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EOLE RES. Eole-RES rejoint le consortium mené par Iberdrola. "Cela répond à la volonté de l'Etat de développer une filière industrielle en France et en même temps, nous avons une capacité à ouvrir des marchés à l'export à nos partenaires", observe Jean-François Petit, directeur du développement d'Eole-Res et directeur du projet éolien offshore dans la cadre de l'accord avec Iberdrola. Les deux autres consortiums sont davantage "franco-français", avec d'un côté GDF Suez, Areva et Vinci et de l'autre EDF EN, Alstom et le danois Dong Energy.

Déjà des collaborations entre les deux groupes L'alliance Iberdrola - Eole-Res sera candidate sur deux des cinq zones zones de l'appel d'offres : celles au large de Saint-Brieuc (Côtes d'Armor, 500 MW) et de Saint-Nazaire (Loire-Atlantique, 750 MW). Elle va constituer deux sociétés de projets communes, détenues à 70% par Iberdrola et 30% par Eole-Res, qui déposeront chacune un dossier. Un atout pour l'export ?

Iberdrola. Erelia: Accueil. Eolfi. GDF Suez met la main sur MAÏA EolMer > Eolien. GDF Suez a annoncé mercredi l'acquisition à 100% de la société MAÏA EolMer présent dans les secteurs des travaux publics et des énergies renouvelables, au terme d'un accord conclu avec le Groupe MAÏA**. "Cet accord renforce la collaboration entre GDF Suez et le Groupe MAÏA, déjà partenaires sur le développement éolien terrestre à travers leur filiale commune MAÏA Eolis" a indiqué le 1er acheteur de gaz naturel en Europe. L'acquisition de MAÏA Eolmer permettra notamment à GDF Suez de renforcer son positionnement sur les zones de Courseulles-sur-Mer (Calvados) et de Fécamp (Seine-Maritime), dans le cadre de l'appel d'offres qui prévoit la mise en place de 5 parcs éoliens au large des côtes françaises.

Depuis près de quatre ans, MAÏA EolMer étudie en effet plusieurs sites de développement, en particulier en Haute et Basse Normandie. Hydroliennes : GDF Suez entre dans la course. Le Raz Blanchard et le Fromveur. Les deux courants de marée les plus puissants des côtes françaises, qui tutoient régulièrement les 10 noeuds lors des vives eaux. Le premier se trouve au large du cap de la Hague, dans le Cotentin. Le second entre les îles Molène et Ouessant au large du Finistère. Et c'est précisément dans ces deu... Le Raz Blanchard et le Fromveur. Les deux courants de marée les plus puissants des côtes françaises, qui tutoient régulièrement les 10 noeuds lors des vives eaux. L'hydrolienne HyTide(© : VOITH HYDRO) Une exploitation dès 2015 dans le Raz Blanchard Pour mémoire, en mars dernier, l'ancien gouvernement avait annoncé un plan d'action en faveur de l'implantation d'usines hydroliennes sur les côtes françaises. En ce qui concerne le site breton du passage du Fromveur, un accord a été signé entre Eole Generation et la société d'ingénierie spécialisée Sabella.

La course entre GDF Suez et EDF EN sur les énergies marines renouvelables. La compagnie du vent. Pionnière française de l'énergie éolienne, La Compagnie du Vent, Groupe GDF SUEZ est aujourd'hui un acteur majeur des énergies renouvelables grâce à sa diversification dans la production d'électricité solaire. Son objectif est de produire, de façon socialement responsable, de l'énergie propre et renouvelable.

La Compagnie du Vent recherche des sites, assure la concertation avec les publics concernés, développe des projets, les finance, construit les installations et prend en charge leur exploitation. Les centrales de La Compagnie du Vent sont construites, en France et à l’étranger, pour des tiers ou pour son propre compte. A fin 2013, elle est à l'origine, en France et au Maroc, de plus de trente installations (éolien et solaire photovoltaïque) en service ou en cours de construction, pour une puissance totale de près de 400 mégawatts. Hydroliennes. Des courants marins au courant électrique Les hydroliennes (turbines sous-marines) transforment l’énergie des courants marins en électricité, comme les éoliennes avec le vent.

Elles utilisent la force et la vitesse des courants marins pour se mettre en mouvement. Ces courants, liés aux marées, ont pour caractéristique d’être prévisibles et sont particulièrement forts sur certains sites. Le marché de l’énergie hydrolienne représente dans le monde une puissance exploitable d’au moins 90 GW. Plusieurs dizaines de milliers de turbines devraient être installées à terme à travers le monde. En mars 2013, DCNS est devenu actionnaire majoritaire à hauteur de 59,7% de la start-up irlandaise OpenHydro spécialisée dans les hydroliennes. L’expansion d’OpenHydro entraînera un développement industriel des régions à proximité des principaux sites hydroliens. Marine Current Turbines. Marine Current Turbines Ltd (MCT) is a United Kingdom-based company which is developing tidal stream generators. MCT was founded in 2000 to develop ideas of tidal power developed by Peter Fraenkel, who had previously been a founder partner of IT Power,[2] a consultancy established to further the development of sustainable energy technologies.

The company is based in Bristol and employed 15 people in 2007.[3] They now have contracts to install a full tidal farm in the Skerries, off northwest Wales and projects in the Bay of Fundy, Nova Scotia and Vancouver, Canada. In February 2012 Siemens acquired a majority share in the company, raising its holding from 45% to over 90%.[1] Technology[edit] The technology developed by MCT works much the same as a submerged windmill, driven by the flow of water rather than air. Two approaches are being followed, one for relatively shallow waters, up to 30 metres (98 ft), and the other for deeper waters.

SeaFlow[edit] SeaFlow with its rotors raised SeaGen[edit]