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Chronologie égyptienne. Dieux Horus Djer pyramides Ancien empire Thèbes Touthmosis III Akhenaton Séthi I Ramsès II fin de l'empire Egyptien Les Ptolémée Phare d'Alexandrie Bibliothèque d'Alexandrie Cléopatre Califats Fatimides Ayyoubides Saladin et les croisades Califat abbasside du Caire Ligue arabe la République Nasser Sadate Moubarak Révolution de la Place Tahrir l'Egypte post Moubarak Les Dieux qui ont créé l'Egypte horus à gauche et Seth à droite Apep Autres noms : Apepi, Apophis Dieu serpent, il est l'ennemi éternel du soleil Rê et de l'ordre cosmique.

chronologie égyptienne

Il est la personnification de l'obscurité, du mal et des forces du Chaos. Chaque nuit il lutte avec Rê lors de son voyage dans les enfers sur la barque du soleil, et chaque nuit Rê triomphe pour renaître à l'aube vers l'Est. Souvent le dieu Seth ou le serpent Mehen étaient dépeints comme défendant Rê et la barque solaire lors de ce combat titanesque. Califats Fatimides Ayyoubides Saladin et les croisades Califat abbasside du Caire. À propos de la « race » des égyptiens anciens. Témoignages des Anciens à propos de la « race » des égyptiens anciensILS ONT VU LES EGYPTIENS !

à propos de la « race » des égyptiens anciens

L’Égypte ancienne était un pays africain noir : les Égyptiens anciens le savaient eux-mêmes, les Grecs et les Latins l’avaient dit (témoins oculaires et cela pendant près d’un millénaire), des égyptologues l’ont démontré avec une grande érudition : le professeur Cheikh Anta Diop, suivi du professeur Théophile Obenga puis des Professeurs A.M.Lam, M.Bilolo, B.Sall, A. Anselin, Oscar Pfouma, Oum Ndigi. "Mélas", mot employé par les Grecs pour la couleur des égyptiens, est le terme grec le plus fort pour dire "noir" comme le disait le grand savant sénégalais Cheikh Anta Diop.

Nous mettons au défi quiconque de trouver le terme « leucoderme » (peau blanche, peau claire) dans les textes grecs lorsqu’ils parlent des égyptiens anciens. Origines : L’origine ethnique des egyptiens. Noirs ou blancs : une histoire de l'anthropologie biologique de l’Égypte. 1 Un grand nombre d'études d'anthropométrie ont jadis été menées sur les crânes égyptiens antiques.

Noirs ou blancs : une histoire de l'anthropologie biologique de l’Égypte

Cf (...) 2 Voir la position « hyperdiffusioniste » de G. Elliot Smith dans In the Beginning. Culture de Nagada. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Culture de Nagada

La culture de Nagada ou Amratien (-3800 / -3150) en Haute-Égypte, est la dernière période du prédynastique égyptien, subdivisée en trois phases. Son nom provient du site archéologique chalcolithique de Nagada. Nagada I[modifier | modifier le code] Les tombes à fosses rectangulaires, dont certaines de belles dimensions (2,50 m × 1,80 m), sont pourvues d’un riche matériel qui montre de remarquables progrès techniques. La culture Nagada 1 dans l'Egypte prédynastique. Durant la fin de la période badarienne se développa une culture plus avancée sur les rives du Nil.

La culture Nagada 1 dans l'Egypte prédynastique

Elle fut baptisée période Nagada par les archéologues qui retrouvèrent les premières traces de cette culture prédynastique dans le village moderne de Nagada, en Haute Egypte (au nord de Louxor). La période fut subdivisée en trois phases en fonction de critères archéologiques et « artistiques ». La première débuta vers 3800 et se termina vers 3550 avant notre ère.

La culture Nagada 2 et l'unification culturelle de l'Egypte. Vers 3350 avant notre ère une accélération du développement de l'Egypte ancienne fut constatée par les archéologues.

La culture Nagada 2 et l'unification culturelle de l'Egypte

Cette évolution de la culture dite de Nagada fut baptisée période Nagada 2. A cette époque, les Egyptiens n’écrivaient pas encore, les archéologues utilisèrent donc le nom du lieu moderne dans lequel les premiers objets furent mis au jour pour nommer la période. Cette pratique est courante en archéologie préhistorique. Nagada était un village de Haute Egypte situé au nord de Louxor. La culture Nagada 3 et l'apparition de la monarchie en Egypte. Vers 3200 avant notre ère une accélération du développement de l’Egypte ancienne fut constatée par les archéologues.

