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Des réserves surévaluées (par qui ? Et pourquoi ?)

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Turns out the U.S. oil boom was just a fairy tale. With one quick drop in the price of oil, the shale oil boom is officially bust.

Turns out the U.S. oil boom was just a fairy tale

In less than a week, 61 oil rigs across the United States closed up shop, according to the most recent rig count from Baker Hughes. The U.S. has 1,750 oil rigs still pumping, but that number is expected to fall by another 400 rigs by the time spring rolls around. The whole episode is a wake-up call about just how much of a fairy tale North America’s oil boom really was.

It was a fairy tale with real drills, sure — and since it was exempt from the Clean Air and Clean Water acts, it will continue to have real consequences for the people living near it. But when it costs Saudi Arabia $10 to get a barrel of oil and it costs shale oil operations around $65 to make that same barrel, it should have been obvious that America was only a titan of oil production because another country was letting us be. That price — which was $110 per barrel this summer, and $80 three months ago — is now hovering at $46. Gaz de schiste : Le nouveau rêve américain anéanti. Le nouveau rêve américain – redevenir les rois du pétrole - n'était bien qu'un rêve : l'EIA (Energy Information Administration) a ramené sur terre les espoirs de trouver en quantité énorme du gaz et du pétrole de schiste en Californie en diminuant les estimations de 2011 de 96%.

Gaz de schiste : Le nouveau rêve américain anéanti

Au lieu de contribuer activement à l'autonomie énergétique souhaitée par les Etats-Unis, cette réserve ne devrait plus fournir que 32 jours de pétrole à l'économie américaine. Ce n'est pas sans conséquence sur le prix du pétrole et l'évolution du dollar. La déception des prévisions En 2011, la société Intek publiait une étude démontrant que le sol californien regorgeait d'un trésor : de l'or noir ou du gaz en abondance.

La réserve nouvellement étudiée était ainsi censée contenir l'équivalent de 15,4 milliards de barils, autrement dit le site de Monterey représentait donc 64% des ressources américains en pétrole de schiste. Comment la première étude a-t-elle pu être aussi imprécise ? Le pétrole flambe. Pour graisser la patte les pétroliers Américains sont vraiment doués. Scandale sur le gaz de schiste aux USA : le principal chercheur favorable à la fracturation hydraulique est salarié d'un groupe du secteur de l'énergie. M.

Scandale sur le gaz de schiste aux USA : le principal chercheur favorable à la fracturation hydraulique est salarié d'un groupe du secteur de l'énergie

Charles Chip Groat, professeur et directeur adjoint de l’Institut de l’énergie à l’université du Texas, était le principal auteur d’un rapport « scientifique » favorable à la technique de fracturation hydraulique présenté en février dernier aux États-Unis. La fracturation hydraulique, ou « fracking », est une technique pour extraire du gaz naturel dans des couches de schiste. Plus de 3.000 forages ont été effectués en Pennsylvanie ces six dernières années et 15.000 dans le nord du Texas. Mais cette technique est très controversée car des groupes de protection de l’environnement affirment qu’elle peut avoir pour effet de contaminer gravement et définitivement les nappes d’eau phréatiques, nécessaires notamment à l’utilisation humaine.

La fracturation hydraulique reste d’ailleurs pour l’instant interdite en France. Dans le rapport qu’il avait présenté en février 2012 à la conférence annuelle de l’Association américaine pour l’avancement de la science (AAAS), M.