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#PermisInternet Ils sont contre !

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Pourquoi il faut refuser le Permis Internet d’Axa. Le Permis Internet est une opération conjointe de la gendarmerie nationale et d’Axa Prévention destinée à terme à tous les élèves de CM2.

Pourquoi il faut refuser le Permis Internet d’Axa

Après avoir pris connaissance des contenus de cette opération, nous avons réagi et alerté le ministre sur les défauts de ce “permis”. La réponse du ministère n’est pas satisfaisante : elle indique que l’opération se mettra en place mais rappelle le libre choix pédagogique des professeurs des écoles concernant les outils et ressources à utiliser avec leurs élèves. Nous sommes évidemment d’accord avec le fait qu’une éducation des élèves au numérique à l’école est nécessaire pour mettre les possibilités ouvertes au service des apprentissages et que celle-ci doit intégrer des aspects de prévention des dérives, mais nous pensons que le Permis Internet ne répond absolument pas à ces enjeux, voire risque d’être contre-productif. Parce qu’il pose des problèmes de neutralité commerciale. Éduquer à Internet sans diaboliser, c’est possible ! Il est tout à fait possible d’éduquer nos élèves à Internet sans entrer systématiquement par les les dangers et ainsi promouvoir les usages constructifs tout en prévenant les dérives… Pourquoi ?

Éduquer à Internet sans diaboliser, c’est possible !

Parce que l’école ne peut ignorer les bouleversement que le numérique apporte dans notre société, notre vie quotidienne, nos façons de comprendre et d’apprendre. Parce que tous les élèves n’ont pas des parents forcément à l’aise avec les nouveaux usages liés au numérique et que l’école doit prendre sa part pour éviter que ne se creusent les écarts. Enfin, parce que la meilleure façon de permettre à nos élèves de tirer tout le parti de ces nouvelles possibilités est de les y accompagner et de jouer pleinement notre rôle d’éducateur aussi dans les espaces numériques.

Comment ? SE-Unsa - Dérives dans l’EN. Des élèves de CM2 d’une école de l’Essonne vont passer un "Permis Internet", dans le cadre d’une campagne qui va devenir nationale et qui ambitionne de toucher à terme tous les enfants de 9 à 11 ans en France.

SE-Unsa - Dérives dans l’EN

Une bonne initiative ? A priori, oui. Seulement, ce “dispositif” créé par la gendarmerie nationale et Axa n’est en rien pédagogique. Plus grave, il empiète gravement sur les compétences et prérogatives de l’Education nationale en détournant le principe des partenariats. Le permis, un “programme pédagogique”… Voici la présentation faite par le dossier de presse : [Se-Unsa] Quelle légitimité ? [Se-Unsa] Article publié le mercredi 12 mars 2014.

[Se-Unsa]

Suite à l’annonce du lancement d’un “Permis Internet” proposé par la gendarmerie et Axa Prévention dans les classes de CM2, le SE-Unsa a écrit au ministre pour attirer son attention sur une opération qui pose de sérieux problèmes pédagogiques et de neutralité commerciale. En effet, comme cela est détaillé dans ce billet sur notre blog “École de demain” ce qui est proposé avec ce "Permis Internet" va à l’encontre de la démarche constructive engagée par le ministère de l’éducation nationale avec l’entrée de l’école dans l’ère du numérique.

La réponse que nous avons reçue du cabinet ne saurait nous satisfaire car elle indique clairement que cette opération aura bien lieu. Néanmoins il y est aussi rappelé qu’il revient aux professeurs des écoles d’effectuer les choix pédagogiques qui leur semblent pertinents. N’hésitez pas à nous faire remonter tout problème ou difficulté pouvant survenir à l’occasion de cette opération, ou d’autres similaires. La gendarmerie, cheval de Troie des assureurs! Permis Internet : non à la pédagogie de la peur ! Détails Publié le mardi 18 mars 2014 07:37 Affichages : 3405 Le SI.EN UNSA appelle les inspecteurs à ne pas promouvoir le projet de "permis Internet" proposé par la Gendarmerie Nationale et de la compagnie d'assurances AXA.

