Fecamp.eolien-en-mer.fr/wp-content/uploads/2012/07/communiquedecisioncndp-4juillet2012.pdf. Eolien offshore : GDF Suez fait un recours contre son élimination. [Enquête] Métiers de l’éolien offshore : la filière s’organise. La part importante de « made in France » promise par les bâtisseurs des quatre futurs parcs français d’éoliennes en mer enthousiasme déjà des régions entières.
![[Enquête] Métiers de l’éolien offshore : la filière s’organise](http://cdn.pearltrees.com/s/pic/th/enquete-offshore-organise-32495174)
Quels sont les métiers concernés ? Quelles compétences vont être recherchées ? Les formations sont-elles prêtes et adaptées ? En attendant le début des premiers chantiers éoliens offshore en 2014, Cleantech Republic a tenté d’y voir plus clair dans ce marché. Une filière en marche Les objectifs en matière d’emploi étaient très clairement énoncés dans l’appel d’offres du gouvernement : c’est bien une filière française que les pouvoirs publics veulent créer.
A cette manne régionale, il faut encore ajouter les emplois créés par les deux usines de construction de mats et pâles qu’Alstom implantera à Cherbourg, soit environ 500 emplois directs et 4000 emplois induits (estimations Alstom). « Il faut être prudent avec les chiffres, tempère Yannick Guilbert, car nous sommes encore loin du début des travaux. Peu de nouveaux métiers. L’éolien offshore, l’éclosion de la filière française. Finalement, seuls quatre sites, pour une puissance totale d’environ 1 928MW, ont été attribués, dont trois reviennent au consortium « Eolien Maritime France », mené par le français EDF Energies Nouvelles et le danois DONG Energy.
L’alliance « Ailes Marines SAS » pilotée par l’espagnol Iberdrola et le français Eole-Res hérite d’un seul parc à Saint-Brieuc. Enfin, les différents projets déposés par GDF Suez n’ont pas été retenus. Ces résultats marquent le lancement de la nouvelle filière française qui permettra de fournir les premiers mégawattheures d’électricité d’ici à 2018. Pour respecter cet objectif dans un contexte favorable au développement de l’offshore2, comment vont s’organiser les consortiums ? Quels moyens vont-ils mettre en œuvre pour encourager l’émergence de cette nouvelle filière ? EDF récompensé, Iberdrola consolé et GDF Suez recalé Pour le consortium « Ailes Marines SAS » conduit par Iberdrola, exploiter la zone de Saint-Brieuc est une vraie satisfaction. Polémique sur l'éolien offshore : qui dit vrai ? Eolien en mer (3 GW) : les 3 consortiums passés à la loupe > Eolien. Trois consortiums ont déposé mercredi différentes offres devant répondre aux critères de l'Etat afin de pouvoir installer la première tranche des 6 GW de capacité éolienne en mer par l'implantation au large des côtes françaises de 3.000 MW à partir de 2015.
Alors que chaque groupement industriel n'hésite pas à mettre en avant leurs attributs, il apparait que la création d'une activité économique pérenne devient une priorité avec la volonté certaine de faire émerger une filière française de l'éolien offshore . Eolien offshore : état des lieux des éoliennes offshores en France. Les consortiums participant à l’appel d’offres français sur l’éolien offshore doivent remettre leurs dossiers à la CRE ce mercredi 11 janvier avant 14h.
L’attribution des lots sera annoncée en avril prochain. Retour sur les différentes étapes visant à implanter à terme 6 GW d’éoliennes offshore sur les côtes françaises d’ici à 2020. Eolien offshore en France : engagements et perspectives Le coup de projecteur sur l’énergie éolienne en France s’inscrit dans la continuité des engagements européens (Paquet Energie-Climat) et français (Grenelle de l’Environnement) en termes de développement des énergies renouvelables. Issu du Grenelle, le plan national de développement des énergies renouvelables prévoit l’installation d’une puissance éolienne globale de 25 GW (1 GW = 1 000 MW) d’ici à 2020 (19 GW terrestres et 6 GW offshore). La France envisage de rattraper une partie de son retard, dans le domaine de l’éolien offshore, sur ses voisins britannique et allemand.
Parc éolien du Tréport : GDF-Suez seul candidat - Energie Eolienne. Archive L'appel d'offre lancé par l'Etat est clôt.
Seul le groupe GDF-Suez a postulé pour le site du Tréport. Sabine GODARD Publié le 16/02/2012 | 17:55 Les candidats avaient jusqu'à ce mercredi 11 janvier 14 heures pour envoyer leurs offres à la Commission de Régulation de l'Energie. La France à la conquête du marché européen des éoliennes en mer. Dans le cadre de ce projet, trois consortiums menés par EDF Energies nouvelles, GDF Suez et l'espagnol Iberdrola ont déposé mercredi leurs offres auprès de la Commission de régulation de l'énergie, avant une présélection en avril et une attribution définitive des projets en 2013.
L'appel d'offres porte au total sur 500 à 600 éoliennes réparties sur cinq zones, qui devraient représenter une puissance cumulée de 3.000 mégawatts (MW) et un investissement de 10 milliards d'euros, soit une taille jugée suffisante par les industriels pour construire une base de développement solide. "Avoir la taille critique pour se développer à l'étranger est difficile quand on n'a pas de marché domestique", estime David Corchia, directeur général d'EDF Energies nouvelles, pour qui l'effet d'apprentissage dans l'éolien en mer est important pour les électriciens car les projets y sont "plus risqués, plus complexes et plus industriels que dans l'éolien onshore".
Eoliennes en mer : les industriels à pied d'oeuvre, Les nouveaux défis des professionnels de la mer. Eolien offshore : Alstom s’implanterait aussi en Normandie, 500 emplois en vue - Production d'électricité. Le groupe français, impliqué dans plusieurs projets de fermes éoliennes offshore, étudie la production de systèmes d'ancrage d'éoliennes en Seine-Maritime.
Partie prenante dans le consortium formé avec EDF Energies Nouvelles et le danois Dong Energy dans le cadre de l’appel d’offres de l’Etat pour quatre des cinq futurs parcs éoliens offshore français prévus d'ici à 2016, Alstom pourrait installer une usine en Seine-Maritime. Le président de la région Haute-Normandie, Alain Le Vern, l’affirme. Il a rencontré les dirigeants d’Alstom, qui "souhaitent implanter une usine pour fabriquer des systèmes d’ancrage, entre Fécamp où une filière de formation aux métiers de l’éolien est active et Le Havre". Cette implantation, qui représente selon le président de région la création de 500 emplois, "ne retire rien aux projets d’Alstom à Cherbourg", insiste-t-il.