffèrent grandement d'un pays à l'autre. Il est néanmoins possible d'en comparer quelques éléments communs. Total des recettes fiscales de l'Etat En 2015, les recettes fiscales dans l'Union européenne ont augmenté pour atteindre 37,57% du PIB, contre 37,39% en 2014. L'impôt sur le travail reste en Europe la principale source de recettes fiscales. Entre 2014 et 2015, les plus fortes hausses de la charge fiscale globale par rapport au PIB ont été enregistrées en Grèce (de 35,71 à 36,78%), en Slovaquie (de 31,24% à 32,24%), en Estonie (32,42% à 35,59%) et en Suède (42,78 à 43,33%). Enfin, notons que, dans plus de la moitié des Etats membres, les recettes fiscales en pourcentage du PIB n'ont pas évolué de plus de 1 point au cours des 10 dernières années.

Comparatif sur les taux de TVA pratiqués en Europe Dans le détail : quelques composantes fiscales Concernant les taux normaux de TVA, les écarts sont nettement moins importants. Sources : 483 - The Great European Shouting Match | Strange Maps. If Europe has one defining cultural characteristic, it is that it has none. This may sound like too neat a paradox, but it’s not that far from the truth. There is not a single state, language, religion or ethnicity that even comes close to dominating the continent as a whole - although at least one in each category at some point in history had the pretension to try (1). Europe's war-torn history demonstrates that such diversity is, well, divisive. The European Union was designed to supersede the continent's internecine past, and its continuing appeal (at least to those European countries still outside the EU) is the degree to which it has succeeded, inaugurating an unprecedented period of peace and prosperity (2).

But that does not imply that cultural diversity has been neutralised. This lowest-common-denominator kind of multiculturalism might actually be the least bad solution. . (2) that familiarity breeds contempt. Europe seen by the Germans Europe seen by the Italians (1) Examples? Presseurop | Toute l'Europe. eToile. Place d'Europe. Les Euronautes. La Toile de Touteleurope. Relations Russie - UE.