Permis Internet : non à la pédagogie de la peur !

Il regrette le soutien du ministère de l'Education nationale à un dispositif diamétralement opposé aux démarches préconisées dans le cadre du socle commun des compétences, des connaissances et de la culture. Nous rappelons que les enseignants sont les seuls professionnels ayant la compétence à développer des actions éducatives responsabilisant les élèves en matière des usages numériques. Deux textes permettront de préciser notre position : Des IEN appellent au boycott du Permis Internet d’Axa. La pédagogie par la peur ! N’étions-nous que des primitifs du numérique ? Je profite de l’accalmie médiatique sur « la refondation de l’école » pour me consacrer à une lecture du rapport qui en a été publié.

N’étions-nous que des primitifs du numérique ?

Particulièrement au sujet du volet qui concerne le numérique. Il ne s’agit pas tant ici de s’intéresser à ce qui y est écrit, et qui a largement été commenté, mais plutôt de s’arrêter sur une antienne jusqu’à présent tenace qui n’apparait plus : les « dangers d’internet ». Tout au plus est-il question, une seule fois (p.50), « des risques », au sujet de la fracture numérique en terme d’équipement. Dans ce contexte, mon approche de la relation entre l’École et le numérique se veut moins critique qu’anthropologique, avec pour fil conducteur la cindynique…, approche originale s’il en est, mais pas tout à fait dénuée d’intérêt, je l’espère.

La relation au danger des sociétés réputées primitives fait de l’aléa, ou matérialisation du danger, un événement empreint de fatalité. . [1] A Giddens, Les conséquences de la modernité, L’Harmattan, Paris, 1994. Un permis d'internet pour les CM2 : et demain, des webcams dans leurs chambres ? Les formations seront assurées par les gendarmes ainsi que les professeurs.

Un permis d'internet pour les CM2 : et demain, des webcams dans leurs chambres ?

(ISOPIX/SIPA) Un permis internet en CM2 : la « pédagogie » par la peur. La Gendarmerie nationale et l’association AXA Prévention ont présenté le 12 décembre 2013 un programme national "pédagogique" pour sensibiliser les enfants et leurs parents aux risques qu’ils encourent sur internet et les réseaux sociaux.En quoi consiste ce programme "pédagogique" qui sera étendu à toute la France en avril 2014 ?

Un permis internet en CM2 : la « pédagogie » par la peur

Plus de 37.000 professeurs de CM2 vont recevoir dès maintenant un kit pédagogique conçu par la gendarmerie nationale et Axa Prévention contenant :• 1 DVD de témoignages et de tests d’entraînement• Des livrets ou plutôt “codes de bonne conduite sur Internet” pour chaque élève et ses parents• Des fiches d’examen avec 10 questions pour valider leurs acquis• Les fameux permis qui seront délivrés aux enfants• 1 affiche récapitulant les conseils à mettre dans la salle de classe Son principe : faire passer aux élèves de CM2 un examen en 10 questions après trois ou quatre séances données par l’enseignant fondées sur le kit.

FADBEN. La FADBEN condamne le pro­gramme national « Permis Internet pour les enfants », mis en place le 12 décembre 2013 par la Gen­dar­merie nationale et l’association AXA Prévention.

FADBEN

Les débats récents autour d’un Internet sécu­ri­taire dans l’École montrent que les ensei­gnants doivent rester vigi­lants sur les nom­breuses poli­tiques et ques­tions rela­tives à la régle­men­tation concernant Internet. CEMEA - à chacun son métier ! Enjeux e-médias tient à souligner que la métaphore routière pour le réseau Internet est fortement contestable sur le fond.

CEMEA - à chacun son métier !

Elle promeut une vision technique et fonctionnelle du réseau, alors qu’Internet est à la fois un espace social, une plate forme de services, un média des médias… qui met notamment les jeunes dans des situations très diverses, de consultation de données, d’expression, de développement de leur sociabilité, de divertissement, de création, de consommation, de découverte… Bien sûr dans cet espace très polyvalent, aux opérateurs et éditeurs multiples, il existe un certain nombre de pratiques à risque et de contenus illicites, très éloignés des valeurs démocratiques de la déclaration des droits de l’Homme et du citoyen.

