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Pétrole

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Oilwatch. Tout va bien - le Peak Oil est atteint, dit l'AIE. HISTORIQUE. Aucune raison de s'inquiéter, selon l'AIE. L'ancien directeur de l'Ecole nationale supérieure de géologie n'est pas d'accord. Il n'est pas le seul. Près de 30 % de la production des puits de pétrole conventionnel aujourd'hui en activité aura disparu dans 10 ans, passant de 68 à 48 millions de barils par jour (mb/j) en 2020. D'ici là, il faudrait lancer l'équivalent de la production de 2 Arabies Saoudites, 20 mb/j, rien que pour maintenir les extractions de pétrole conventionnel à leur niveau actuel ! Et dans une génération, en 2035, les champs de pétrole conventionnel actuellement exploités (qui fournissent aujourd'hui 80 % de la production mondiale de carburants liquides) ne produiront plus que 17 mb/j, soit moins d'un cinquième de la demande future, d'après le graphe reproduit ci-dessous, issu du rapport annuel que vient de rendre public l'Agence internationale de l'énergie (AIE).

Vous trouvez ça compliqué ? « Excès d'optimisme » ? Signaler ce contenu comme inapproprié. Opep. {*style:<ul>*} {*style:<li>*} {*style:<h3>*}OPEC Secretary General Barkindo pays inaugural visit to IEA{*style:</h3>*} {*style:<br>*}HE Mohammad Sanusi Barkindo, the recently-appointed Secretary General of the Organization of the Petroleum Exporting Countries (OPEC), visited Paris on Friday to meet with Dr.

Fatih Birol, the International Energy Agency’s Executive Director. {*style:<a href=' more{*style:</a>*} {*style:</li>*} {*style:<li>*} {*style:<h3>*}Iranian President meets with OPEC Secretary General{*style:</h3>*} {*style:<br>*}The Honorable President of the Islamic Republic of Iran, HE Dr. Hassan Rouhani, today met with HE Mohammad Sanusi Barkindo, Secretary General of the Organization of the Petroleum Exporting Countries (OPEC) in Tehran. Planète Environnement. Un maintien de prix élevés du pétrole rendrait les énergies renouvelables compétitives (LeMonde.fr) Les industriels attendent toutefois de voir si la hausse des prix se confirme pour investir massivement.

Or, depuis près d'un mois, le baril a franchi le seuil historique des 40 dollars. Mardi 10 août, le brut de référence américain a inscrit un nouveau record en atteignant en séance 45,04 dollars. "On travaille habituellement à faire baisser le coût des énergies renouvelables, mais la hausse actuelle des prix du pétrole contribue tout autant à favoriser leur développement", estime Virginie Schwarz, directrice Énergies à l'Ademe. Les chaudières à bois, par exemple, ne sont rentables qu'au bout de quinze à vingt ans et les panneaux photovoltaïques coûtent, en France, dix fois plus cher du mégawatt/heure que le prix actuel du marché, relève-t-il. Art. In Le Monde, avec AFP, 11 août 2004. Oil Rigs/Platforms in OCS Region of Gulf of Mexico, USA, 2008 at. Détroit d'Ormuz. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Le détroit d'Ormuz (en arabe : مضيق هرمز, Madīq Ormuz ; en persan : تنگه هرمز, Tangeh-ye Hormoz) est un détroit reliant le golfe Persique au golfe d'Oman qui doit son nom à l'île d'Ormuz[1], située au sud-est de Bandar Abbas. Les pays frontaliers sont l'Iran au nord, le sultanat d'Oman (extrémité de la pointe sur la photo) et les Émirats arabes unis au sud (péninsule arabique). Long de 63 km et large de 40 km, le détroit d'entrée du golfe Persique a une importance stratégique décisive : il constitue, en effet, une voie commerciale essentielle du trafic international, empruntée par plus de 30 % du commerce mondial de pétrole[2].

Outre les Émirats arabes unis et l'Iran, le détroit commande l'accès à d'autres pays producteurs d'hydrocarbures aussi importants que l'Arabie saoudite, le Koweït, le Qatar, Bahreïn et l'Irak. Histoire[modifier | modifier le code] Guerre Iran-Irak[modifier | modifier le code] Trafic maritime[modifier | modifier le code] R?silience des Territoires pour un Avenir sans P?trole.