La culture Nagada 3 et l'apparition de la monarchie en Egypte

Cette évolution de la culture dite de Nagada fut baptisée période Nagada 3. A cette époque les Egyptiens n’écrivaient pas encore, les archéologues utilisèrent donc le nom du lieu moderne dans lequel les premiers objets furent mis au jour pour nommer la période. Cette pratique est courante en archéologie préhistorique. Nagada est un village de Haute Egypte situé au nord de Louxor. La période « Nagada » fut subdivisée en trois phases en fonction de critères archéologiques et « artistiques ». Pierre de Rosette (Champollion) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Pierre de Rosette (Champollion)

La première traduction du texte en grec est réalisée dès 1803. Il faut cependant attendre près de vingt ans avant que le déchiffrage des hiéroglyphes ne soit annoncé par Jean-François Champollion, à Paris, en 1822, et plus encore avant que les érudits ne soient capables de lire les inscriptions égyptiennes antiques avec assurance. Les principales étapes de déchiffrement ont été : la reconnaissance que la pierre comporte trois versions du même texte (en 1799) ; le fait que le texte en démotique retranscrit phonétiquement des noms étrangers (1802) et que le texte en hiéroglyphes fait de même et comporte d'importantes ressemblances avec le démotique (Thomas Young, 1802) ; enfin, la compréhension que le texte en hiéroglyphes utilise des caractères phonétiques également pour écrire des mots égyptiens (Champollion, 1822-1824). Description[modifier | modifier le code] La pierre de Rosette[modifier | modifier le code]

Jean-François Champollion 1790-1832. Hiéroglyphe égyptien. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Hiéroglyphe égyptien

Cette page contient des caractères spéciaux. Si certains caractères de cet article s’affichent mal (carrés vides, points d’interrogation, etc.), consultez la page d’aide Unicode. Un hiéroglyphe[1] est un caractère de la plus ancienne écriture égyptienne. L’écriture hiéroglyphique égyptienne est figurative : les caractères qui la composent représentent en effet des objets divers, — naturels ou produits par l'homme —, tels que des plantes, des figures de dieux, d'humains et d'animaux... (cf. classification des hiéroglyphes). Apparue à la fin du IVe millénaire avant notre ère en Haute-Égypte (sud du pays), l'écriture hiéroglyphique est utilisée jusqu’à l'époque romaine, soit pendant plus de trois mille ans.

Étymologie[modifier | modifier le code] Le mot hiéroglyphe dérive du grec ἱερογλύφος / hieroglúphos, formé lui-même à partir de ἱερός / hierós (« sacré ») et γλύφειν / glúphein (« graver »). Histoire et évolution[modifier | modifier le code] La langue égyptienne, l'écriture, la numération. La langue et l'écriture de l'ancienne Egypte. L'égyptien et ses affinités linguistiques L'égyptien appartient à la famille des langues chamito-sémitiques, appellation donnée par les linguistes de la fin du XVIIIe siècle d'après le nom des fils de Noé, Cham et Sem et qualifiée plus tard d'afro-asiatique, notamment dans la linguistique anglo-saxonne.

La langue et l'écriture de l'ancienne Egypte

Elle rassemble les langues de l'Asie de l'Ouest et de l'Afrique présentant des similitudes entre elles dues soit à leur origine commune, soit au résultat de contacts ultérieurs. Les langues chamito-sémitiques englobent cinq, voire six branches : L'égyptien (ou groupe chamite) qui englobe des langues aujourd'hui éteintes : l'ancien égyptien, le moyen égyptien, le nouvel égyptien, le démotique, le copte (encore utilisé comme langue liturgique de l'Église copte orthodoxe).Les langues couchitiques, du nom de Coush, fils de Cham, sont attestées depuis le XVIIe siècle.

La signification des couleurs pour les anciens Egyptiens. Dans l'Egypte ancienne. L'origine égyptienne ancienne de la langue Bamiléké. Auteur : P. Mandjudja Nguegang Introduction. Les africanistes et l'Égypte ancienne. Lol! Tu crois que ce sont ces arguments qui vont me convaincre!! Tu as mal choisi ton domaine car la linguistique est la preuve la plus irrefutable que 'les africanistes" terme galvaudé et qui ne veut rien dire d'ailleurs possedent...tu feras peut etre s'emerveillé les profanes de bonne foi de ce forum mais pas moi..les liens que tu envoi font etat de quelques similitudes, entre les langues proto berbere semitique etc (des dizaines)...alors qu'il y avait des milliers de mots egyptiens ..

"*Medu Neter: Les égyptiens anciens en appelant leur langue le Medu Neter voulant dire « langue des Dieux ou la langue, parole sacrée, et en la rendant éternelle à travers des hiéroglyphes ont été inspirés par le Créateur (le grand architecte du monde). Égypte antique. La place de l'art dans l'Egypte antique.