En revanche, la transmission de postures citoyennes face à ces risques ne relève pas de la délivrance d’un permis qui serait acquis pour une durée illimitée, sauf si on vous enlève des points ! Alors, quelle réponse apporter et par qui ? Mes réponses au questionnaire du Permis Internet des CM2. Après avoir parlé du Permis Internet pour les enfants de CM2, et avoir expliqué que l'initiative est en partie biaisée par une volonté d'enfermement de l'enfant derrière son ordinateur pour le rendre beaucoup trop passif face à des inconnus, je me dois de vous donner quelques explications et des réponses sur le questionnaire auquel les enfants sont soumis.

Je vais donc vous donner mon point de vue sur ce qu'il faut réellement répondre et pourquoi. Je passe quand même quelques questions plutôt inutiles et logiques que tout parent saura facilement expliquer à leurs enfants. Sur Internet, les parents doivent connaître : 1. Ton pseudo uniquement. 2. Tes pseudos, mots de passe, sites fréquentés, et tes amis 3. Actualités - Il faut éduquer les jeunes à Internet, et non les effrayer ! Le permis Internet, proposé conjointement par la gendarmerie nationale et l'assureur AXA aux élèves de CM2, suscite une forte méfiance de la part de la FCPE.

Méfiance déjà exprimée le 24 janvier dernier dans un communiqué d'Enjeux e-médias, association dont elle est membre. Pour la FCPE, l'éducation au numérique est fondamentale et l'Ecole doit bien être le lieu privilégié de cet apprentissage, mais ce permis Internet tel qu'il a été imaginé ne répond nullement aux enjeux. Proposer des modules de formation aux bonnes pratiques pour garantir des comportements « plus sûrs » ne répond pas avec pertinence à la vision de l'éducation au numérique défendue par la FCPE.

Le permis internet de Manuel Valls, une opération de com d'AXA Prévention. Manuel Valls vient de présenter à une classe de Hallenes-Lez-Haubourdin, le « Permis Internet », un programme de sensibilisation sur les risques que peuvent rencontrer les enfants sur internet, qui devrait être déployé dans toute la France après un test dans 38 départements à toutes les classes de CM2. Si l’initiative est judicieuse, on ne peut que s’étonner de l’angle alarmiste choisi par les services du Ministre de l’intérieur. Cela sans compter les moyens mis en oeuvre par l’Education Nationale, puisque les enseignants sont invités à consacrer 3 à 4 séances de 45 minutes de formation, alors que l’enseignement des nouvelles technologies souffre d’un véritable déficit de moyens aujourd’hui en France. Sur internet, rien n’est permis ?

La nouvelle a fait des remous dans le petit univers de l’éducation aux médias en France… L’assureur AXA et la Gendarmerie nationale se sont associés pour une campagne de sensibilisation de taille : le "permis internet". Coup de com’ réussi puisque début décembre, la nouvelle était relayée par France tv info, le Point, le Figaro, le Huffington Post et d’autres adeptes des nouvelles à sensation, esclaves du beeeuz.

Le principe ? Un mini site et des interventions en classe de CM2… opérées en partie par des gendarmes en uniforme. Des gendarmes, qui nous n’en doutons pas, ont autant d’expertise des réseaux que j’ai de compétences pour greffer un coeur de lama à une chèvre tibétaine. Heureusement, le Fig nous explique la démarche : "Axa Prévention a fabriqué 37.500 kits qui seront distribués aux enseignants. Déjà, venant des mecs qui sont les victimes de la plus vaste tentative de phishing de France, il y a de quoi loler. Mais le problème ne se pose pas uniquement sur la forme. (Espoir. 3) Je.

Permis Internet à l'école: "Encore un discours alarmiste et méfiant" Accompagner les enfants dans la "jungle d'informations du web" (sic). J'ai honte pour mon école ! Le permis internet pour les CM2…. par la gendarmerie et AXA prévention! Le Permis Internet (selon Axa) Par Frédéric Berria, sur magicmaman.